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Le Coran démasquéune lecture non-croyante du CoranXVII - Les zombies d'al-Lah n'aiment pas la viepar Taghout - 07/06/2012 Les textes publiés dans Vos contributions (rouge foncé) ne représentent que l'opinion de leurs auteurs.
II - Sourate 2 : Mohammed Al-Lah, sorcier et homme lâche III - Un fanatisme construit sur la peur IV - Les vierges au Paradis des assassins V - Le régent sanguinaire ou le khalifat VI - Le dieu créateur sert une machine de guerre VII - Mahomet aux tribus juives de Médine : la conversion ou bien ma terreur VIII - Quand Mahomet se prend pour Moïse IX - Le décalogue tronqué des bandits X - Sa Gloire Mahomet-al-Lah, raciste, suprémaciste XI - La propagande prépare la purification ethnique XII - Al-Lah est une girouette XIII - Le culte de la nation arabe XIV - Le brigandage comme religion XV - Le brigand impose la loi du silence et institue la vendetta XVI - La pieuse guerre injuste et fratricide XVII - Les zombies d'al-Lah n'aiment pas la vie XVIII - La fourberie légitimée XIX - Quand Dieu et Ses anges se prosternent devant Mahomet XX - Sourate 3: al-Lah se passe aisément des créatures XXI - Al-Lah est le meilleur des comploteurs XXII - Le chef de sa secte déclare la guerre à la liberté de conscience XXIII - La prostitution forcée des captives Version PDF (121 pages, 608 ko, copie libre, tous autres droits réservés) : Le coran démasqué XVII - Les zombies d'al-Lah n'aiment pas la vie
Où l'on raconte comment monsieur al-Lah a paniqué et fait le mort. Où l'on propose des solutions à cette conduite de dépendance qu'est l'hyper-religiosité. Certains virus biologiques modifient le comportement de leurs hôtes afin de mieux assurer leur propagation: par exemple le virus de la rage provoque la déshydratation de l'animal atteint et l'incite à mordre, ce qui permet la transmission directe d'un virus fragile par la salive. Les virus sociaux que sont les systèmes religieux, quand ils prescrivent le prosélytisme par des moyens violents ou suicidaires, n'agissent pas différemment. On peut dire que toute religion est, par nature, ignoble, quand elle consiste à exploiter les faiblesses humaines à des fins politiques. Un telle croyance prétend aider les gens, mais en réalité elle les asservit pour en faire des esclaves qu'elle utilise pour asseoir son pouvoir politique et assurer sa propagation. Dieu n'est alors qu'un virus parasite égoïste. Dans le pire des cas les esclaves de la religion renoncent à leur propre vie pour devenir des marionnettes, des zombies, n'aspirant qu'à l'auto-sacrifice. Sourate 2, Al-BAQARAH, la vache.
209. Si vous relapsez après que les Prodiges vous sont venus, alors sachez qu'al-Lah est Fort, Sage. Message de Mahomet aux tribus de Médine : Soumettez-vous à moi, car je suis fort militairement, donc joignez le fort, même si le Coran ne vous parait pas prodigieux. "Les pas du Satan" : Je pense que le tyran de Medine visait probablement les notables qui exposaient son imposture, ceux qu'il a fait assassiner, et probablement les rabbins aussi. 210. Attendront-t-ils jusqu'à ce qu'al-Lah vienne à eux dans les nuages, avec des anges et que la question soit résolue ? Mais à al-Lah toutes les questions reviennent. Message de Mahomet aux tribus juives de Médine : Votre théologie est bidon (ce sont des nuages), alors rejoignez les vainqueurs, parce que j'imposerai mes conceptions métaphysiques par la force. (Le verset fait allusion au conte de Moïse descendant de la montagne au milieu des nuées) 211. Demandez aux Enfants d'Israël combien de Prodiges Nous leur avons envoyé. Mais si quiconque, après que la faveur d'al-Lah est venue à lui, substitue [Mon message par un autre], al-Lah est strict en punition. Mahomet menace les tribus juives de Médine qu'il accuse de substituer leurs traditions à son Coran. Mais en fait c'est le bandit qui prétend remplacer par la force le message de générations de rabbins par les mensonges d'un seul. 212. La vie de ce monde est attractive pour ceux qui rejettent la Religion, et ils pouffent à ceux qui croient. Mais le juste sera au dessus d'eux le jour de la Résurrection, car al-Lah accorde Son abondance sans mesure à celui qu'il veut. Les zombies fanatisés de monsieur al-Lah n'aiment pas la vie, mais seulement la mort et les promesses que Mahomet leur en fait. Les rabbins montrent la confusion des sources dans laquelle patauge Mahomet, et rient du caractère grotesque de son ignorance. Tout le système du mythomane repose sur cet argument: Dieu accorde ce qu'Il veut à qui Il veut et Il n'est pas la propriété des rabbins, donc je peux me L'approprier. Comme tout Dieu supposé bien évidemment ne s'exprime pas, in fine, on peut penser que le conflit ne s'arrêtera qu'avec la croyance en une quelconque Révélation. Ainsi Mahomet, en créant sur mesure pour ses ambitions personnelles cette imposture qu'est le Coran, a-t-il réouvert la boite de Pandore. Il n'était évidemment pas plus prophète que vous et moi. N'importe qui peut se prétendre prophète inspiré par Dieu et commander ceci ou cela en Son Nom. Davantage encore que ses prédécesseurs - je pense aux génocides de Madian et Amaleq attribués à Moise -, Mahomet le menteur de Médine a démontré combien les systèmes religieux prétendument "révélés" peuvent être capables de provoquer les pires destructions. 213. L'humanité n'est qu'une seule nation, et al-Lah envoya des Messagers avec bonnes nouvelles et avertissements. Et avec ceux-là Il envoya le Livre avec la Vérité, pour juger entre les peuples les sujets sur lesquels ils diffèrent. Mais aucun ne différa sinon ceux plein d'avidité parmi ceux à qui le Livre a été donné, après que les Prodiges leur soient manifestés. Al-Lah de Sa volonté guida les croyants vers la Vérité, concernant ce en quoi ils différèrent. Car al-Lah guida qui Il voulut sur un chemin qui était droit. "Une seule communauté": C'est le mythe de la tour de Babel. Mais dans ce Coran, on pourrait dire par boutade que l'humanité se résume à une seule personne, qui est Mahomet-al-Lah, Dieu-tout-puissant auto-proclamé et prophète de Lui-même. Ce qui n'est pas mahométan n'est pas toléré (Coran 3:85). Dans ce verset, "le Livre" désignerait l'instruction écrite c'est-à-dire la Torah, tandis que "La Vérité" désignerait l'instruction dite orale, qui est constituée du Talmud et des Midrashim. La différence qu'il évoque est l'adoration du veau d'or, et Mahomet en profite pour distiller un message raciste de plus. Un aspect du conflit entre Mahomet et les rabbins vient de la confusion que fait celui-ci entre cette loi orale (Talmud et Midrashim) et les contes (haggada) dont s'inspire son Coran. Le Talmud et les Midrashim sont essentiellement des prescriptions rituelles et de la jurisprudence. Les contes de la haggada constituent des traditions différentes qui n'ont pas de valeur vis-à-vis de la Loi. Ce sont seulement des légendes qui varient localement, dont certaines peuvent être récitées en certaines occasions. L'interprétation des contes que fait Mahomet dans son Coran n'avait pas de valeur religieuse aux yeux des rabbins. 214. Ou bien croyez vous que vous allez entrer dans le jardin sans ce qui est venu à ceux qui sont morts avant vous ? Ils rencontrèrent la souffrance et l'adversité, et furent ainsi testés dans leur esprit que même le Messager et les croyants qui étaient avec lui crièrent : "A quand l'aide d'al-Lah ?" Ah ! vraiment, l'aide d'al-Lah est proche ! Mahomet a paniqué dans le combat. Ce n'est pas une surprise : l'homme portait tant de cottes de mailles superposées pas peur d'être blessé qu'il ne pouvait pas se déplacer tout seul. Quand son armée subit la déroute à la bataille d'Ouhoud, il fit le mort pour sauver sa peau. Plus tard, un rescapé le découvrit, et s'écria : "Prenez courage, musulmans, car voici le Messager d'al-Lah !" Alors Mahomet lui fit signe de se taire (Sirat). Mais ce verset évoque peut-être plutôt le découragement des bandits quand leurs attaques de caravanes ont échoué de façon répétée. 215. Ils te demandent ce qu'ils doivent dépenser. Dis : Ce que vous dépensez en bien, c'est pour les parents et les proches et les orphelins et les nécessiteux et les voyageurs. Et ce que vous faites de bien, al-Lah le sait. Il y a une dissimulation dans ce verset (taqqiya) : Pour les mercenaires-brigands, la "charité" consistait à se procurer des armes et des montures (Coran 2.195). Mais en même temps, les vertueux devaient comprendre la charité au sens chrétien : c'est-à-dire aider les gens dans le besoin. Notez que monsieur al-Lah mentionne l'orphelin mais pas la veuve, comme des chrétiens l'auraient fait : le statut des femmes était misérable au sein de la bande à Mahomet. 216. Combattre vous est prescrit, et vous ne l'aimez pas. Mais il est possible que vous n'aimiez pas une chose qui est bonne pour vous, et que vous aimiez une chose qui est mauvaise pour vous. Mais al-Lah sait et vous ne savez pas. "Al-Lah sait et vous ne savez pas" : L'adepte n'a pas à penser, monsieur al-Lah est là pour penser à sa place. Notez que la violence devient obligatoire pour les marionnettes de l'imposteur. A comparer avec la non-violence dite ahimsa prescrite par le bouddhisme, le jaïnisme et aux renonçants hindous, au moins en théorie. 217. Ils t'interrogent sur le combat pendant le mois tabou. Dis : "Y combattre est grave, mais plus grave aux yeux d'al-lah est de bloquer le chemin d'al-Lah , de Le nier, d'empêcher l'accès à la Mosquée sacrée, et d'expulser ses membres." Le désordre (fitna) est pire que le massacre. Ni ne cesseront de vous combattre tant que vous ne reviendrez pas de la Religion, s'ils le peuvent. Et si certains d'entre vous quittent la Religion et meurent dans le rejet (kafir), leurs efforts ne porteront pas fruit dans cette vie ni dans l'Au-Delà, ils seront compagnons du Feu et y demeureront. Al-Lah est le Dieu du fait accompli : d'abord les sbires de la secte commettent leurs crimes, ensuite Mahomet sort un verset de son turban pour les justifier. Il a détruit tout ce qui faisait la société arabe pré-féodale pour y imposer à la place son fascisme décervelé. 218. Ceux qui croient et ceux qui ont souffert l'exil et combattu dans le chemin d'al-Lah, ceux-là ont l'espoir du Pardon d'al-Lah. Et al-Lah est Pardonneur, Royal. Voilà le Paradis promis aux malfaiteurs. Notes : John Lennon, chanson Imagine: Imagine qu'il n'y ait pas de Paradis, c'est facile si tu essaies, pas d'Enfer au dessous de nous, mais au dessus de nous seulement l'azur, Imagine tous les gens vivre pour aujourd'hui... Imagine qu'il n'y ait plus de frontières, ce n'est pas difficile à faire, rien qui mérite de tuer ou de mourir pour, et pas de religion non plus... Du vin et des jeux : 219. Ils t'interrogent concernant le vin et les jeux. Dis : "Dans cela est un grand péché, et quelque profit pour les hommes. Mais le péché y est plus grand que le profit." Ils te demandent combien ils doivent dépenser. Dis : "Ce qui excède vos besoins." Ainsi al-Lah vous éclaire Ses Prodiges : afin que vous considériez..." 220 ... Cette vie et l'Au-Delà." Vins et jeux exposent aux conduites de dépendance. Ces comportements incluent aussi l'anorexie-boulimie. Je pense qu'on devrait aussi classer dans les conduites de dépendance l'hyper-religiosité. Les rituels religieux que sont les prières, les ablutions rituelles, les prosternations et les récitations relèvent plus ou moins des troubles obsessionnels compulsifs. Le jeûne est une variante de l'anorexie-boulimie. Mahomet aurait fait interdire l'alcool après qu'un capitaine ait trouvé dans sa consommation le courage de le défier publiquement: Les conduites de dépendance non-religieuses représentaient une concurrence pour sa religion, ou si vous préférez la phrase de Karl Marx, "la religion est l'opium du peuple". On pourrait dire que la religion, telle une araignée, entortille le croyant dans un cocon de mensonges afin que celui-ci obéisse, renonce et accepte sa condition: Prier ou s'adresser à ce qui n'existe pas, espérer des avantages magiques à la suite de quelque rituel, ce sont des actes insensés. D'une certaine manière, la religion offre aux insensés -c.à d. aux croyants- la possibilité d'assumer leur actes insensés -c.à d. la pratique religieuse- d'une façon socialement acceptable, individuellement ou collectivement. Le bon sens serait au contraire d'agir pour une société ouverte offrant des opportunités, des emplois, la possibilité d'entreprendre et de réaliser ses projets. Monsieur al-Lah offre le fatalisme, l'obéissance et sa guerre obligatoire, et la promesse d'un Au-Delà de consolation. C'est un projet de mort. L'image de ceci se trouve dans la carte numérotée XII du tarot de Marseille, appelée le Pendu. Elle représente un homme qui renonce à la vie et contemple la mort, c'est-à-dire qui voit sa propre vie à l'envers, pendu la tête en bas. 220. ... Ils t'interrogent concernant les orphelins. Dis : "La meilleure chose à faire est ce qui est pour leur bien. Si vous confondez leurs affaires avec les vôtres, ils sont vos frères. Mais al-Lah sait l'homme qui mal agit de l'homme qui agit bien. Et si al-Lah l'avait voulu, Il aurait pu vous placer dans les difficultés : Il est Fort, Sage." 221. Ne mariez pas les femmes associatrices (polythéistes), avant qu'elles ne croient : Une esclave qui croit est meilleure qu'une femme associatrice, même si celle-ci vous plaît. Ni ne mariez [de femmes] aux associateurs avant qu'ils ne croient. Un homme esclave est meilleur qu'un associateur, même si celui-ci vous plaît. Ils vous invitent au Feu. Mais al-Lah vous invite au Jardin et au Pardon, et rend Ses Prodiges clairs aux hommes. Peut-être se rappelleront-ils. Discrimination sur la religion, sur le sexe, et sur le statut social : L'arriération sociale que représente ce verset ne mérite pas les louanges à mon avis. Les captifs en particulier, qui refusaient de se convertir, valaient moins que des esclaves : C'est de la conversion forcée. 222. Ils t'interrogent sur les périodes des femmes. Dis : Elles sont une nuisance : Alors éloignez vous des femmes en menstruation, et ne les approchez pas avant qu'elles ne soient propres. Mais quand elles se sont purifiées, vous pouvez les approcher de la manière, au moment, et à l'endroit ordonné pour vous par al-Lah. Car al-Lah aime ceux qui se tournent vers Lui constamment et Il aime ceux qui se gardent purs et propres. Outre l'infertilité et l'incommodité des rapports pendant les règles, il y a là un ancien tabou attaché aux menstrues. Les anciens ne connaissaient pas la physiologie et ne comprenaient pas cette émission d'un liquide assimilé à du sang. D'où la peur, la superstition et le tabou. Ces gynophobes s'imaginaient que si la femme donnait la vie, elle avait aussi magiquement le pouvoir de la reprendre, ce qui se manifesterait par l'émission des règles. Monsieur al-Lah l'ignorant reconduit dans son Coran cette superstition: Il y voit une "impureté" qui demande un contre-rituel de "purification". C'est à rattacher à la misogynie, à la culpabilisation et à l'oppression des femmes. Mais le saignement utérin est lié à l'invention du placenta. C'est le compromis que l'évolution a sélectionné pour assurer le développement d'un fotus de plus en plus complexe, et en particulier la croissance encéphalique accélérée de l'embryon humain. 223. Vos femmes sont un labour pour vous. Approchez donc votre labour quand et de la manière que vous voulez. Mais commettez quelque bonne action pour vos âmes auparavant. et craignez al-Lah. et sachez que vous aurez à Le rencontrer. Donnes bonne nouvelle à ceux qui croient. La "bonne action" : Pour monsieur al-Lah, la charité n'est pas un acte désintéressé, c'est un acte magique, une superstition qui se comptabilise afin de compenser quelque transgression, ici probablement le viol des captives. Le verset ne mentionne pas le consentement de l'épouse pour ces rapports : c'est un indice des viols, conjugaux ou non, que les bandits pratiquaient. S'il y a une "bonne nouvelle" pour cette bande de brigands, c'était d'être autorisés à "labourer" les captives plus ou moins converties et mariées de force. A rapprocher de l'abus des esclaves en Coran 4.24 et de la violence conjugale en Coran 4.34. Notes sur l'alcool : Une religion serait dans son rôle en interdisant l'alcool à ses adhérents. Mais une religion a tout faux si elle prescrit en même temps la morosité, l'intolérance, les insultes ou la violence. Pourquoi proscrire l'alcool ? C'est parce que l'alcool et les drogues représentent l'auto-destruction: à la place de cela, une religion pourrait proposer des pratiques de développement personnel ou du coaching, et une société devrait être assez libre et prospère pour offrir à tous ses membres des opportunités de se réaliser. Il y a des raisons de penser que Mahomet abusait du vin de palme : il trouve en 2:219 "quelque profit" dans le vin. Dans son Paradis coulent des rivières d'un vin qui ne provoque pas de céphalées (Coran 47:15, 37:47, 83:25). L'impuissance sexuelle est provoquée par l'abus chronique d'alcool, et aucune des douze femmes du harem de Mahomet n'a conçu de lui. D'autres signes de consommation chronique d'alcool sont décelables dans ce Coran: l'anxiété, la confusion, la viscosité psychique, et même la pseudo-personnalité violente aux prétentions de toute-puissance, c'est à dire l'avatar divin du consommateur, dénommé ici al-Lah au lieu de Bacchus... Coran 47:15 Des rivières de vin délicieux coulent au Jardin du Paradis. Coran 37:47 Au paradis est servi du vin qui ne provoque ni céphalées, ni somnolence. Coran 83:25 (Au Paradis) Du vin de choix bouché leur sera donné à boire d'un trait. L'alcool est un poison pour le système nerveux (neuropathies centrales et périphériques, carences), pour le foie (cirrhose, cancer) et le cour (cardiomyopathies), il est à l'origine de pancréatites. L'alcool provoque des malformations du fotus. Comptez en plus les accidents et les violences qui résultent de sa consommation, et le nombre de gens exposés à l'alcoolo-dépendance. Mon opinion c'est que l'alcool peut être utile pour nettoyer les vitres. Taghout Mon blog : Le Taghout
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