Athéisme : l'homme debout. Vivre sans Dieu et sans religion  >  Vos contributions    > Théorie des phobies > 1/4

Théorie des phobies


Initiation à la théorie synthétique des phobies



Par Guy Patel  -  8 mars 2004



Les textes publiés dans Vos contributions (rouge foncé) ne représentent que l'opinion de leurs auteurs.


Sommaire :



Préambule

L'auteur souhaite que cette théorie soit diffusée après des scientifiques, psychologues, psychanalystes, biologistes, philosophes, sociologues, anthropologues, ethnologues, épistémologues, économistes, politiciens, phénoménologues, afin que ceux ci puissent réagir, l'améliorer et éventuellement la prendre en compte dans leur spécialité. De même, les internautes non-spécialistes sont invités à apporter leur contribution en fonction de leur expérience personnelle.





Introduction

Cette théorie postule que la plupart des comportements humains sont conditionnés en grande partie par le "principe de phobie".
Il vous faudra également tenir compte du principe de plaisir (philosophie, épicurisme...) et du principe d'habitus (sociologie). Ces deux principes sont en fait complémentaires au principe de phobie. Ceux qui ne connaissent pas les principes de plaisir et d'habitus, pourront s'informer sur Internet. Il n'est cependant pas nécessaire de connaître à fond ces deux principes pour faire évoluer la théorie des phobies. Je parle succinctement de ces deux principes à la fin du texte.
Il est reconnu que les scientifiques sont majoritairement athées. Ils seront donc concernés par ce texte. Ils pourront donc l'améliorer et l'adapter à leur propre spécialité.


Le principe de la phobie

L'homme est avant toute chose un animal très phobique.
Les phobies, lorsqu'elles sont légères, sont normales, saines, indispensables et ont contribué considérablement aux mutations (anthropologie, ethnologie) et à l'évolution humaine (théorie synthétique de l'évolution).
Elles ont même permis aux premiers hominidés, d'anticiper les agressions (des autres espèces, des intempéries, du milieu, d'où les abris, les habits, les soins, la justice, ...), d'acquérir une alimentation essentielle (cueillette, gibier, agriculture...), d'acquérir des connaissances et communications essentielles (troc, langages, écritures, routes, véhicules...), mais également une reproduction (sexualité) et des regroupements essentiels (familles, clans, Etats...).

Inversement, les individus qui ne sont pas suffisamment phobiques, n'éprouvent pas suffisamment le désir de s'alimenter (d'où l'ascétisme), n'éprouvent pas suffisamment le désir de se protéger efficacement (difficultés à se défendre), n'éprouvent pas suffisamment le désir de connaître (d'où certains mysticismes), n'éprouvent pas suffisamment de désirs relationnels (ils évitent les relations amicales et/ou sexuelles et ont des difficultés à s'insérer).

Très important :
  1. Nous avons conscience de nos phobies que lorsque nous sommes dans des situations extrêmes. Ainsi nous prenons conscience du vertige (peur des hauteurs) que lorsque nous sommes en altitude. Nous n'avons donc en général pas véritablement conscience de nos phobies sinon avec l'âge, l'expérience. Ce texte va vous les révéler, si ce n'est en partie déjà fait.

  2. Les pathologies phobiques (excessives) sont dévoilées lorsqu'elles sont insuffisantes ou au contraire excessives. Ainsi l'absence ou l'excès de timidité sont pathologiques. Entre les deux se trouve la normalité. Une légère timidité saine permet un contrôle de soi essentiel (d'où le proverbe : "toute vie est contrôle").

  3. L'ensemble des phobies sont gouvernées par la seule peur de souffrir (physiquement ou psychiquement). Ce n'est donc pas la peur de la mort qui gouverne l'ensemble des phobies. La peur de la mort est essentiellement une peur mystique. C'est d'ailleurs une raison pour laquelle certains mystiques sont contre l'euthanasie. Les athées ont peur de souffrir, mais n'ont pas véritablement peur de la mort, sinon une légère angoisse légitime. Ils ne sont donc généralement pas véritablement hostiles à l'euthanasie.
La peur de souffrir
La théorie des phobies postule que la peur de souffrir, (physiquement et/ou psychiquement), est la "peur mère" de quatre sous- phobies fondamentales et donc mère de toutes les phobies humaines, voire animales.
Les animaux ont également des phobies mais agissent surtout par imprégnation (innée), alors que l'homme agit par phobies acquises. Je n'exclus cependant pas qu'ils puissent y avoir des prédispositions génétiques aux phobies humaines.


>>>> Suite : Les quatre sous-phobies

Voir la page d'accueil sur la psychologie



L’auteur :

"Je m'appelle Guy Patel. Je suis un théoricien. J'ai découvert une théorie très puissante nommée la Théorie des phobies.
Cette théorie a un lien étroit avec l'athéisme, la libre pensée, la laïcité, car elle explique (entre autre) pourquoi certains individus sont mystiques. Elle permet également la compréhension de la majorité des comportements humains (dont les plus pervers).

A titre d'information, j'ai également découvert d'autres théories. Deux théories cosmologistes dont une expliquant "l'expansion de l'univers au niveau quantique" et une troisième théorie biologique confortant la théorie de l'évolution et que j'appelle, "théorie de la biodynamique" dont est issue la théorie des phobies.

La théorie des phobies "essaie de démontrer scientifiquement" les raisons de l'égoïsme, de la xénophobie, du mysticisme et de l'ennui.
Ces quatre comportements humains sont des phobies ; des peurs inconscientes irrépressibles que les mystiques, les égoïstes, les xénophobes, et ceux qui s'ennuient, peuvent difficilement contrôler et réprimer lorsqu'elles sont excessives. Les phobies gouvernent l'ensemble de l'humanité. Il est totalement impossible d'y échapper, de s'en passer."


Site Internet de l'auteur : La théorie synthétique des phobies


Athéisme : l'homme debout. Vivre sans Dieu et sans religion   Vos contributions    Haut de page    Contactcontact   Copyright ©