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Le Coran démasqué

une lecture non-croyante du Coran

XX - Sourate 3: al-Lah se passe aisément des créatures


par Taghout  -  11/05/2013




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XX - Sourate 3: al-Lah se passe aisément des créatures



    Où l'on explique le langage particulier du Coran.
    Où l'on rapporte la déportation des ben Qaynouqa pour motif d'humour.
    Où l'on raconte comment le psychopathe est frustré de sa première boucherie.

Le Coran n'est pas écrit en arabe, il est écrit en mahomet. Ce langage particulier possède son propre lexique dont voici les termes essentiels :
"Messager" = Sceau = Vertueux = Modèle = Le Fort = Le Sage = Le Vengeur = Al-Lah = Gabriel = Dieu Unique Tout-Puissant Omniscient Abondant et Suffisant en tout, etc... Tous ces épithètes narcissiques désignent Mahomet. C'est la matière du Coran, je n'en ai mentionné que quelques-uns
. "Coran" = Vérité = Lumière = Guidance = Miracle = Signes = Gloire : désigne la production en vers de Mahomet et de ses poètes.
"Le bien" désigne craindre, obéir à, se prosterner à, se soumettre à, s'abandonner à, cotiser auprès de, reverser sa part à, combattre pour ... Mahomet.
"Le mal" désigne rire de, discuter avec, objecter à, rejeter les prétentions de, s'opposer à ... Mahomet.
"Taghout" = Satan = Ennemi : désigne ce qui n'est pas Mahomet.
"Terre et ciel" = Biens = Profit = Butin = Légitime : désigne ce qui appartient à Mahomet.
"Oummah" = religion = les croyants = les gagnants = ceux qui profitent = ceux qui goûteront les Fruits : désigne l'organisation de Mahomet.
"Kafirs" = ceux qui rejettent = transgresseurs = pervers = injustes = associateurs = ceux qui encourent ta colère = ceux qui s'égarent = les perdants = ceux du Feu : désigne les victimes de l'organisation de Mahomet.

Sourate 3 : AL-IMRAN ou la tribu d'Imran
    1. A.L.M. (Amara Li Mohammed : commande de Mahomet)
    2. Al-Lah. Il n'y a d'autre divinité que Lui, le Vivant, l'Auto-subsistant.
    3. Lui qui te révéla le Livre avec vérité confirmant ce qui était avant, et il fit descendre la Torah et les Evangiles,
    4. Un guide pour les hommes, et il fit descendre les Prescriptions, alors ceux qui rejettent la croyance dans les Signes d'Al-Lah subiront la peine la plus sévère, et al-lah est Fort, Vengeur.


    "Confirmant ce qui était avant" : Bien sûr, ce Coran ne confirme rien du message judéo-chrétien. Au contraire, le livre de Mahomet représente une rupture brutale par rapport à ces traditions bibliques élaborées sur des générations : le livre de Mahomet ne constitue qu'une imposture simpliste, immorale et violente, au service des ambitions d'un seul.

    Mais ces versets sont les termes de l'ultimatum adressé par Mahomet à la tribu juive des Ben Qaynouqa, à Médine en juillet 524, deuxième année de l'Hégire (Sirat). "La peine la plus sévère" est un message clair : "Convertissez-vous à ma religion ou subissez ma terreur".

    Voici le contexte : Mahomet est en guerre ouverte avec la Mecque après son succès inattendu à Badr. Médine est prise en otage de cette guerre par le traité que Mahomet a fait ratifier par les tribus. Tandis que les meccans préparent une expédition punitive, Mahomet cherche des fonds pour armer et monter ses combattants. Il adresse des demandes aux tribus signataires ainsi qu'à celles des environs qu'il a pu racketter antérieurement.

    Mais cette exigence est aussi le premier acte de la purification ethnique de Médine, qu'il a planifié depuis longtemps : la tribu qu'il agresse en violation du traité est stratégique pour son effort de guerre, car les ben Qaynouqa étaient forgerons. Après un siège de quinze jours, la tribu se rend. Mahomet veut massacrer les prisonniers mais le chef khazraj Abdoullah ibn Oubay obtient pour eux l'exil. Ceux-ci laissent leurs biens et partent pour la Syrie. Butin en armes et bijoux, maisons, ateliers, outils.

    Le motif probable de la brutalité de cette agression est évoqué à la fin de la sourate :
    3:181. Al-Lah a entendu la moquerie de ceux qui dirent : "Vraiment, al-Lah est pauvre et nous sommes riches !"- Nous enregistrons leur mot et [les accusons] de tuer les prophètes injustement, et Nous dirons : "Goûtez le châtiment du Feu Brûlant !"

    Le narcisse Mahomet, c'est-à-dire monsieur al-Lah, n'a pas supporté ce raccourci amusant, qui exposait son imposture. Le mot est attribué à un dénommé Phineas Ibn Azoura. "Tuer les prophètes injustement" reprend la propagande raciste qui s'étale dans la sourate 2.

    L'attitude d'Abdoullah ibn Oubay fit l'objet d'un autre verset du tyran, qui ne supportait pas qu'on discute ses caprices.
    3:28. Que les croyants ne prennent pas comme amis ou alliés des rejeteurs plutôt que des croyants. Si l'un d'entre eux fait cela, il n'y aura pas d'aide d'al-Lah. L'exception, c'est pour raison de précaution, afin de vous garder d'eux. Mais al-Lah vous avertit Lui-même, car le but final est pour al-Lah.

    "Il n'y aura pas d'aide d'al-Lah" : Mahomet mettra sa menace à exécution en faisant tuer Abdoullah ibn Oubay quelque temps après.

    On retrouve le psychopathe criminel à la fin du verset 97 (gommé dans certaines traductions) :
    3:97 ...Quant à celui qui rejette la croyance, al-Lah se passe aisément des créatures.

    "Al-Lah se passe aisément des créatures" : Dans ce verset l'insensé qui se prend pour Dieu nous fait un caprice et menace de tuer tout le monde, puisque naturellement toute vie lui appartient...

    C'est-à-dire que Mahomet faisait passer son délire narcissique avant la vie des gens, et ici avant celle des ben Qaynouqa. Il voulait faire un massacre pour accroître son prestige, pour inspirer la terreur, parce qu'il trouvait glorieux d'être le responsable d'un bain de sang (voir Coran 8 :67 et 2 :30, déjà cités). On dit qu'un narcisse est incapable d'empathie, qu'il est incapable d'aimer : dans le cas de Mahomet, c'est caricatural. Les chrétiens parlent d'un Dieu d'amour, mais avec Mahomet c'est plutôt Néron le Dieu fou de Rome.

    Le Coran n'est pas un livre de religion, mais l'histoire d'une purification ethnique.


    Le titre de la sourate n'évoque pas la déportation des ben Qaynouqa. Mais à cette période, Mahomet a trouvé chez les chrétiens de Najran des contributeurs fidèles et généreux, assez naïfs pour financer le bandit en échange d'une promesse de non-molestation et de respect de leurs propriétés. L'opportuniste réalisa le filon de crédulité qu'il pouvait exploiter et développa dans cette sourate sa version métaphysique particulière concernant le personnage de Jésus et sa tribu, c'est-à-dire les chrétiens. C'est la "tribu d'Imran".

    Dans cette évocation des thèmes chrétiens, Mahomet se montre particulièrement incompétent et confus. Et les malheureux chrétiens qui lui ont fait confiance seront tous chassés d'Arabie.

    Le reste de la sourate tente d'exploiter au profit de la croyance les batailles de Badr et d'Ouhoud.

    On trouve dans cette sourate du racisme, de l'intolérance, des conversions forcées, et les duels de malédiction. Le style est comparable à celui de la sourate 2, Mahomet a bien rodé son système maintenant et se répète, mais avec une surenchère dans l'arrogance et l'agressivité.

    Notes :
    Sirat Rasoul Allah :
    Pendant ce temps il y eut l'affaire des B. Qaynouqa : Le Messager (c.à.d. Mahomet) les assembla à leur marché et s'adressa ainsi à eux : "O juifs, craignez qu'al-Lah n'exerce sur vous la vengeance qu'Il a exercée sur Quraysh (ce nom désigne le clan meccan vaincu à Badr) et devenez musulmans. Vous savez que je suis un prophète qui a été envoyé - vous trouverez cela dans vos écritures et dans l'alliance d'al-Lah conclue avec vous."

    Ils répondirent : "O Mohammed, tu sembles penser que nous sommes ton peuple. Ne t'illusionnes pas parce que tu as affronté un peuple (les meccans) sans science de la guerre et que tu as eu le dessus sur eux. Car par al-Lah si nous vous combattons, vous trouverez que nous sommes de vrais hommes."


    Le texte précise que la réponse de Mahomet, une malédiction classique, est constituée des versets 3:10 à 3:13
    3:10. Ceux qui rejettent la croyance, ni leurs biens ni leur progéniture ne leur serviront contre al-Lah. Ils ne sont eux-mêmes que du combustible pour le Feu.
    3:11. Pas meilleur (destin) que celui du peuple de Pharaon, et de leurs ancêtres : Ils rejetèrent nos Signes, et al-Lah leur demanda des comptes pour leurs péchés. Car al-Lah est strict en punition.
    3:12. Dis à ceux qui rejettent la croyance : "Bientôt vous serez vaincus et rassemblés ensemble en Enfer, un mauvais lit certainement"
    3:13. "Il y a déjà eu pour vous un Signe dans les deux armées qui se sont rencontrées (à Badr). L'une combattait pour la cause d'al-Lah, l'autre résistait à al-Lah. Ceux-là ont vu de leurs yeux deux fois leur nombre. Mais al-Lah apporte son aide à celui qui lui plaît. Là est un avertissement pour ceux qui ont des yeux pour voir."


    Il s'agit d'une malédiction d'avant combat, et Mahomet se prévaut de rassembler des mercenaires supérieurs aux meccans, ce qui signifie que les B. Qaynouqa seuls n'auront aucune chance.

    Sirat Rasoul Allah :
    ... Le Messager les assiégea jusqu'à ce qu'ils se rendissent sans conditions. Abdoullah b. Oubbay b. Saloul vint à lui quand al-Lah les eut remis en son pouvoir et dit : "O Mohammed, traites mes clients avec clémence", (car les B. Qaynuqa étaient d'anciens alliés des Khazraj) mais le Messager le rejetta. Il répèta ses mots, et le Messager se détourna de lui, alors il plaça la main au col de la robe de l'apôtre. Le Messager était si fâché que son visage devint presque noir. Il dit "Sois confondu, lâches moi !" Il répondit : "Non, par al-Lah, je ne te lâcherai pas que tu n'agisses avec clémence envers mes clients. 400 hommes sans cottes de maille et 300 avec cottes m'ont protégé de mes ennemis. Voudrais-tu les abattre en une matinée ? Par al-Lah, je suis un homme qui craint que les circonstances ne changent." Le Messager dit : "Tu peux les avoir."

    "le Messager se détourna de lui", "son visage devint presque noir" : On note le caractère théâtral, hystérique de la réponse du comédien Mahomet à la demande très humaine du chef Khazraj. Ici on voit le vrai visage du psychopathe narcissique qui se prend pour Dieu et veut sceller sa folie dans une boucherie gratuite.

    L'agression des ben Qaynuqa n'était pas spécifique à cette tribu : Mahomet préméditait une purification ethnique complète du territoire sous son contrôle. C'est pourquoi il interdit les alliances avec les non-musulmans, par exemple dans le verset qui suit :

    5 :51. O vous qui croyez ! Ne prenez pas les juifs et les chrétiens pour vos amis et protecteurs : Ils sont amis et protecteurs les uns des autres. Et celui parmi vous qui se tourne vers eux est de leur coté. Vraiment al-Lah ne guide pas un peuple injuste.

    Ce dernier verset, ici repris à partir de la traduction de Yusuf Ali, a été remanié dans certaines autres traductions afin d'en dissimuler le sens. Un tel verset pris littéralement incite au repli communautaire et à la discrimination.

    Voici cinq versets que j'ai sautés, parce qu'ils sont un peu hors sujet :

    3:5. A al-Lah, vraiment rien n'est caché sur terre ou au ciel.

    Ce verset est un non-sens narcissique qui sert à menacer en suggérant l'existence de complots contre Mahomet.

    3:6. C'est Lui qui façonne dans les matrices comme il lui plaît. Il n'y a pas d'autre divinité que Lui, le Fort, le Sage.

    Un autre verset narcissique dont la logique revient à nier aux femmes leur rôle dans la procréation pour l'attribuer à l'objet unique d'adoration, le tyran Mahomet-al-Lah. Mais ce verset présage un projet de massacre, car si Mahomet-al-Lah procrée comme il veut, alors la logique du génocide en découle : le massacre consiste à remplacer la diversité ethnique et culturelle par des adorateurs serviles formatés dès l'enfance : c'est le projet de purification ethnique.

    3:7. C'est Lui qui a fait descendre sur toi le Livre : Dans celui-ci sont des versets explicites : ils sont la mère du Livre. D'autres [versets] sont à prendre au figuré. Mais ceux dont les cours sont dévoyés s'attachent à la partie qui est au figuré, cherchant la discorde, et cherchant les sens cachés, mais personne ne connaît les sens cachés sauf al-Lah. Et ceux qui sont fermes en savoir disent : "Nous croyons le Livre. Il est entièrement de notre seigneur." Mais ne garderons ceci en tête que les hommes intelligents.

    Ce verset long de style différent a peut-être été intercalé pour encadrer l'interprétation.
    "D'autres [versets] sont à prendre au figuré." On a bien compris que les évocations des traditions juives présentes dans la sourate 2 servaient la propagande raciste de Mahomet ou bien dissimulaient ses entreprises criminelles, voir plus haut.

    "Personne ne connaît les sens cachés sauf al-Lah" : Les versets à double sens étaient là pour une raison bien simple : ils servaient à dissimuler aux croyants naïfs la réalité d'une entreprise de banditisme, susceptible d'horrifier les mahométans honnêtes. Révéler les sens cachés, c'est donc exposer l'imposture et le mensonge du brigand, c'est-à-dire faire le mal, le dévoiement, la perversion, en langage mahomet.

    Mais ici al-Lah pourrait désigner aussi les mercenaires ansar. Il y aurait donc deux types de "croyants": D'un coté les naïfs qui prient sincèrement un dieu imaginaire. Et de l'autre les affranchis, qui exploitent sciemment l'affaire métaphysique pour le pouvoir et pour l'argent.

    "Nous croyons le Livre. Il est entièrement de notre Seigneur." A l'époque où ce verset a été produit, il était déjà clair que le Coran était le produit de différents poètes. Il devenait nécessaire d'interdire l'analyse et d'instituer à la place une pieuse crétinisation collective et obligatoire. Je pense que l'idée d'un Livre entièrement dicté par Dieu a été mise en place peu à peu, et que les versets ont été remaniés au niveau de la grammaire et par des injonctions comme "Dis :" pour faire croire à cette notion.

    "Mais ne garderons ceci en tête que les hommes intelligents." : On peut lire ici une menace.

    3:8. "Notre Seigneur, ne laisses pas nos cours dévier alors que Tu nous as guidés, mais accordes nous Ta clémence, car Tu es le Généreux (al-Wahhab)".
    3:9. "Notre Seigneur, Tu rassembles les hommes contre un jour qui ne fait pas de doute. Car al-Lah ne faillira pas à sa promesse."


    Deux versets qui sont des prières que l'assistance est invitée à réciter. C'est le style des prières au ton plus modeste, sans al-Lah à la première personne, qu'on trouve aussi en 2 :285-286. Ils ont peut-être été rédigés, avec le 3:7, par une autre main que le reste, a posteriori.

    "Tu rassembles les hommes contre un jour qui ne fait pas de doute" : Je pense qu'ici Mahomet évoque la guerre ouverte avec la Mecque à la suite de Badr et l'expédition attendue des meccans contre Médine, qui devra y faire face, toutes tribus confondues.

    Les versets 3:14 à 3:32 exploitent les suites de la terreur commencée avec la déportation des ben Qaynuqa. Mahomet se flatte de son forfait, insulte, menace et maudit les autres tribus juives de Médine qu'il n'a pas encore agressées, tout en resserrant son emprise mentale sur ses dévots.

    Quelques-uns de ces versets :
    3:18. Al-lah témoigne qu'il n'y a pas d'autre dieu que lui. Et les anges, et les hommes de savoir, établis dans la droiture. Il n'y a pas d'autre dieu que lui, le puissant, le sage. C'est-à-dire que Mahomet-al-lah est dictateur auto-proclamé, auto-divinisé, etc...

    3:19. Le système de croyance accepté devant al-lah est la soumission (islam) : Et les peuples du livre ne s'écartaient pas de cela sauf par jalousie réciproque, après que la connaissance leur en fut donnée. Mais si vous niez les signes d'al-lah, alors al-lah est rapide à exiger des comptes.

    Les signes d'al-Lah désignent le Coran de mahomet. Les peuples du Livre désignent juifs et chrétiens : Mahomet ne tolère plus que le système qu'il a taillé sur mesure pour sa dictature :
    "rapide à exiger des comptes" : la menace d'extorsion est très claire.
    "Les peuples du Livre ne s'écartaient pas de cela" : Mahomet considère qu'en signant le traité de Médine, au nom d'al-lah, sous son égide, les tribus avaient accepté implicitement la conversion à son culte.

    3:20. Alors si ils argumentent avec toi, dis : "Je suis entièrement soumis à al-Lah ainsi que ceux qui me suivent." Et dis au peuple du Livre et à ceux qui sont ignorants : "Vous soumettez-vous vous-mêmes ?" Si ils le font, ils sont correctement guidés, mais si ils se détournent, ton devoir est de faire passer le message, et considérés par al-Lah sont ses serviteurs.

    C'est le principe du racket des populations que Mahomet institue : "faire passer le message" est un euphémisme évident. Autrement dit, Mahomet n'est pas responsable des crimes et des déportations, mais ceux-ci lui ont été imposés par un dieu imaginaire dont il se prétend l'interprète.

    3:26. Dis : "O al-Lah. roi du royaume. Tu donnes pouvoir selon ton plaisir, et tu ôtes le pouvoir selon ton plaisir. Tu honores selon ton plaisir, et tu abaisses selon ton plaisir. Entre tes mains est tout bien. Sur toutes choses tu commandes.

    Le roi du royaume, monarque absolu régnant sur Médine évidemment c'est Mahomet, qui avoue implicitement son imposture d'avatar divin.
    "Tu honores selon ton plaisir, et tu abaisses selon ton plaisir." : Le tyran va faire déporter une tribu selon son bon plaisir et enrichir du butin certains de ses adorateurs.
    "Entre tes mains est tout bien" : C'est un truc de bandit qui consiste à affirmer sa propriété sur les biens qu'il convoite afin que le vol en paraisse moins infâme.
    "Sur toutes choses tu commandes." : C'est la dictature et l'arbitraire d'un seul à l'encontre des intérêts de tous et au mépris des coutumes et des lois. (voir aussi Coran 33:36)

    3:32. Dis : "Obéis à al-Lah et à son messager : mais si ils se détournent, al-Lah n'aime pas ceux qui rejettent.

    Le messager et al-Lah désignent le dictateur Mahomet, qui en bon narcisse n'aime pas qu'on le rejette, c'est-à-dire qu'on discute ses prétentions.


Taghout

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