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Le Coran démasquéune lecture non-croyante du CoranXXI - Al-Lah est le meilleur des comploteurspar Taghout - 11/05/2013 Les textes publiés dans Vos contributions (rouge foncé) ne représentent que l'opinion de leurs auteurs.
II - Sourate 2 : Mohammed Al-Lah, sorcier et homme lâche III - Un fanatisme construit sur la peur IV - Les vierges au Paradis des assassins V - Le régent sanguinaire ou le khalifat VI - Le dieu créateur sert une machine de guerre VII - Mahomet aux tribus juives de Médine : la conversion ou bien ma terreur VIII - Quand Mahomet se prend pour Moïse IX - Le décalogue tronqué des bandits X - Sa Gloire Mahomet-al-Lah, raciste, suprémaciste XI - La propagande prépare la purification ethnique XII - Al-Lah est une girouette XIII - Le culte de la nation arabe XIV - Le brigandage comme religion XV - Le brigand impose la loi du silence et institue la vendetta XVI - La pieuse guerre injuste et fratricide XVII - Les zombies d'al-Lah n'aiment pas la vie XVIII - La fourberie légitimée XIX - Quand Dieu et Ses anges se prosternent devant Mahomet XX - Sourate 3: al-Lah se passe aisément des créatures XXI - Al-Lah est le meilleur des comploteurs XXII - Le chef de sa secte déclare la guerre à la liberté de conscience XXIII - La prostitution forcée des captives Version PDF (121 pages, 608 ko, copie libre, tous autres droits réservés) : Le coran démasqué XXI - Al-Lah est le meilleur des comploteurs
Où l'on montre que monsieur al-Lah n'était pas très doué pour la généalogie. Les versets 33 et suivants de la troisième sourate représentent les efforts de Mahomet pour intégrer dans son système de croyance une partie du répertoire chrétien. Mahomet espérait séduire les chrétiens de Médine et d'Arabie de cette façon. Cependant le chef de secte ignorait que l'enseignement fondamental du christianisme n'est pas dans la fiction mais dans la morale. Sourate 3 : AL-IMRAN ou la tribu d'Imran
34. Descendants les uns des autres : et al-Lah entend et sait tout. Mahomet tente de reprendre à son compte la généalogie fictive des traditions judéo-chrétiennes, mais il confond Imran père d'Aaron, contemporain de Moise, de la tribu de Levi, et Imran, père de Marie, grand-père de Jésus, de la tribu de Juda, distants de plus d'un millénaire ! "al-Lah entend et sait tout" : Monsieur al-Lah-je-sais-tout est fier de sa petite présentation mais il n'a pas conscience que sa confusion est ridicule et provoquera l'hilarité. 35. Considères ! une femme d'Imran dit : "O mon Seigneur ! Je te dédie ce qui est dans mon ventre pour ton service spécial : alors acceptes ceci de moi, car tu entends et sais toutes choses." Il me parait odieux de prétendre disposer de l'avenir d'un enfant sans lui en laisser le choix. Certaines cultures considèrent que leur progéniture appartient aux parents, à disposer comme bon leur semble. Ici les parents pensaient obtenir par dédicace à un dieu imaginaire quelque rétribution tout aussi imaginaire. 36. Quand elle fut délivrée, elle dit : "O mon Seigneur ! Vois ! Je suis délivrée d'une enfant femelle !" et al-Lah sut bien ce qu'elle avait enfanté, et de sagesse le mâle n'est pas comme la femelle. Je l'ai nommée Marie, et je te la recommandes ainsi que sa descendance à ta protection contre le Satan, le rejeté." "Et de sagesse le mâle n'est pas comme la femelle." Les vocations sacerdotales étaient réservées aux hommes à cause des tabous sur les règles, mais pas à cause de préjugés misogynes. En particulier la sagesse c'est la patience, l'écoute et la communication, toutes vertus féminines. J'ose faire observer que le ratio mâle de la population carcérale témoigne modestement d'une supériorité masculine en matière de sagesse. "Ta protection contre le Satan" : Le Satan n'a rien à voir dans cette histoire, mais fait le lien avec les chimères sataniques du conte de fées chrétien, en particulier l''immaculée conception de Marie faite sans rapport sexuel, donc sans Satan. Le diable était associé par confusion au rapport sexuel responsable du bannissement d'Adam dans le mythe de la Genèse. 37. Son Seigneur accepta gracieusement : Il la fit croître en pureté et en beauté : à la garde de Zacharie elle fut confiée. Chaque fois qu'il entrait chambre pour la voir, il la trouvait prête avec de la nourriture. Il dit : "O Marie ! D'où cela te vient-il ?" Elle dit :" d'al-Lah. car al-lah fournit la nourriture à qui il veut sans mesure." C'est la corne d'abondance des souverains mythiques. Les mythes de souveraineté ont été accumulés autour de Jésus et Marie comme autant de miracles, en incorporant de vieilles légendes indo-européennes. 38. Alors Zaccharie pria son Seigneur, disant : "O mon Seigneur ! accordes moi de toi une progéniture qui soit pure : car tu es celui qui entend les prières". 39. Comme il se tenait en prière dans la chambre, les anges l'appelèrent : "bonne nouvelle de Yahia, témoignant la vérité d'un mot d'al-Lah, et noble, chaste et prophète, de la compagnie des justes." Et cotera. Mahomet et ses poètes ont brodé sur des thèmes chrétiens qu'on trouverait dans l'évangile dite apocryphe de la nativité de Marie et le protévangile de Jacques, selon les notes de Rodwell. Luc 1 :5 raconte un conte voisin : Zaccharie, prêtre marié à Elisabeth, n'a pas d'enfants, avant que Jean-Baptiste (Yahia) ne lui soit annoncé. D'un autre côté, Marie, confiée à Joseph, tombe enceinte, avant que celui-ci ne l'épouse formellement, ce qui est perçu comme un déshonneur : c'est une origine possible du mythe. Comme les deux naissances sont liées dans le récit, et que l'un passe le pouvoir à l'autre, on peut considérer le binôme Jésus - Jean-Baptiste comme une version chrétienne des souverains alternants des mythes élaborés sur l'astrologie solaire (mythologies grecque, galloise). 47. Elle dit (Marie) : "O mon Seigneur ! Comment aurais-je un fils quand nul homme ne m'a touché ?" Il dit : "Même ainsi : al-Lah crée ce qu'il veut : quand il a décrété un plan, Il n'a qu'à dire 'Soit', et il est." On pense à Alexandre le grand qui se disait fils de Zeus. Ce conte de procréation magique sert à présenter Jésus comme un être extraordinaire. 48. "Et al-Lah lui enseignera l'écriture et la sagesse, la Torah et l'Evangile," Les évangiles ont été rédigées des siècles après la mort de Jésus par les inventeurs du christianisme, ils témoignent d'un effort délibéré de construction d'un mythe. Ce verset montre encore l'ignorance de Mahomet. 49. "Et un messager envers les enfants d'Israël : "'Je suis venu à vous avec un miracle de votre Seigneur, en faisant pour vous avec de l'argile, comme ceci, une figurine d'oiseau, et en soufflant dessus, et il devint un oiseau par permission d'al-Lah. et je guéris les aveugles et les lépreux, et je ressuscite les morts par permission d'al-Lah. et je vous dis ce que vous mangez et ce que vous entreposez dans vos maisons. Certainement voilà un miracle pour vous si vous croyez vraiment. "Voilà un miracle pour vous" : Mahomet est agacé par l'accumulation de miracles dans les textes chrétiens. Ceux-ci font paraître son propre personnage un peu minable, lui qui ne produit que son Coran comme décrété "miracle". Dans ce verset, il accorde donc sa permission à ses dévots d'adorer le faiseur de miracles Jésus. "Il devint un oiseau" : ce miracle-là serait dans l'évangile dite de Thomas. "Je guéris" : Jésus est présenté comme doué des pouvoirs de guérison attribués aux souverains dans les mythologies, comme Saint Louis, par exemple. "Je ressuscite les morts" : Ce tour de magie est le grand dada des chrétiens. On pense au chaudron de résurrection des légendes irlandaises. Plus loin, Mahomet campe un Jésus qui lui ressemblerait, autoritaire, brutal, fort éloigné de ce que les évangiles nous décrivent. Il a tout faux avec le verset qui suit : 50. "(Jésus : je viens) pour attester la Loi qui était avant moi. Et pour vous rendre licite une partie de ce qui vous était interdit : je suis venu à vous avec un Signe de votre Seigneur. Alors craignez al-Lah et obéissez-moi." "Obéissez-moi !" Ces mots que le Coran attribue à Jésus sont ceux de Mahomet. Mais les évangiles montrent plutôt un discours ambigu, contradictoire, surprenant voire bizarre. L'homme en robe et sandales ne portait pas le fer. Cet improvisateur campait un personnage de savant inspiré, donnant des leçons de morale en paraboles devant son public, mais il n'était certainement pas un dictateur. Matthieu 5 :4 : "Heureux les doux, ils auront la terre en héritage." "Craignez al-Lah" : Mahomet se trompe : ce Jésus prescrivait l'amour de Dieu plutôt que sa crainte (Matthieu 22 :37). "Pour attester la Loi qui était avant moi." Jésus le moraliste préférait l'esprit à la lettre de la Torah. Matthieu 7 :12 "Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le vous-mêmes pour eux : c'est la Loi et les Prophètes." Lire encore Matthieu 19 :16 et suiv. Et le bon Samaritain en Luc 10 :25-37. Jésus voyait dans la Torah une morale universelle sans discrimination. Mahomet l'a trahi en agressant tout ce qui n'est pas mahométan. "Rendre licite une partie de ce qui vous était interdit" : Mahomet se trompe encore : Matthieu 5 :17 "Je ne suis pas venu abroger mais accomplir". Mais en fait c'est Mahomet qui abrogea avec son Coran tout ce qui pouvait entraver le succès de ses entreprises violentes, comme cela l'arrangeait, en ruinant l'esprit et la morale des textes judéo-chrétiens. 51. "C'est al-Lah mon Seigneur et votre Seigneur : alors adorez-Le. C'est le droit chemin." Cette phrase est là pour faire le lien avec le système de Mahomet. On peut y lire un appel à la conversion à la manière du Coran. Mais Jésus n'avait rien d'un juif orthodoxe, même si il prétendait représenter une sorte de judaïsme populaire. Il n'était pas un prosélyte sectaire enragé non plus, mais faisait son show ici ou là, errant de village en village avec sa troupe. Quand il rencontrait l'hostilité, il laissait les gens en paix, et s'en allait simplement vers le village d'à côté. 52. Quand Jésus rencontra le rejet de leur part, Il dit : "Qui seront mes assistants pour al-Lah ?" Les disciples dirent : "Nous sommes les assistants d'al-Lah. Nous croyons en al-Lah, et nous témoignons que nous sommes musulmans. Les évangiles nous décrivent un Jésus qui aimait les joutes publiques de questions et réponses quand il s'adressait aux pharisiens ou aux saduccéens. Il ne cherchait pas à fonder une nouvelle religion ni à convertir à un nouveau système, mais au contraire le christianisme a été inventé après sa mort. Ce personnage s'entoura d'une poignée d'hommes et de femmes dans une entreprise qui n'avait rien de violent : il s'agissait probablement d'une troupe de comédiens et de compères chargés de faire la publicité pour ses prêches. Rien à voir avec Mahomet, qui a recruté des mercenaires pour ses guerres au moyens d'accords secrets incluant des perspectives de butin. Tels étaient les "assistants" d'al-Lah, on devrait dire mercenaires-associés, dont le mot arabe est ansar. 53. "Notre Seigneur ! nous croyons dans ce que Tu as révélé, et nous suivons le Messager, alors enregistres nous parmi ceux qui sont témoins." Ce sont les ansar de Mahomet qui ont pu énoncer ce credo pour faire partie des listes de bénéficiaires des avantages promis par monsieur al-Lah. Les "témoins" étaient ceux qui prétendaient racketter les non-musulmans au nom du système mahométan représenté par le Coran. Mais pas les premiers chrétiens, qui témoignaient seulement de leur naïveté à croire un faiseur de miracles populaire et qui s'efforçaient de mettre en pratique une morale de charité envers autrui, loin de toute espèce d'entreprise violente ou criminelle. 54. Et ils complotèrent et et al-Lah complota aussi, et le meilleur des comploteurs est al-Lah. Monsieur al-Lah pimente par cette phrase amusante son évocation fort vague de l'histoire de Jésus : On sait que Mahomet était spécialiste des complots, coups-fourrés et autres fourberies, mais il n'était pas nécessaire de s'en vanter. Ici le mythomane inventa une machination abracadabrante de substitution d'un sosie à partir du récit de l'arrestation de Jésus. C'est peut-être parce que Mahomet, comme d'autres dictateurs, recourrait aux services d'un sosie pour se protéger. 55. Considères ! al-Lah dit : "O Jésus ! Je vais te prendre et t'élever à Moi et te délivrer de ceux qui blasphèment. Je fais faire ceux qui te suivent supérieurs à ceux qui rejettent la croyance, jusqu'au jour de la résurrection. Alors tu reviendras à Moi et je jugerai entre vous des sujets qui vous sont cause de dispute. Ce message s'adresse aux chrétiens que Mahomet tente de rallier. Il promet de leur octroyer un statut social supérieur aux kafir ou infidèles. Mais il n'est pas question ici d'égalité avec les musulmans. Les infidèles désignés ici sont probablement les juifs de Médine qui rejettent Mahomet, dont le blasphème est la fameuse plaisanterie : "al-Lah est pauvre et nous sommes riches". Le projet de Mahomet est alors un système de castes avec discrimination selon la religion et selon le sexe. 56. "Quant à ceux qui rejettent la croyance, Je les punirai d'une agonie terrible dans ce monde et dans l'au-delà, non plus ils ne trouveront quelqu'un pour les aider." "Ceux qui rejettent la croyance" : Ce verset précise la périphrase du verset précédent : Mahomet évoque la purification ethnique des juifs de Médine qu'il est en train d'entreprendre en assiégeant les ben Qaynuqa. 57. "Quant à ceux qui croient et font le bien, al-Lah leur paiera récompense. mais al-Lah n'aime pas ceux qui font le mal." "Ceux qui font le bien" : désigne les guerriers qui assiègent les ben Qaynuqa. "Al-lah leur paiera récompense" : une allusion au butin espéré de l'attaque de la tribu. Al-Lah n'aime pas ceux qui font le mal" : en clair cela signifie que Mahomet ne supporte pas l'humour. Voilà l'auto-apitoiement, et toute la pseudo-morale infantile du tyran psychopathe menacé par l'exposition de sa folie. 58. "Voilà ta récitation des miracles et un sage avertissement." Dans le fil de la sourate, Mahomet a complètement oublié qu'il prétendait citer Jésus, pour revenir à son dada, qui est l'agression des tribus juives de Médine. C'est encore al-Lah qui est supposé s'adresser à Jésus, de 55 à 58. L'évocation bidon de l'histoire de Jésus redevient la propagande anti-juifs habituelle du tyran. Ce sont bien sûr les mahométans qui vont réciter ces versets, c'est obligatoire et c'est assorti d'une menace. 59. Pareil à Jésus devant al-Lah était Adam : Il le créa de la poussière et lui dit "Sois" et il fut. Mahomet ici semble vouloir faire une concession à ces chrétiens qui placent Jésus sur un piédestal divin. Avec ce verset Jésus devient une espèce de marionnette du créateur, une idée encore plus absurde que l'Immaculée Conception, mais qui place avantageusement Mahomet-al-Lah en position de marionnettiste. 60. La vérité [vient] d'al-Lah seulement. alors ne fais pas partie de ceux qui doutent. Ce verset menaçant signifie que le mythomane Mahomet devient l'unique détenteur de la vérité, n'est-ce-pas. 61. Si quelqu'un dispute sur ce sujet avec toi, maintenant après que la connaissance t'en soit venue, dis : "Venez ! Rassemblons-nous, nos fils et vos fils, nos femmes et vos femmes, vous et nous : ensuite prions sincèrement et invoquons la malédiction d'al-lah sur ceux qui mentent !" Mahomet sait qu'il ne sait rien : pour convaincre les chrétiens de Najran et leur évêque Abou Hareth, outre les menaces, le félon ne connaît que sa spécialité, le duel de malédictions, c'est-à-dire le jeté de sort. Mais je pense qu'il faut comprendre ici l'expression "malédiction d'al-lah", comme une menace concrète de terreur future sur la tribu, hommes femmes, enfants confondus, qui sera perpétrée par les malfrats sous les ordres de Mahomet. 62. Voilà le récit véritable [de l'histoire de Jésus]. Il n'y a pas d'autre divinité qu'al-Lah. et al-Lah est certainement le Puissant, le Sage. Message de Mahomet : n'adorez que moi, sous-entendu, et pas Jésus, ni vos évêques. 63. Mais si ils se détournent, al-Lah a complète connaissance de ceux qui font le mal. Mahomet menace ceux qui voudraient faire défection des allégeances qu'il considère acceptées. 64. Dis : "O Peuple du Livre ! venez à un arrangement entre vous et nous : Que nous n'adorons nul excepté al-Lah. que nous n'associons aucun partenaire avec Lui. que nous n'élevons pas, au milieu de nous, de seigneurs ou de patrons autres qu'al-Lah." Si ils se détournent, dis : "soyez témoins que nous sommes musulmans." Mahomet propose aux chrétiens et aux juifs du territoire qu'il veut contrôler un marchandage truqué. "Nous n'adorons nul excepté al-lah" : vous n'adorerez que moi, Mahomet, c'est-à-dire al-Lah, et vous ne cotiserez qu'à moi. "Nous n'associons aucun partenaire avec lui" : vous n'aurez pas d'autre alliance qu'avec ma bande. "Nous n'élevons pas de seigneurs ou de patrons autres qu'al-lah" : vous n'aurez pas d'évêques ni de rabbins mais Mahomet seulement comme chef. Le tyran craignait tant toute espèce de concurrence qu'il empêcha tout autre que lui-même de s'élever. Le résultat de ceci est catastrophique car n'importe quel ignorant peut en théorie se proclamer Imam et enseigner n'importe quoi sans en répondre devant une hiérarchie. Soyez témoins que nous somme musulmans" : La prosternation collective est un geste qui sert à impressionner par la discipline que manifestent les mahométans : il contient aussi une menace de guerre, parce que la notion de témoin dans le système mahométan contient une prétention à racketter qui n'est pas musulman. Notez comment dans ce verset al-Lah est à la fois le dieu qu'on adore, et le seigneur local auquel on obéit, c'est-à-dire que Mahomet est en fait al-Lah. 65. Vous peuple du Livre ! Pourquoi disputez-vous à propos d'Abraham, alors que la Torah et les Evangiles n'ont été révélés qu'après lui ? N'avez-vous pas d'intelligence ? Al-lah s'emporte et fait dans l'insulte gratuite. Mahomet a choisi Abraham comme pivot de son système justement pour prétendre à l'antériorité. Mais la bible présente un mythe d'Abraham qui n'est pas celui concocté par le tyran et ses poètes. 66. Ah ! Vous êtes de ceux qui tombent dans la dispute sur des sujets que vous ne connaissez pas ! Mais pourquoi discuter de ce que vous ne connaissez pas ? C'est al-Lah qui sait, et vous ne savez pas ! L'argument de monsieur al-Lah est celui de l'arrogance violente. Mahomet parle tant de ce livre qu'il n'a même pas lu et dont il invente un contenu qui lui convienne. 67. Abraham n'était pas juif ni encore chrétien. mais il était vrai en fidélité (hanif), et soumettait sa volonté à al-Lah, et il n'associait pas de divinités à al-Lah. Abraham était client d'un devin-nécromancien-astrologue (Coran 2:260 et Genèse 15:9). Pas très monothéiste le personnage à mon avis. 68. Sans doute, parmi les hommes, les plus proches d'Abraham, sont ceux qui le suivent, comme le fait ce messager (Mahomet) et ceux qui croient : et al-Lah est le protecteur de ceux qui ont de la croyance. Message narcissique : Mahomet = Abraham Message de menace : Mahomet protège ceux qui suivent son système, et sous-entendu, il agresse ceux qui ne le suivent pas. 69. C'est l'intention d'un parti des peuples du Livre de te mener à l'erreur. Mais ils ne feront errer qu'eux-mêmes, et ne le réalisent pas. Le paranoïaque Mahomet se croit victime d'un nouveau complot. 70. Vous peuple du Livre ! Pourquoi rejetez-vous les miracles d'al-Lah, dont vous êtes témoins ? "Les miracles d'al-Lah" désignent le Coran, c'est-à-dire le mensonge grandiloquent, grotesque et sinistre d'un bandit ignorant. 71. Vous peuple du Livre ! Pourquoi travestissez-vous la vérité du mensonge, et cachez-vous la vérité, alors que vous en avez connaissance ? "Vérité" ici désignerait la traduction de la haggada qui inspire Mahomet, des contes à ne pas prendre au premier degré. 72. Un parti du peuple du Livre dit : "Crois le matin ce qui est révélé aux croyants, mais rejettes le à la fin du jour". Peut-être se repentiront-ils ? "Crois le matin ce qui est révélé aux croyants, mais rejettes le à la fin du jour" : Il s'agirait d'un dicton traditionnel, un conseil de sagesse transmis par un peuple qui a des millénaires de pratique religieuse étouffante dans ses traditions. Mais Mahomet ne comprend pas le dicton : ce verset suggère que les tribus persécutées par Mahomet étaient contraintes à la dissimulation. 73. Et ne crois personne qui ne suive ta croyance. Dis : "La vraie guidance est la guidance d'al-Lah. Autrement une révélation serait envoyée à quelqu'un [d'autre que Mahomet], comme ceci qui t'a été envoyé. Ou encore ceux-là [qui auraient reçu cette autre révélation] s'engageraient dans une dispute avec toi devant ton Seigneur." Dis : "Toute richesse est entre les mains d'al-lah. Il l'accorde à celui qui lui plaît, et al-lah veille sur chacun et sait toutes choses." "Ne crois personne qui ne suive ta croyance" : c'est le comble d'un esprit sectaire, obtus. "Toute richesse est entre les mains d'al-lah" : Mahomet avoue dans ce verset le motif de son sectarisme : il craint qu'un autre bandit que lui n'utilise la même ruse de se prétendre prophète afin de s'approprier toutes les richesses d'Arabie. 74. Pour sa grâce il choisit spécialement qui il veut, car al-Lah est seigneur de richesses sans limites. "Il choisit spécialement qui Il veut" : Le truc de la religion-banditisme est à saisir par le plus opportuniste sans qu'aucun argument ne puisse l'invalider, puisque toute croyance est chimère. "Seigneur de richesses sans limites" : Celui qui parvient à exploiter l'affaire ne connait pas de frein à ses ambitions. 75. Parmi le peuple du Livre, certains recevant un quintar vont le repayer, d'autres recevant un dinar, ne repaieront que si tu leur demandes constamment, parce que disent-ils, "Il n'y a pas obligation sur nous de la part de ces ignorants." Mais ils disent un mensonge contre al-Lah, et le savent. Cette généralisation à caractère raciste trouverait son origine dans le refus d'un marchand de Médine de céder au racket de la secte. Le quintar représente une forte somme d'argent, le dinar une somme plus modeste. Mais repayer Mahomet devait signifier aussi se battre à sa guerre. 76. Non. Ceux qui tiennent leurs engagements jurés et agissent correctement, vraiment al-Lah aime ceux qui agissent correctement. "Al-lah aime ceux qui agissent correctement" : Le marchand juif ibn Sunyanah a été tué par un mahométan. Quand on nomme un bandit aux fonctions de juge, il faut s'attendre au pire. 77. Quant à ceux qui vendent l'allégeance qu'ils doivent à al-Lah pour un petit prix, ils n'auront pas part à l'au-delà. Ni al-Lah ne leur parlera ni ne les regardera au jour du jugement, ni ne les lavera. ils auront peine sévère. Voici encore quelques versets de ce Coran destinés à satiriser les chrétiens. 78. Il y en a parmi eux qui tordent le Livre avec leurs langues : vous croyez que c'est une partie du Livre, mais ce n'est pas partie du Livre. Et ils disent : "C'est d'al-Lah", mais ce n'est pas d'al-Lah. Ce sont eux qui disent un mensonge contre al-Lah et ils le savent ! "Il y en a parmi eux" : Comme d'habitude, Mahomet préfère l'insinuation au lieu de nommer ceux qu'il agresse dans son Coran. De la même manière il est incapable de nommer le texte qu'il condamne dans ce verset. "Ce n'est pas partie du Livre" : Mahomet se réfère à une traduction arabe de la haggada et de certains apocryphes chrétiens, donc tout autre écrit est à ses yeux blasphématoire. L'ignorant interdit toute connaissance. "Ce n'est pas d'al-Lah" : Evidemment, ce qu'ignore Mahomet échappe à son contrôle, donc il le considère comme blasphème. En fait il rejette tout ce qui ce qui n'est pas ce Coran dont il a commandé la rédaction à ses poètes. C'est-à-dire qu'il fait table rase de toute espèce de tradition pour imposer à la place ses propres mensonges. 79. Il n'est pas qu'un homme à qui est donné le Livre et la sagesse, et la prophétie, qu'il dise au peuple : "Soyez mes esclaves plutôt qu'al-Lah" Au contraire : "Soyez les esclaves du Seigneur, car j'enseigne le Livre et l'étudie constamment." On apprend là que Mahomet étudiait constamment sa version arabe de la haggada et du christianisme élaborée peut-être par Waraqa bin Naufal. C'est à partir de ce livre qu'il repérait des situations plus ou moins similaires à la sienne, afin d'en faire la matière de ses commandes des versets du Coran. "Soyez mes esclaves plutôt qu'al-Lah" : Cette phrase est absente des paroles attribuées à Jésus par la tradition : c'est du Mahomet. Lire au contraire : Matthieu 22 :37, Marc 12 : 29. 80. Non plus ne devrait-il vous instruire de prendre anges et prophètes pour seigneurs et maîtres. Quoi ! vous détournerait-il de la croyance après que vous vous soyez soumis ? Mahomet n'est pas capable de s'exprimer clairement en citant ses sources, mais la critique me semble viser les constructions théologiques chrétiennes élaborées laborieusement des siècles après la mort de Jésus, comme la Sainte Trinité. Mahomet confond l'ange Gabriel avec le concept du Saint-Esprit. Il craint surtout que les esclaves de son système ne lui échappent. 81. Considères ! Al-Lah conclut alliance avec les prophètes, disant : "Je te donne un Livre et sa compréhension. alors vient à toi un messager, confirmant ce qui est avec vous. Croyez en lui et fournissez-lui assistance." al-Lah dit : "Acceptez-vous, et prenez-vous cette alliance comme contraignante sur vous ?" Ils dirent : "Nous acceptons". Il dit : "Alors soyez témoins, et je suis avec vous parmi les témoins." Mahomet affirme ici que tout homme qui se prétend envoyé de Dieu doit être cru sur le champ. C'est-à-dire qu'il tente d'exploiter la folie monothéiste à son profit. C'est sa ruse, c'est son système. Et il va faire tout son possible pour empêcher les imitateurs. Mais lisez plutôt Matthieu 7 :15 : "Gardez-vous des faux prophètes..." "Confirmant ce qui est avec vous" On a vu que comment Mahomet étalait son incompétence, et son incapacité à citer quoi que ce soit correctement : son truc n'a marché qu'avec les ignorants. "Al-Lah conclut alliance avec les prophètes" : J'y vois une allusion au traité de Médine, où Mahomet conclut alliance avec les tribus juives et chrétiennes au nom d'al-Lah. "Je suis parmi les témoins" : On comprend que le mot témoin "shahid" à aussi le sens de garant. C'est-à-dire que le garant d'un accord est autorisé à le faire appliquer, au besoin par la force. Du coup on comprend l'insistance de Mahomet sur cette notion de témoin : il prétend par ce non-sens légitimer sa violence et celle des musulmans. 82. Ceux qui se détournent après cela, sont des transgresseurs. Il s'agit d'une menace et d'une satirisation déjà rencontrée. Le fourbe Mahomet prétend donner des leçons de loyauté à autrui. 83. Cherchent-ils autre chose que le système d'al-Lah, alors que toutes créatures des cieux et de la terre se sont, bon gré ou mal gré, soumises à Sa Volonté, et qu'à Lui ils seront ramenés ? "Toutes créatures se sont, bon gré ou mal gré, soumises à sa volonté" : Mahomet se prévaut d'avoir soumis par la contrainte ou la persuasion l'ensemble des gens de Médine. "Bon gré ou mal gré" : C'est la conversion forcée. "A lui, ils seront ramenés :" Mahomet rappelle qu'il est juge de Médine selon le traité. Ce verset traduit l'intolérance du système mahométan. 84. Dis : "Nous croyons en al-Lah, et dans ce qui nous a été révélé et ce qui fut révélé à Abraham, Ismael, Isaac, Jacob, et aux tribus, et ce qui a été donné à Moise, Jésus et aux prophètes, par leur Seigneur. Nous ne distinguons pas entre l'un et l'autre parmi eux, et à al-Lah nous nous soumettons." C'est le thème du verset 2 :285, qui suggère que les deux versets sont plus ou moins contemporains. Il s'agit de la concession faite aux chrétiens dans le nouveau système de Mahomet après la contribution de l'évêque de Najran. 85. Si quelqu'un désire une religion autre que l'islam, cela ne sera pas accepté. Et dans l'Au-delà, il sera dans les rangs de ceux qui ont perdu. C'est l'intolérance caractérisée. 86. Comment al-Lah guidera-t-il ceux qui rejettent le système après qu'ils l'aient accepté et porté témoignage que le messager était vrai et que des miracles clairs étaient venus à eux ? mais al-Lah ne guide pas un peuple injuste. L'argument répété comme dans la sourate 2 est que la signature du traité de Médine impliquait pour les tribus juives et chrétiennes la conversion au système de Mahomet. "Comment al-Lah guidera-t-il" : Les mots suggèrent une guidance spirituelle, mais il s'agit en fait de la dictature absolutiste, on peut dire le fascisme de Mahomet. Le notion de guidance se retrouve d'ailleurs dans le titre préféré des grandes figures du fascisme : "il Duce" italien, "der Führer" allemand. 87. Pour ceux-là la récompense est la malédiction d'al-lah, de ses anges et de tous les gens. La malédiction d'al-lah, de ses anges et de tous les gens." En clair cela désigne la terreur de Mahomet et sa bande sur les tribus qui ne se convertissaient pas à son culte. Mahomet prétend avec cet abus légitimer les atrocités de la purification ethnique de Médine commise par ses gens. 88. Ils y résideront; et leur peine n'aura nul répit. Le bandit promet une guerre sans répit. 89. Sauf pour ceux qui se repentent après cela, et paient amendes. car al-Lah est pardonneur, royal. "Paient amendes". Comme d'habitude toute l'affaire n'est au fond qu'un racket. 90. Mais ceux qui rejettent la croyance après l'avoir acceptée, et qui continuent à défier le système leur repentance ne sera jamais acceptée, car ils sont ceux qui se sont égarés. C'est une menace de Mahomet envers les chrétiens qui refuseraient de se convertir à son système. Après ce verset, Mahomet en a fini avec les chrétiens, alors ils retournent à la satirisation de ses victimes habituelles, les juifs de Médine et d'Arabie. 91. Quant à ceux qui rejettent la croyance, et meurent dans son rejet, on n'acceptera jamais d'eux autant d'or que la terre contient même si ils l'offrent en rançon. Pour ceux-là, est une peine sévère, et ils ne seront pas secourus. Monsieur al-Lah aime l'or, mais protéger son narcissisme est sa priorité : le verset vise les rabbins parce que leur savoir représente une menace pour les prétentions du mythomane. Mahomet veut les éliminer physiquement. On trouve encore dans cette sourate quelques-uns de ces trucs de bandits qui servent à présenter la prédation qu'ils exercent comme une entreprise légitime, favorable, bonne. Avec Mahomet, le banditisme et la lâcheté qui consiste à céder aux exigences des bandits deviennent des actes pieux. L'objectif est double : nier sa propre culpabilité, et nier tout recours à ses victimes. 92. Vous n'attendrez la piété que si vous donnez ce que vous adorez. et ce que vous donnez, vraiment al-Lah le sait. La piété ici consiste à enrichir le bandit. C'est l'exigence d'une forte somme d'argent adressée aux tribus juives. 93. Toute nourriture était licite aux enfants d'Israel, sauf ce qu'Israel a fait licite pour lui, avant que la Torah ne soit révélée. Dis :"Apportez la Torah et étudiez-la, si vous êtes véridiques." On comprend que Mahomet essaie de se faire plus savant que les rabbins parce qu'il s'est à nouveau ridiculisé face à eux : c'est pourquoi il reprend sa satirisation du verset 91. La dispute aurait porté sur la viande de chameau, selon Kazimirski. 94. Si quelqu'un, après cela, invente un mensonge et l'attribue à al-Lah, est vraiment maléfacteur. "Maléfacteur" : faire le mal, dans ce Coran, c'est exposer l'imposture de Mahomet, simplement en rappelant des textes que celui-ci ignore. Aux yeux du mythomane, c'est un crime, et le verset est menaçant. 95. Dis : "Ainsi parle la vérité : suis la religion d'Abraham, le hanif : il n'était pas associateur." "Dis" : C'est probablement un mot ajouté dans ce verset et les suivants pour intégrer les messages dans la syntaxe d'une révélation divine à la première personne. Un indice que le mythe de la révélation divine du Coran s'est constitué assez tardivement. "La vérité" : désigne les sources de Mahomet, ici probablement Zayd ben Amr. 96. La première Maison appointée pour les hommes était à La Mecque. Pleine de bénédiction et de guidance pour toutes sortes d'êtres. C'est un style différent : Mahomet reproduit les expressions de cette source qui a fait d'Abraham et du mythe Ismael-Mecca le pivot de son culte. Mahomet dépité par les rabbins se retranche dans une mythologie que ceux-ci ne contesteront pas, car elle leur est étrangère. 97. Dans cela sont des Miracles manifestes : la station d'Abraham; qui y entre est en sécurité; le pèlerinage y est un devoir que les hommes doivent à al-Lah; ceux qui peuvent se permettre le voyage; mais si quelqu'un nie la croyance, al-Lah n'a besoin d'aucune de ses créatures. C'est un message très menaçant : si quelqu'un nie ce conte ismaélien ou ses autres inventions, Mahomet s'en passera, c'est-à-dire qu'il le fera assassiner. 98. Dis : "O Peuple du Livre ! Pourquoi rejetez-vous les miracles d'al-Lah, quand al-Lah est témoin de ce que vous faites ?" "Les miracles d'al-Lah" : désigne le Coran. Mahomet ne comprend pas ces rabbins qui restent fidèles à leurs traditions en dépit de ses menaces, tout en sachant maintenant que le bandit va les terroriser, les déporter ou les exterminer. Mahomet est un être cynique, et il pense que les gens en charge sont cyniques comme lui, et qu'ils considéreront froidement les rapports de force et les risques. Mais les rabbins sont dédiés à la préservation de traditions qui ont survécu aux pires des persécutions. Ils ne céderont pas aux menaces du tyran. 99 Dis : "O vous Peuple du Livre ! Pourquoi détournez-vous ceux qui croient, du chemin d'al-Lah, en essayant de le montrer tordu, alors que vous étiez vous-mêmes témoins ? Mais al-Lah n'est pas inattentif à tout ce que vous faites." "Al-Lah n'est pas inattentif" : Menace encore envers ceux qui risqueraient de faire douter les adeptes de Mahomet. "Vous étiez vous-mêmes témoins" : Mahomet se réfère probablement au traité de Médine qui obligeait les tribus à reconnaître son autorité. 100. O vous qui croyez ! Si vous écoutez une faction parmi le Peuple du Livre, ils vous rendront apostats après que vous ayez cru ! 101. Et comment renieriez-vous la croyance alors que sur vous sont redits les miracles d'al-Lah, et que parmi vous vit le Messager ? A qui tient fermement à al-Lah sera montré un chemin qui est droit. Les bandits s'imposaient entre eux des serments sur la vie et la mort pour valider les alliances. Ils n'était pas question de revenir sur de tels serments, sous peine de devenir la cible des témoins du serment. Dans la même logique, Mahomet incita ses adeptes à tuer les défecteurs de son organisation, un peu comme une mafia tuerait ceux qui en savent trop (voir Coran 4 :89). Mais ce double langage qui fait de son organisation une religion, tend à assimiler de tels défecteurs avec les apostats, ce qui reviendrait à inciter à tuer ceux ont cru Mahomet naïvement, puis se ravisent ensuite en réalisant la nature de son système. C'est une des raisons qui rendent ce Coran si nuisible. Tandis que les pères de l'église ont écarté du canon chrétien les textes moralement dangereux, le calife Uthman a institué sa compilation de versets en monument national civilisateur, sans considérer qu'un bonne partie de ces versets étaient au service d'une organisation criminelle. Inutile de chercher ailleurs les origines de ces violences sectaires qui endeuillent et accablent le monde aujourd'hui. 102. O vous qui croyez ! Craignez al-Lah comme il doit être craint, et ne mourrez pas sinon en état de soumission (muslim) On peut lire ici encore en filigrane cette menace de mort adressée à ceux qui ont prêté serment mais sont tentés de quitter l'organisation du bandit. 103. Et tenez bon, tous ensemble, par la corde d'al-Lah, et ne soyez pas divisés entre vous; et rappelez-vous avec gratitude la faveur d'al-Lah envers vous; car vous étiez ennemis et il a joint vos cours en amour, afin que grâce à lui, vous deveniez frères; et vous étiez au bord du puits de Feu, et il vous en a sauvés. Ainsi al-Lah vous expliqua ses miracles, afin que vous soyez guidés. On comprend avec ce verset l'affaire dont il est question. Les tribus juives de Médine, confrontées à l'attaque et la déportation des ben Qaynuqa, et craignant de subir le même sort, ont essayé de réactiver leurs anciennes alliances avec les ansar de Mahomet, les tribus Aus et Khazraj, afin de séparer le meneur sectaire de son bras armé. Cette démarche a échoué. "La corde d'al-Lah" : Rodwell y voit une métaphore du Coran. Mais il s'agit peut-être plutôt d'un rituel pratiqué lors du serment prêté à Aqaba avec les Ansar. "La faveur d'al-lah" : désignerait le traité de paix entre les tribus rédigé par Mahomet. 104. Que s'élève parmi vous un peuple qui invite à tout ce qui est le bien, qui enjoignent ce qui est juste, et qui interdisent ce qui est injuste : Ceux-là atteignent la félicité. Mahomet avait besoin de groupes de fanatiques armés pour ses guerres, pour le racket des populations et les conversions forcées. L'interprétation de ce genre de verset peut inciter les plus violents à se séparer des modérés pour mettre le fanatisme en pratique, et inciter dans le même temps les modérés à ne pas dénoncer les premiers. 105. Ne soyez pas comme ceux qui sont divisés entre eux et se disputent après avoir reçu des Signes : pour ceux-là est une punition terrible, Satire des juifs et chrétiens. 106. Le Jour où quelques visages seront blancs, et d'autres visages seront noirs : A ceux dont les visages seront noirs : "Avez-vous rejeté la croyance après l'avoir acceptée ? Goûtes alors la punition pour avoir rejeté la croyance." Dans la satire, Mahomet confond les religions judéo-chrétiennes avec le système totalitaire qu'il a conçu pour régner. On trouve un parfum raciste dans sa métaphore sur la couleur de peau. 107. Mais ceux dont le visage sera blanc, ils seront dans la miséricorde d'al-Lah : ils y résideront. La miséricorde du dictateur désigne ici le Paradis imaginaire dont Mahomet se dit le portier, un établissement de plaisir bien approvisionné en jeunes vierges et où le vin coule à flots. 108. Ceux-ci sont les Signes d'al-Lah. Nous vous les répétons en vérité : et al-Lah ne sera pas injuste envers aucune de ses créatures. Les "Signes d'al-Lah" désignent les versets qui promettent le Paradis aux frustrés qui suivent Mahomet. Ces versets sont pour ceux-là à réciter pieusement afin de bien s'en intoxiquer. Le bandit précise pour ceux de ses fidèles que la métaphysique ne convainc pas, qu'il n'est pas un tyran injuste, c'est-à-dire qu'il redistribuera aussi le butin à ses fidèles, c'est-à-dire "ses créatures". Taghout Mon blog : Le Taghout
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