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Le Coran démasquéune lecture non-croyante du CoranXVIII - La fourberie légitiméepar Taghout - 07/06/2012 Les textes publiés dans Vos contributions (rouge foncé) ne représentent que l'opinion de leurs auteurs.
II - Sourate 2 : Mohammed Al-Lah, sorcier et homme lâche III - Un fanatisme construit sur la peur IV - Les vierges au Paradis des assassins V - Le régent sanguinaire ou le khalifat VI - Le dieu créateur sert une machine de guerre VII - Mahomet aux tribus juives de Médine : la conversion ou bien ma terreur VIII - Quand Mahomet se prend pour Moïse IX - Le décalogue tronqué des bandits X - Sa Gloire Mahomet-al-Lah, raciste, suprémaciste XI - La propagande prépare la purification ethnique XII - Al-Lah est une girouette XIII - Le culte de la nation arabe XIV - Le brigandage comme religion XV - Le brigand impose la loi du silence et institue la vendetta XVI - La pieuse guerre injuste et fratricide XVII - Les zombies d'al-Lah n'aiment pas la vie XVIII - La fourberie légitimée XIX - Quand Dieu et Ses anges se prosternent devant Mahomet XX - Sourate 3: al-Lah se passe aisément des créatures XXI - Al-Lah est le meilleur des comploteurs XXII - Le chef de sa secte déclare la guerre à la liberté de conscience XXIII - La prostitution forcée des captives Version PDF (121 pages, 608 ko, copie libre, tous autres droits réservés) : Le coran démasqué XVIII - La fourberie légitimée
Où l'on raconte comment le polygame craignait ses épouses. Où l'on révèle la prostitution forcée des captives. Les hadiths, les récits de Tabari et d'Ibn Ishaq révèlent une réalité brutale, atroce, faite de pillages, de massacres, de traités rompus, d'assassinats, de tortures et de viols. On a vu que monsieur al-Lah ignorait ces commandements de base du judaïsme qui interdisent d'invoquer Dieu, de rompre les serments, de tuer ou de faire tuer, de convoiter le bien d'autrui et de le voler, ou de porter faux témoignage. A la place, la fourberie est codifiée chez Mahomet, dans plusieurs versets dont ceux qui suivent :
225. Al-Lah ne vous tiendra pas rigueur pour la légèreté dans vos serments, mais pour l'intention dans vos coeurs. Et Il est Pardonneur, Patient. La doctrine de Monsieur al-Lah dans ce Coran, dite taqqiya, serait celle-ci : Il est légitime de mentir et de rompre ses serments si c'est au service de ce que Mahomet considère comme la bonne cause. C'est ce qu'il veut dire par "l'intention dans les coeurs". En effet, la guerre de brigandage qu'il mène repose sur la fourberie : "la légèreté dans vos serments". Il me semble qu'il faille interpréter dans ce verset "faire le bien" par rapporter du butin, "faire craindre" par terroriser, "faire la paix" par convertir et faire acquitter l'impôt. Du coup certains abusent du procédé et trompent Mahomet lui-même, c'est-à-dire qu'ils ne reversent pas sa part du butin au chef. C'est : "tromper al-Lah". On pourrait dire que la dissimulation représentait le brouillard de guerre collectif du jeteur de sort qu'était Mahomet aux yeux de ses hommes. Une telle doctrine est choquante, et elle est cachée. Mais lisez Coran 2.256, 3:28, 5:89, 8:58. 2:256. Pas de contrainte dans la religion (le système de croyance de Mahomet): La vérité se sépare de l'erreur. Qui rejette le taghout et croit en al-Lah a saisi une poigne ferme qui ne cassera pas. Et al-Lah entend et sait toutes choses. "Pas de contrainte dans la religion" : Les dissimulateurs utilisent ce verset pour présenter le Coran sous un jour tolérant. Mais le sens serait plutôt qu'aucun engagement n'a valeur de contrainte aux yeux de la religion de Mahomet. C'est-à-dire que les engagements pris antérieurement par les convertis mahométans devenaient caducs. En particulier les accords de protection qui existaient entre les ansar et les tribus juives de Médine ne valaient plus. En pratique, les khazraj, horrifiés par la trahison de Mahomet envers les tribus juives de Médine, ne pourront pas défendre leurs anciens alliés. "La Vérité se sépare de l'Erreur" représente la purification ethnique de Medine, et ici la déportation des tribus juives. La "poigne ferme" suggère aussi une menace. "Le Taghout" ici désigne le mal selon Mahomet, c'est-à-dire ce qui expose son narcissisme, ce qui critique ou rejette son imposture. 3 :28. Que les croyants ne prennent pas comme amis ou alliés des rejeteurs (kafir) plutôt que des croyants. Si l'un d'entre eux fait cela, il n'y aura pas d'aide d'al-Lah. L'exception, c'est pour raison de précaution, afin de vous garder d'eux. Mais al-Lah vous avertit Lui-même, car le but final est pour al-Lah. Autrement dit, faites semblant de n'être pas musulmans afin d'infiltrer l'ennemi et de l'attaquer par derrière: mais attention n'oubliez pas la part du butin de monsieur Mahomet sinon gare à vous. C'est ce que faisaient les bandits de la secte des Thuggees qui ont sévi dans les Indes sous administration britannique. Il est même possible que ceux-ci aient pris leur source d'inspiration dans ce genre de versets. Cela soulève aussi la question de la loyauté vis-à-vis d'institutions non-musulmanes. 8 :58. Si vous craignez une trahison de la part d'un groupe, alors renvoyez-leur [l'alliance conclue], en termes égaux : car al-Lah n'aime pas les traîtres. Mahomet ne se gêna pas pour dénoncer unilatéralement un traité sur un prétexte, un vague soupçon: c'est ainsi qu'il viola le traité de Medine et attaqua les tribus juives. De même il dénonça après deux ans seulement la trêve conclue avec La Mecque, qui devait durer dix ans. 5 :89. Al-Lah ne tiendra pas rigueur de ce qui est futile dans vos voeux, mais Il vous tiendra compte pour vos voeux délibérés : pour expiation, nourrissez dix pauvres, à mesure de la nourriture moyenne pour vos familles, ou bien habillez les, ou donnez à un esclave sa liberté. Si c'est au delà de vos moyens, jeûnez pour trois jours. Tel est l'expiation pour les serments que vous avez jurés. Mais tenez-vous à vos serments. Ainsi al-Lah rend clairs ses Prodiges, afin que vous soyiez reconnaissants. La sourate 5 a été produite après la trêve avec les meccans. Mahomet y tempéra quelques peu ses versets antérieurs qui avaient conduit à des abus. D'où des versets incohérents: D'un coté on demande aux adeptes de tenir leurs serments, de l'autre le verset valorise l'honneur de l'adepte à quelques tickets restaurants. Certains bandits sont d'honneur, mais ceux de Mahomet ne l'étaient pas. Le vil Prodige que voilà ! A la place de ces versets du mensonge et de la fourberie, que devrait-on trouver dans un livre de religion ? Je propose les mots suivants: intégrité, loyauté, fidélité, réalité. Mais pour finir ce paragraphe sur les serments de façon plus légère, voici Coran 66:1-2 66:1. Ô Prophète! Pourquoi tiens-tu pour interdit ce qu'al-Lah a fait légitime pour toi ? Tu cherches à plaire à tes épouses. Mais al-Lah est Pardonneur, Royal. 66:2. Al-Lah a déjà ordonné pour vous, la dissolution de vos voeux: et al-Lah est votre Protecteur, et Il est Plein de Connaissance et de Sagesse. Devenu plus tard quasiment maître de l'Arabie, le tyran Mahomet adressa une demande de soumission à Alexandrie auprès de Mauqaqis, gouverneur de l'Égypte. Celui-ci, bien informé des appétits particuliers du sexagénaire, lui fit parvenir diplomatiquement deux jeunes filles coptes, les sours Maria et Shiren Qibtia, ainsi qu'une mule blanche, un symbole de souveraineté un peu ambigu, car la mule est un animal bâtard, un rappel que le père de Mahomet était un enfant illégitime. Le despote passa alors toutes ses nuits avec la jeune Maria, qu'il traitait comme une esclave sexuelle, alors ses femmes Hafsa et Aïsha lui ont fait promettre de revenir à ses devoirs conjugaux. Monsieur "Plein de Connaissance et de Sagesse" ne respectait pas ses engagements, on l'a bien compris. Sa parole donnée ne valait rien, pas plus que celle de ses adeptes. Mais insulter l'intelligence de tous par des "révélations" de cet acabit n'a pas paru trop bas à ce mythomane. Le narcisse a besoin de son Dieu-Tout-Puissant pour résoudre sa petite affaire conjugale : voilà sa peur des femmes et le mépris dans lequel cet homme tenait son Coran et les croyants. Vous croyez, lecteur ? Mahomet s'est moqué de vous, depuis A jusqu'à Z. L'erreur consiste à considérer ce Coran comme un livre de religion, alors qu'il n'était que l'instrument d'un despote manipulateur, sans morale et sans scrupules. Je saute quelques versets parce qu'ils ne servent pas mon propos : les considérations de monsieur al-Lah sur le mariage et le divorce n'ont aucune valeur puisqu'il ignore le consentement mutuel dans le mariage. La société arabe qu'il a détruite valait mieux, puisque les femmes pouvaient choisir leur époux (comme Khadija l'a fait), elles pouvaient prétendre à un statut social élevé, diriger une entreprise, écrire de la poésie, etc... Quand le "mariage" consistait à violer des captives, en quoi consistait le divorce ? 2.226. Pour ceux qui font voeu de s'abstenir de leurs femmes, un délai de quatre mois est prescrit. Si alors, ils reviennent [sur leur vou] al-Lah est Pardonneur, Royal. 2:227. Mais si leur intention de divorcer est ferme, al-Lah entend et sait toutes choses. On lit en 2:228 l'injustice: que les hommes ont un avantage en droit. 2:229 évoque des "divorces" à répétition et des transgressions licites, et des femmes qui doivent racheter leur liberté en "donnant quelque chose" : C'est très évocateur de la prostitution forcée des captives. Voilà un crime des plus affreux qu'un tel verset dissimule. 2:229. Un divorce est permis seulement deux fois. Après cela, les parties devraient soit tenir ensemble sur des termes équitables, ou bien se séparer avec gentillesse. Il n'est pas licite pour vous de reprendre vos cadeaux, sauf quand les deux parties craignent de n'être pas capables de respecter les prescriptions d'al-Lah. Si vous craignez de ne pas être capables de respecter les prescriptions d'al-Lah, il n'y a pas de blâme sur l'un ni l'autre si elle donne quelque chose pour sa liberté. Voilà les limites prescrites par al-Lah. Alors ne les trangressez pas. Si quelqu'un les transgresse, celui là abuse. Le verset 2:231 évoque aussi des violences et des viols. En 2:232 on comprend que les captives pouvaient être déjà mariées à des prisonniers encore en vie. La morale abyssale de Mahomet ne respecte même pas le commandement qui interdit l'adultère. En Coran 4:24 on a le "mariage" temporaire contre argent, ce qui ressemble aussi à de la prostitution. Notes : La mule blanche que Mauqaqis offrit à Mahomet est un symbole de souveraineté car elle se rattache au rituel du sacrifice du cheval déjà évoqué. Ce rite remonte aux cultes lunaires néolithiques : Dans sa forme originelle, le futur roi devait pratiquer un certain rituel avec une jument blanche, incluant la bestialité. On laissait ensuite divaguer l'animal sur le futur territoire du souverain. Partout où allait la jument, le roi devait répondre à tous les challenges et s'imposer. Puis on mangeait la bête. La jument représentait la lune, par analogie de teinte, par son sexe et par la forme en croissant des traces laissées par ses sabots. Taghout (Tagh - Oth signifierait Poisson - Céleste ?) désignait peut-être à l'origine la constellation des poissons dans le système astrologique du sanctuaire meccan. Les appétits particuliers de Mahomet : Hadith Sahih Mouslim Numéro 3310: "Aisha (Qu'Allah soit satisfait d'elle) a rapporté: L'Apôtre d'Allah (puisse la paix être sur lui) m'a épousée quand j'avais six ans, et j'ai été admise dans sa maison quand j'avais neuf ans." Ce récit et d'autres montrent que Mahomet, 54 ans, viola Aïsha, 9 ans, en une parodie de mariage. Ce genre d'abus existe encore en Arabie, au Yemen. Lire aussi Coran 65.4. Taghout Mon blog : Le Taghout
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