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Le Coran démasquéune lecture non-croyante du CoranV - Le régent sanguinaire ou le khalifatpar Taghout - 07/06/2012 Les textes publiés dans Vos contributions (rouge foncé) ne représentent que l'opinion de leurs auteurs.
II - Sourate 2 : Mohammed Al-Lah, sorcier et homme lâche III - Un fanatisme construit sur la peur IV - Les vierges au Paradis des assassins V - Le régent sanguinaire ou le khalifat VI - Le dieu créateur sert une machine de guerre VII - Mahomet aux tribus juives de Médine : la conversion ou bien ma terreur VIII - Quand Mahomet se prend pour Moïse IX - Le décalogue tronqué des bandits X - Sa Gloire Mahomet-al-Lah, raciste, suprémaciste XI - La propagande prépare la purification ethnique XII - Al-Lah est une girouette XIII - Le culte de la nation arabe XIV - Le brigandage comme religion XV - Le brigand impose la loi du silence et institue la vendetta XVI - La pieuse guerre injuste et fratricide XVII - Les zombies d'al-Lah n'aiment pas la vie XVIII - La fourberie légitimée XIX - Quand Dieu et Ses anges se prosternent devant Mahomet XX - Sourate 3: al-Lah se passe aisément des créatures XXI - Al-Lah est le meilleur des comploteurs XXII - Le chef de sa secte déclare la guerre à la liberté de conscience XXIII - La prostitution forcée des captives Version PDF (121 pages, 608 ko, copie libre, tous autres droits réservés) : Le coran démasqué V - Le régent sanguinaire ou le khalifat
Où l'on explique le thème des gagnants et des perdants Où l'on révèle les ambitions de Mahomet Considéré comme un asocial à la Mecque, Mahomet serait resté une nuisance locale sans la guerre tribale qui sévissait à Médine. Yathrib comprenait plusieurs oasis habitées par des tribus arabes, juives et chrétiennes. Les deux principales tribus arabes, les Khazraj et les Aus-Manat y étaient en guerre l'une contre l'autre. Cette vendetta avait abouti à la mort des chefs, et ces tribus affaiblies cherchaient à sortir de l'impasse. La grand-mère paternelle de Mahomet était une personnalité Khazraj, et Mahomet, fort du prestige attaché aux Hashemites de la Mecque, s'est proposé comme le garant d'une paix négociée, incluant toutes les tribus de Médine, impliquées dans le conflit par le jeu des alliances. C'est ainsi qu'a été signé le traité de Médine, au nom d'al-Lah, désignant Mahomet comme arbitre des conflits. Mais ces deux tribus Khazraj d'abord, puis Aus, s'étaient liées secrètement par des serments forts, dit d'Aqaba, avec Mahomet, pour des motifs moins avouables. Ils devenaient par cette alliance les hommes de main, dits auxiliaires de Mahomet ou ansar. Ces tribus violentes voyaient dans les fortunes meccanes et dans les revenus du sanctuaire des richesses attractives. Mais ils ne pouvaient attaquer la Mecque sans faire face à toutes les tribus arabes, pour qui le sanctuaire était sacré. Avec Mahomet à leur tête, représentant d'une dynastie en charge du sanctuaire, l'attaque devenait légitime. En outre Mahomet était bien informé par ses espions des départs de caravanes que les meccans envoyaient régulièrement vers la Syrie. Mahomet et son groupe émigrent à Médine, c'est l'épisode dit Hégire. Sourate 2, Al-BAQARAH, la vache. 30. Alors ton Seigneur dit aux anges : "Je vais créer un régent (khalifat) sur terre." Ils dirent : "Établiras-tu un [régent] qui fera le désordre et répandra le sang ? Alors que nous célébrons Tes louanges et glorifions ton Saint nom ?" Il dit : "Je sais ce que vous ne savez pas." Ce verset pourrait être inspiré du conte de la chute de Satan (haggada). Mais on y lit une menace de guerre. Mahomet ambitionne d'être ce régent sanguinaire établi par al-Lah, au moins à Médine. C'est-à-dire un dictateur qui règne par la terreur. Voici les premières étapes de la carrière du régent sanguinaire à Médine (hadiths, Sirat Rasoul Allah d'Ibn Ishaq, récits d'al-Tabari). A chaque évènement important, Mahomet initie une nouvelle sourate de son Coran, qu'il enrichit peu à peu. La sourate 2 correspondrait à l'hégire.
Le motif de ce massacre était au fond la satisfaction narcissique d'un psychopathe : Mahomet voulait paraître un grand prophète au yeux de ses dévots : Coran 8.67 (traduction Kazimirski, numéroté 68) "Il n'a jamais été donné à un prophète de faire des prisonniers sans commettre de grands massacres sur la terre." C'est triste à dire : le Coran est l'invention d'un criminel psychopathe. La suite de cette étude va essayer de présenter comment le livre reflète les étapes de l'entreprise sanglante de Mahomet. Mais voilà quelques notes sur les versets que j'ai sautés : 26. Al-Lah n'a pas honte d'utiliser des images [dans sa poésie], comme un moustique ou quelque chose de plus élevé. Ceux qui croient savent que c'est la vérité venant de leur Seigneur; Mais ceux qui rejettent la croyance (al din = le système de croyance proposé par Mahomet) disent : "Que veut dire al-Lah avec cette comparaison ?" Ainsi mène-t-il beaucoup [d'auditeurs] à l'égarement, et beaucoup guide-t-il dans le droit chemin; Mais Il ne les égare pas, sauf ceux qui abandonnent [le chemin], Al-Lah nous fait un caprice : le poète a "révélé" des versets contenant une parabole sur le moustique, dont la récitation a fait rigoler son auditoire. Son Divin Ego ne le supporte pas, Il se vexe et se met en colère. Ces versets entomologiques perdus venaient peut-être du conte du roi Nemrod rendu fou par la piqûre d'un moustique. Notez que monsieur al-Lah ne supporte pas les questions. Les croyants renoncent à leur entendement en même temps qu'à leur humour : Le droit chemin recommandé dans ce verset est la pieuse ignorance terrorisée. "Rabbihim" désignait les auteurs d'une révélation divine supposée unique. Ici, on pourrait traduire "rabbihim" par "les maîtres", ou "les rabbins" , puisque Mahomet puisse ses sources dans la littérature rabbinique. "Al din" est généralement traduit par religion ou foi : mais il s'agit en fait dans le Coran d'un système politico-religieux (voir Coran 2 :143). Précisément, il s'agit d'un système de croyance au service d'une organisation politique centrée sur la personne de Mahomet. Je traduis donc par croyance ou système pour lever l'ambiguïté en fonction du contexte. 27. Ceux qui rompent le Contrat avec al-Lah après qu'il ait été signé, Et qui séparent ce qu'al-Lah a ordonné de joindre, Et qui font le désordre sur la terre : ceux-là perdront [à ce marché]. Le Coran ne nomme pas généralement les gens qu'il satirise de façon claire mais utilise des périphrases. C'est un biais qui traduit la paranoïa de son auteur. L'avantage en est que le lecteur interprète la périphrase comme il veut et s'arrange pour y trouver un sens personnalisé. C'est ainsi qu'une phrase confuse, insensée, devient vraie aux yeux de son interprète. Mais ce verset évoque probablement le conflit qui oppose Mahomet aux tribus juives de Médine. Mahomet demande à toutes les tribus signataires de l'accord de Médine de participer financièrement et militairement à la guerre qu'il a choisi de mener contre La Mecque. Il exige des maisons, des terres, et l'acquittement de l'impôt musulman de la part de tous. De plus, il exige la conversion à son culte, et ce dernier point n'est pas acceptable pour les tribus juives. "Ceux-là perdront" : Dans la rhétorique du Coran, on a ces mentions de pertes et de gains. Quand les versets de Mahomet s'adressent aux matérialistes, il s'agit de menace de guerre ou de perspectives de butin. Mais aux naïfs, monsieur al-Lah vend la promesse d'Enfer ou de Paradis. Au casino de monsieur al-Lah, il semble qu'on perde plus souvent qu'on ne gagne : Gagnants : Voir aussi : 2.5 "Ce sont ceux qui prospèrent", 7.157, 39.61, 59.20, Perdants : Coran 2.27, 2.64, 2.121, 3.85, 3.149, 5.5, 5.21, 5.30, 5.53, 6.31, 6.140, 7.23, 7.90, 7.92, 7.149, 7.178, 8.37, 9.69, 10.45, 10.95, 11.22, 11.47, etc... Pour résumer : le paradis et l'enfer sont aux service du narcissisme de Mahomet : le Coran désigne comme perdants ceux qui rejettent son imposture. Le bien consiste à faire mousser la vanité personnelle de Mahomet, et le mal à réduire le volume de la mousse : C'est par imitation narcissique que certains adorateurs de Mahomet développent à son égard une susceptibilité exacerbée. 28. Rejetez-vous la croyance d'al-Lah ? Voyez vous étiez sans vie et Il vous donne vie, Puis Il vous fait mourir, Et vous donnera à nouveau la vie, Et à nouveau vous retournerez à Lui. Ce verset serait une référence au conte juif qui relate comment les hébreux seraient morts, puis ressuscités au moment où Moise est descendu de la montagne. Mais le message véhicule aussi une menace : comme le tyran qui peut faire tuer ses sujets par caprice, Mahomet menace de tuer ceux qui le rejettent, puis d'y renoncer, c'est-à-dire de leur redonner la vie, si ils se soumettent. "La croyance d'al-Lah" : Mahomet ici confond par un raccourci poétique le système de croyance qu'il représente avec la religion des contemporains de Moïse. 29. C'est Lui qui a créé pour vous toutes choses qui sont sur terre; De plus Son ingénierie comprend les cieux, car Il a donné ordre et perfection aux sept ciels; Et de toutes choses il a parfaite connaissance. Les sept ciels viennent d'une conception astrologique ancienne qui affirmait que le soleil, la lune, mercure, venus, mars, jupiter et saturne évoluaient dans des plans superposés. Le verset expose aussi la suffisance du narcisse : Tout effort intellectuel est inutile, puisque al-Lah est aussi monsieur Je-Sais-Tout. Notes : Pour une étude plus précise de la carrière du tyran, on peut lire : Abul Kasem : "the roots of terrorism" sur : islam-watch.org. Les sources mentionnent que les mâles de la tribu des ben Qurayza ont été décapités : Décoller plus de 500 hommes n'est pas une tâche facile. Il faudrait fouiller pour retrouver les os des victimes et les faire analyser afin de préciser comment ces hommes ont été tués. Les psychiatres considèrent qu'un psychopathe narcissique est incapable d'empathie. Le narcisse est insensible à la souffrance d'autrui, parce qu'il n'est pas capable d'aimer lui-même. Ses blessures infantiles d'orphelin rejeté ont construit chez Mahomet une personnalité pathologique. Mais certains de ses adeptes étaient capables de compassion et s'émurent des victimes, du moins au début. Le boucher de Médine a produit pour ceux-là par exemple Coran 8 :17 : "Ce n'est pas vous qui les avez tués; c'était al-Lah..." Voilà comment la folie d'un seul devint l'irresponsabilité collective de ses gens. Taghout Mon blog : Le Taghout
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