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Le Coran démasquéune lecture non-croyante du CoranXXIII - Sourate 4 : La prostitution forcée des captivespar Taghout - 03/09/2013 Les textes publiés dans Vos contributions (rouge foncé) ne représentent que l'opinion de leurs auteurs.
II - Sourate 2 : Mohammed Al-Lah, sorcier et homme lâche III - Un fanatisme construit sur la peur IV - Les vierges au Paradis des assassins V - Le régent sanguinaire ou le khalifat VI - Le dieu créateur sert une machine de guerre VII - Mahomet aux tribus juives de Médine : la conversion ou bien ma terreur VIII - Quand Mahomet se prend pour Moïse IX - Le décalogue tronqué des bandits X - Sa Gloire Mahomet-al-Lah, raciste, suprémaciste XI - La propagande prépare la purification ethnique XII - Al-Lah est une girouette XIII - Le culte de la nation arabe XIV - Le brigandage comme religion XV - Le brigand impose la loi du silence et institue la vendetta XVI - La pieuse guerre injuste et fratricide XVII - Les zombies d'al-Lah n'aiment pas la vie XVIII - La fourberie légitimée XIX - Quand Dieu et Ses anges se prosternent devant Mahomet XX - Sourate 3: al-Lah se passe aisément des créatures XXI - Al-Lah est le meilleur des comploteurs XXII - Le chef de sa secte déclare la guerre à la liberté de conscience XXIII - La prostitution forcée des captives Version PDF (121 pages, 608 ko, copie libre, tous autres droits réservés) : Le coran démasqué XXIII - Sourate 4 : La prostitution forcée des captives
Où monsieur al-Lah institue le proxénétisme. Où l'on raconte comment Mahomet a fait voiler ses femmes à cause d'un problème d'obésité. Avec la purification ethnique de Médine, on a vu comment une religion monothéiste prosélyte pratiquait le sacrifice humain de ceux qu'elle désignait comme boucs émissaires, dans une logique de fascisme idéologique. L'autre logique de ces virus mentaux que sont les religions monothéistes c'est la politique hyper-nataliste, destinée à maximiser la transmission verticale du mème culturel à la descendance, et parce que les guerres de conversions forcées et de la conquête de territoire, et dans ce cas le djihad, consomment de la chair humaine. C'est à dire que les guerres menées au service d'un dieu parasite représentent une autre forme de sacrifice humain. La première conséquence de la logique virale est donc le sexisme misogyne et l'oppression des femmes, qui sont considérées et conditionnées comme des machines à procréer et réduites ainsi à leur appareil génital. Mais dans les versets qui vont être présentés, l'exploitation des femmes se révèle encore pire que cela. Sourate 4 : Nisaa ou Les femmes
Octobre 625 : Raid contre la tribu Ghatafan à Dhat al-Riqa. Les mahométans capturent les femmes de la tribu. Le chef de bande organise le partage du butin qui est constitué essentiellement de ces captives, considérées comme des esclaves. Mahomet a pu initier la sourate 4 en une telle occasion. Les versets vont évoquer l'affreuse réalité du pillage et des viols des captives, dont certaines sont aussi épouses et mères. Mahomet va dissimuler la réalité des abus que ses bandits vont pratiquer derrière des périphrases qui constituent un langage codé. La lecture qui suit est déconseillée aux personnes sensibles. "Al-Lah vous observe" : Mahomet voit ses hommes se disputer sur le partage des captives. Il rappelle ses brigands à l'ordre, et prétend s'identifier pour cela au dieu judéo-chrétien : il se réfère à ce mythe misogyne de la Genèse et d'Adam et Eve. Bien évidemment, un tel mythe n'a aucune réalité anthropologique. "Vous demandez des matrices" : L'expression considère l'appareil génital comme un objet, et non l'être humain : l'inhumanité est déjà présente dès le premier verset de la sourate, et il est difficile de ne pas y voir une demande des bandits de violer les captives. 4.2. Aux orphelins rendez leur bien, et n'y substituez pas le mauvais au bon, et ne consommez pas leur bien comme le vôtre : car c'est vraiment un grand péché. "Ne consommez pas leur bien comme le vôtre" : Certaines captives devaient allaiter des nourrissons, et littéralement le verset suggère que certains des bandits tétaient le lait destiné aux nourrissons. C'est du moins l'interprétation adaptée au contexte. "N'y substituez pas le mauvais au bon" : L'image prise littéralement serait celle d'un abus pédophile affreux, que Mahomet décrit comme : "un grand péché". Mais le verset 4.6 suggère aussi que certains bandits abusaient des orphelins capturés. 4.3. Si vous craignez de ne pas savoir agir proprement avec les orphelins, mariez une femme de votre choix. Ou deux ou trois ou quatre, mais si vous craignez de ne pas pouvoir agir justement, alors seulement une ou ce que votre main droite possède, cela conviendra mieux pour vous empêcher de commettre injustice. "Ce que votre main droite possède" : Parmi les captives, le groupe de Mahomet distinguait les converties à l'islam, dites "les femmes", des autres, désignées comme des possessions, et qui n'étaient qu'esclaves sexuelles. Les captives se convertissaient le plus souvent afin d'éviter cette dernière condition. On voit dans le verset suivant ainsi qu'en 4.24 que Mahomet parodie la notion du mariage, sous la forme d'un accouplement temporaire contre argent. "Agir proprement avec les orphelins", "Vous empêcher de commettre injustice" : On voudrait voir dans la périphrase un souci de puériculture. Mais l'expression :"Ou deux ou trois ou quatre" est méprisante, négligente, elle traduit l'agacement ou la colère. L'interprétation la plus cohérente serait que Mahomet morigène ceux de ses bandits pris en flagrant délit d'abus pédophile au verset précédent : A ceux-là, il recommande de soulager leurs pulsions en violant une captive convertie ou autant d'entre elles que lesdits appétits exigent. Mais ces malheureuses devaient être compensées du viol par le paiement du "mahr", sinon c'est "injuste". Si le bandit ne pouvait pas payer son rapport sexuel avec une convertie, il lui restait le viol d'une esclave sexuelle, qui était gratuit. C'est assez clair dans le hadith Sahih Boukhari 7.62.70, notes. Les hommes à qui s'adressait un tel verset semblaient incapables de contrôler leurs pulsions sexuelles : On perçoit que le chef des brigands ménageait ses hommes par des périphrases au lieu de dénoncer clairement la réalité des viols. On a l'impression qu'il les craignait, qu'il ne voulait pas entacher son image de sensiblerie auprès de bandits qui cultivaient la dureté, l'insensibilité. Mais en faisant ainsi, le prétendu homme de Dieu renonçait à civiliser ses adeptes. Le résultat est catastrophique car les femmes n'ont pas de recours avec les versets de cette sourate contre la violence qui leur est faite. 4.4. Et donnez à ces femmes leur mahr de bonne grâce. Et si de leur plein gré, celles-ci vous en redonnent une partie, alors jouissez-en de plein droit. Mahomet est explicite ici sur son système de rapport sexuel tarifé qu'il assimile à un mariage. Mais le consentement de la femme ainsi prostituée est une hypocrisie au regard du verset précédent : "mariez une femme de votre choix, ou deux, ou quatre...". "Celles-ci vous en redonnent une partie" Le reversement par la prostituée d'une partie de ses gains à son souteneur est décrit ici, et expliqué encore dans le verset qui suit : 4.5. Pour ceux qui sont faibles de l'entendement : Ne détruisez pas votre bien, qu'al-Lah a fait comme un moyen de vous supporter, mais nourrissez et habillez les avec et dites-leur des mots gentils. Autrement dit, les bandits de Mahomet étaient aussi des exploiteurs de ces femmes, et si j'ai bien compris des proxénètes patentés, avec sa complicité. C'est le même langage codé que dans les versets 2.229 à 2.232, dont la production a dû être contemporaine. C'est confirmé encore en 4.24 et compatible avec la femme battue en 4.34. 4.6. Eprouvez les orphelins jusqu'à l'âge du mariage. Si ils ont du jugement, rendez leur leur propriété. Mais ne les consommez pas en les gâchant, ni en hâte en les empêchant de grandir. Si le gardien est riche, qu'il ne réclame rien, mais si il est pauvre, qu'il aie pour lui-même ce qui est juste et raisonnable. Quand vous leur rendez leur propriété prenez des témoins en leur présence. Mais al-Lah est suffisant pour rendre des comptes. Dans le contexte, les orphelins désignaient les jeunes enfants capturés avec leur mère. Le verset montre que ces enfants-esclaves étaient fréquemment maltraités, exploités, abusés, "empêchés de grandir", par leur gardien, mais les plus durs d'entre eux pouvaient espérer devenir bandits à part entière dans le groupe à leur majorité. "Rendez leur leur propriété" désignait alors une procédure de rachat de liberté, une émancipation par degré avec une dette éventuelle à rembourser. "al-Lah est suffisant pour rendre des comptes" : Les malheureux n'avaient pas de recours légal dans ce genre d'affaire contre la violence de leurs gardiens. Ce genre de concept se rencontre encore aujourd'hui dans les systèmes mafieux qui exploitent les enfants. 4.7. De ce qui est laissé par les parents et les proches, il y a une part pour les hommes et une part pour les femmes, que le bien soit petit ou large. Une part légale. Si Mahomet avait voulu établir des lois sur l'héritage il aurait spécifié précisément ici quelle portion du patrimoine échoit à chacun selon sa parenté avec le défunt. L'impression de double-langage est renforcée par le verset 2.180 qui recommande au contraire de réaliser les successions en exécution d'un testament. Je pense que le tableau ici ressemble plus à une espèce de partage de butin, où chacun passe se servir d'une part, en comptant aussi une part par femme. 4.8. Mais si au moment du partage d'autres parents, ou des orphelins ou des pauvres sont présents, alors nourrissez les avec, et dites-leur des mots gentils et justes. Je doute qu'un simple repas puisse résoudre des conflits d'héritage, donc ce verset, comme celui qui précède me semble suspect de dissimuler un simple partage de butin, dont la nature devait être essentiellement alimentaire. 4.9. Que ceux-ci aient la même crainte à l'esprit qu'ils auraient pour les leurs s'ils avaient laissé une famille sans ressource derrière eux. Qu'ils craignent al-Lah et disent des mots appropriés. Le contexte suggéré est un raid où il faut partager pour le groupe un butin indispensable à la survie, donc en nature. 4.10. Ceux qui mangent injustement le bien des orphelins mangent le Feu dans leur propre corps : Ils endureront bientôt un Feu Brûlant!"<br> Comme en 4.2, certains bandits mangent le bien des orphelins : l'image suggérée est la même. La répétition suggère que Mahomet ne parvenait pas à se faire obéir de ces hommes qui considéraient le viol des captives et l'abus des orphelins-esclaves comme leur prérogative de bandits. Mais le sheikh ne met en place aucun recours pour que ces femmes ou leurs enfants puissent se défendre des abus qui leur sont faits. A la place il n'oppose que la peur de l'enfer pour ceux qui "dépassent les limites" : 4.13. Voilà les limites placées par al-Lah : ceux qui obéissent à al-Lah et à son Messager seront admis dans les Jardins de rivières irriguées, pour y résider et ce sera le suprême achèvement. 4.14. Mais ceux qui désobéissent al-Lah et à son Messager et qui dépassent ses limites seront admis au Feu, pour y résider. Et ils auront une punition humiliante. Cette logique de la violence envers les femmes, et leur non-consentement, font que le viol n'existe pas dans ces versets, mais il est confondu avec l'adultère. Et plus injuste encore, c'est que la femme violée est considérée comme coupable et condamnée à une mort affreuse dans le verset qui suit, tandis que le ou les violeurs ne semblent pas poursuivis. Mahomet exige quatre témoins pour prouver une telle affaire, alors qu'elle est cachée par définition. 4.15. Si quelque de vos femmes est coupable de rapport illégitime (zina), prenez la preuve de quatre témoins parmi vous contre elles. Et si ils testifient, enfermez les dans des maisons jusqu'à ce que la mort les prenne, ou qu'al-Lah ordonne différemment pour elles. Les récits (Sirat) racontent que Mahomet a pu produire ce verset à la suite des rumeurs qui ont couru quand Aïsha s'est retrouvée oubliée dans le désert lors d'un départ et ramenée plus tard au camp par un éclaireur. Son but n'était que de sauver la face, en faisant taire les rumeurs. Surtout qu'on n'aille pas dire que Sa Gloire Mahomet-Dieu Tout-Puissant ait été cocu... mais la justice ne l'intéressait pas. Le verset 23 évoque directement la prostitution forcée, avec l'indulgence d'al-Lah vis à vis d'un abus aussi affreux, et aussi l'abus des enfants esclaves évoqué plus haut : 4.23. Que ceux qui ne trouvent pas les moyens pour le mariage restent chastes, jusqu'à ce qu'al-Lah leur en fournisse les moyens par sa grâce. Et si l'un de vos esclaves demande un écrit de sa dette, donnez-leur un tel écrit si vous trouvez du bien en eux. Et donnez-leur quelque chose vous-même des moyens qu'al-Lah vous a donné. Mais ne forcez pas vos filles à la prostitution quand elles désirent la chasteté, afin de faire profit des biens de votre vie. Mais si quelqu'un les y force, cependant, après une telle compulsion, al-Lah est Pardonneur, Royal. Notez que la "grâce" d'al-Lah consistait à s'enrichir au moyen d'activités criminelles. Le verset 24 résume la prostitution et son paiement, le mahr : 4.24. Les femmes déjà mariées vous sont interdites, sauf celles que votre main droite possède (esclaves, captives non converties). Ainsi a ordonné al-Lah. A part celles-ci, toutes les autres sont licites, pourvu que vous leur proposiez avec un don de vos biens, en honnêteté et non en débaucherie. Et donnez à celles avec qui vous avez cohabité leur compensation (mahr) légale. Il n'y a pas de blâme sur vous selon ce que vous conviendrez après que le mahr légal ait été perçu. Al-Lah est omniscient et sage. "Avec qui vous avez cohabité" : L'expression montre que le "mariage" ne désignait ici qu'un rapport sexuel. Notez que l'infâme ne respectait pas le mariage antérieur des captives réduites en esclavage : Mahomet comme d'habitude nie et annule tout espèce de loi qu'il n'a pas lui-même promulguée. Les femmes battues sont en 4.34 : 4.34. Les hommes sont supérieurs aux femmes parce al-Lah a doté l'un davantage que l'autre et par les dots qu'ils font de leurs biens pour elles. Les femmes vertueuses sont obéissantes et gardent invisible ce qu'al-Lah a voulu garder. Quant à ces femmes dont vous craignez la désobéissance, réprimandez-les, retirez-les dans une chambre, battez-les. Mais si elles obéissent ne cherchez pas prétexte contre elles. Al-Lah est élevé, grand. "Ce qu'al-Lah a voulu garder" : L'expression devait désigner le corps des femmes de Mahomet. Par droit souverain la périphrase désignait alors le corps de toute femme du groupe. Mahomet imposa le hijab à propos de l'obésité de Saouda, obligée de sortir la nuit pour faire ses besoins. Une affaire assez ridicule, si l'on en croit le hadith Sahih Boukhari 1.4.178. Notez que la brutalité va très loin dans ce verset : il suffit à l'homme d'un soupçon mal précisé, et la femme est forcément coupable. "Battez-les" : Quelle honte de battre sa femme ! C'est lâche, vil, méprisable. Mahomet n'a pas su protéger les femmes ni les enfants de la violence des hommes de son groupe. En autorisant la prostitution forcée des captives, il a attiré à lui les pires des brutes et flatté la bassesse de ses fidèles. Ces versets concernant les femmes ne traduisent que la lâcheté d'un bandit complice de la prostitution forcée des captives. Notes : Sahih Boukhari 7.62.70 Rapporté par Abdur-Rahman bin Yazid and Majammi bin Yazid. le même récit qui précède : Un homme appelé Khidam maria une fille à lui contre son consentement. Coran 4.3 : "Si vous craignez de ne pas savoir agir proprement avec les orphelins, mariez une femme de votre choix..." Et si quelqu'un dit au gardien : "Maries moi à une telle" et le gardien reste silencieux ou lui dit : " Qu'as-tu avec toi ?" Et l'autre dit :" J'ai tant et tant (pour payer le mahr)" ou bien reste silencieux, et alors le gardien dit : "Je te l'ai mariée", alors le mariage est légal. Ce récit est dit par Sahl, sur autorité du Messager. Le "mariage" ici désignait un arrangement non consenti dont la consommation était tarifée, voire gratuite. Une telle facilité offerte par l'organisation de Mahomet était certaine de favoriser le recrutement du susdit quidam au sein de sa clique. Concernant le hijab, le voile complet : Sahih Boukhari 1.4.178 "Aisha a rapporté : Les femmes du Messager allaient à al-Manasi, un vaste espace dégagé, pour satisfaire la nuit au besoin naturel. Oumar avait l'habitude de dire au Messager : "Tu devrais voiler tes femmes." Mais le Messager d'al-Lah ne le fit pas. Une nuit Saouda Bin Zama la femme du Messager sortit à l'heure d'Isha et c'était une femme corpulente. Oumar s'adressa à elle et lui dit : "Je t'ai reconnue O Saouda." Il dit ainsi, parce qu'il souhaitait que les versets d'al-hijab soient révélés. Alors al-Lah révéla les versets al-hijab. Apparemment Mahomet s'en fichait, et c'est Oumar a imposé la prison portable. Coran 33.59 : "O Messager! Dis à tes femmes et à tes filles et aux femmes croyantes, qu'ils doivent placer leurs vêtements extérieurs sur leurs personnes : C'est convenable, afin qu'on les reconnaisse et qu'on ne les moleste pas. Et al-Lah est Pardonneur, Royal." Ce verset avoue que les femmes n'étaient pas en sécurité avec le système de Mahomet. Hadith Sahih Mouslim Numéro 3310 : "Aisha (Qu'Allah soit satisfait d'elle) a rapporté : Le Messager d'Allah (puisse la paix être sur lui) m'a épousée quand j'avais six ans, et j'ai été admise dans sa maison quand j'avais neuf ans." Ce récit et d'autres montrent que Mahomet, 54 ans, abusa d'Aïsha, 9 ans, en une parodie de mariage. Ce verset se réfère au "mariage" d'une fillette impubère : Coran 65 :4 Pour celles de vos femmes qui ont passé l'âge des périodes mensuelles, pour celles-là, le délai prescrit (pour le divorce), si vous avez quelque doute est de trois mois, et aussi pour celles qui n'ont pas encore leurs règles (lam yahidna). Pour celles qui portent, le délai est jusqu'à délivrance. et pour ceux qui craignent al-Lah, il fera leur chemin facile. Des cas de tolérance d'abus sur des fillettes et des mineures par des hommes plus âgés, sous la forme de mariages temporaires contre argent ont persisté longtemps en Arabie. Il est même possible que cela se pratique encore ici ou là. J'ai sauté les versets 11 et 12 qui parlent bien cette fois d'héritage. Leur style est long, confus. al-Lah semble s'adresser à un mourant qui devrait rédiger son testament. Il est probable que ces deux versets aient été insérés tardivement afin de corriger le 4.7 et de masquer les exactions de la bande. 4.11. Al-Lah t'ordonne concernant tes enfants : au mâle, une part qui vaut celle de deux femelles. Si ce sont seulement des filles, deux ou plus, leur part est les deux tiers de l'héritage. Si une seule, sa part est la moitié. Pour les parents, un sixième de l'héritage chacun, si le défunt laisse des enfants. Sinon et que les parents sont les héritiers, la mère a un tiers. Si le défunt laisse des frères, la mère a un sixième. Après paiement des engagements et dettes. Vous ne savez pas si vos parents ou vos enfants sont plus proches de vous en bénéfice. Ce sont les parts attribuées ordonnées par al-Lah, car al-Lah est omniscient, sage. 4..12. De ce que vos femmes laissent, votre part est la moitié, si elles ne laissent pas d'enfant, mais si elles laissent un enfant, vous avez un quart, après paiement des engagements et dettes. Si l'homme ou la femme dont l'héritage est question, n'a laissé ni ascendants ni descendant, mais a laissé un frère ou une sour, chacun des deux reçoit un sixième. mais si plus de deux, ils partagent un tiers, après paiement des engagements et dettes, afin que perte ne soit causée. Ainsi est ordonné par al-Lah, et al-Lah est omniscient des omniscients. D'autres versets : 4.16. Si deux hommes sont coupables de rapports, punissez les tous les deux. Si ils se repentent et font amende, laissez-les, car al-Lah est pardonneur, royal. 4.17. Al-Lah accepte le repentir de ceux qui font le mal par ignorance et se repentent sitôt après, vers ceux-là, al-Lah se tourne avec pitié : car al-Lah est plein de connaissance et de sagesse. Ce sont deux versets homophobes. 4.18. Ineffectif est le repentir de ceux qui continuent à mal agir, jusqu'à ce que la mort regarde l'un et qu'il dise : "Maintenant je me repens vraiment". Ni de ceux qui meurent en rejetant la croyance : pour ceux-là Nous préparons une punition très pénible. L'obsession de Mahomet, bien sûr, c'est qu'on rejette ses prétentions. Mais il se contredit dans le verset. La ruse du mourant qui tente de s'assurer avant l'inconnu est amusante. 4.19. O vous qui croyez! Il vous est interdit d'hériter des femmes contre leur volonté. Ni ne devez les traiter avec dureté, afin de saisir part de ce que vous leur avez donné, sauf quand elles sont coupables de rapports illégitimes. Au contraire vivez avec elles sur un pied de gentillesse et de justice. Si vous prend la désaffection envers elles, peut-être que nous n'aimez pas celle-ci alors qu'al-Lah apporte par elle un bien. Ce verset aurait été produit suite à l'abus d'un homme qui aurait épousé l'enfant confiée à sa garde afin d'hériter d'elle, pour la divorcer ensuite. Taghout Mon blog : Le Taghout
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