|
La femme et le fait religieuxPage 7/8par Gral - 9 juillet 2005 Début de l'article "La femme et le fait religieux" Les textes publiés dans Vos contributions (rouge foncé) ne représentent que l'opinion de leurs auteurs. 9 - Limitation des naissances9.1 - ConceptionLe jeu sacré de la vie (Hieros Gamos) qui était dans les rites païens l'union des êtres dans le but de procréer passait par la sexualité !!! Ils avaient souvent lieu dans les églises…L’homme justifiait sa virilité au nombre de ses enfants, prouvant ainsi qu’il avait eu plusieurs rapports avec une ou des femmes. Les enfants ne sont-ils pas "affaire de femme" comme disent certains africains ! Nous rappelons que les rapports sexuels sont possibles pendant plusieurs mois de la grossesse. De là à… Remarque : Les enfants non baptisés n'appartenaient pas à la communauté religieuse, ils n'existaient pas pour l’Eglise ! Dans l’introduction, au second paragraphe, il est demandé en quoi consistait la tentation du serpent ? Afin qu’Ève couchât avec lui. Les rédacteurs de l’Ecriture avaient une drôle de mentalité ! Ont-ils gardé trop longtemps les chèvres avec des bottes ? Si la zoophilie ne nous intéresse pas, nous remarquerons qu’elle a été envisagée dès le début de la création ! 9.2 - ContraceptionLe plaisir d’avoir des rapports sexuels est grand, avons-nous dit supra, las, il est souvent suivi par la survenue d’enfants pas toujours désirés. L’homme et la femme étant donc friands de ce plaisir, le seul que beaucoup ne peuvent qu’avoir, ils ont cherché le plaisir sans la rançon. Invention du préservatif dans la nuit des temps sous forme d’un bout de boyau animal avec un nœud à une extrémité puis de la pilule ou autre méthode contraceptive.Il semblerait qu’il existât des méthodes des méthodes naturelles de contraception basées sur le cycle lunaire rapporté à la femme ou d’autres, basées sur l’herboristerie. Des tisanes à base de plantes auraient aussi été utilisées à de fin contraceptive. L’Eglise se serait servie de ce prétexte dans sa chasse aux sorcières… Les anciens nous ont laissé des monuments mégalithiques dont le plus célèbre est Stonehenge en Angleterre. Depuis quelques temps, les scientifiques pensent que le but ce monument n’était pas seulement astronomique pour indiquer la position des différents solstices d’été et d’hiver (le soleil étant la vie), celle de certaines étoiles et de la lune. Ils se sont aussi aperçus qu’un cercle de pierres était lié par le nombre de celles le constituant à la lune. Lune qui rappelle le cycle féminin. Ce monument aurait pu servir à déterminer les phases où la femme pouvait être ou non mère… La contraception n'est pas un droit, mais semble appartenir à l’évolution puisque dieu a laissé l’être humain libre de choisir. La contraception devient un devoir envers les êtres des générations futures. Devoir de leur assurer les meilleures conditions de vie saine, de santé, de travail... 9.3 - L’avortementAvorter pendant la grossesse peut nuire gravement à la santé de votre enfant. Slogan de ligues contre l’avortement.Avorter c’est empêcher une fonction naturelle d’arriver à terme. Nous, les hommes, ne pouvons pas comprendre les femmes dont la majeure partie qui s’est faite ou qui a avorté, même suite à un viol, conserve une blessure morale ou/et psychologique très profonde qu'elles n'arrivent pas à effacer en général. Ce qui nous prouve que la fonction de donner la vie est profondément ancrée chez la femme même si : "mettre au monde c’est condamner à mourir". C’est là prendre un raccourci que la vie, si courte soit-elle, nous pousse à remplir pleinement ! Parmi les avortements qui ont eu lieus cette année, combien de ces enfants auraient-ils été infimes ou malheureux ou prêtres. Mêmes pour les avortements médicaux. L’homme ou la femme se prendraient-ils pour des dieux ? L’avortement rejoint le problème de la définition de la vie. Il faudrait que les croyants définissent à partir de quel moment l’embryon est-il habité par ce qu’ils appellent l’âme humaine ? Ils devraient surtout quantifier et définir ce qu’est l’âme ? Chose que non pas encore faite les scientifiques et dont l’absence se traduirait peut-être par la mort ! Les égyptiens pratiquaient la pesée de l’âme, à travers le cœur, car ils avaient remarqué que celui-ci cessait de battre en fonction de la mort, cet organe pouvait en être le siège… La souffrance des êtres se justifie pour l’Église comme punition divine pour à la rémission des péchés. L’Église catholique romaine aurait-elle besoin de la souffrance ? 10 - Magie et rituelsIl y a des points sur lequel nous ne nous sommes pas trop étendu :
11 - La mortNous avions peu ou prou parlé de la mort car seule la vie est réelle. La mort est liée au destin ou à la maladie donc à la théocratie.Perdre un être cher est une souffrance. Des parents qui perdent leur enfant ne s’en consolent pas car il est illogique qu’un enfant disparaisse avant ses géniteurs, et encore moins par sacrifice au nom d’un dieu. Est-ce sous l’influence du fait religieux ou cela remonte-t-il dans la nuit des temps ? De tout temps l’homme craint la mort, disparition de tout, chaleur de l’être, gaîté, vie… La réaction face à la mort a pu être : "Vous retrouverez vos morts dans l’autre vie". Les morts furent inhumés à proximité des vivants, avec certaines précautions. Le sens dans lequel les dépouilles étaient orientées, les soins pris pour que dans l’au-delà ils retrouvent les conditions de leur vie terrestre. Les rituels de réincarnation, l’âme des aïeux se réincarnant dans le corps du nouveau-né voire en animal comme dans l’animisme africain. Les soins apportés à la dépouille du mort pour lui garder son enveloppe terrestre apte à recevoir le retour de l’âme du défunt. Chez les égyptiens, nous avons les momies. La pièce de monnaie dans la bouche du cadavre pour payer son droit de passage sur l’autre rive. Les monuments indiquant les lieus de sépulture... L’Église interdisait, il y a encore peu, la crémation des morts, ignorant en cela que la suie est une forme de poussière. Elle qui ne s’est pas gênée pour brûler ou faire brûler des milliers de gens ne pensant pas comme elle afin qu’ils ne pervertissent personne. Même les sorcières ont été brûlées pour ne pas qu’elles transmettent leur savoir ainsi que bon nombre de scientifiques. Dans l’hindouisme et le bouddhisme, nous trouvons le karma qui est une théorie beaucoup plus séduisante que les autres. Cependant, c’est toujours une théorie… L’homme voulut garder un souvenir du disparu, sous forme d’image, sculptée, peinte puis filmée. Le souvenir retient vers le passé et empêche d’aller de l’avant et d’évoluer. Mais pas la mémoire ! Les écritures disent bien qu’il ne faut pas représenter dieu car il est inconcevable : "tu ne feras pas d’image de moi.". Que dire des crucifix, bois d’infamie, s’il en est, pour les cathares, que penser des images de dieu dans la religion chrétienne ? "Tu es poussière et tu retourneras à la poussière" disent les Ecritures. Cela peut prendre beaucoup plus de temps pour les ossements que pour les chairs. Effectivement, nous retrouvons souvent ceux-ci et non celle-là ou trop rarement dans certaines conditions. L’Église fut mise au pied du mur et montra son impuissance intellectuelle devant la découverte des fossiles, la bible n’en parlait pas. Elle ne pensait pas aux siens. La vie ne pouvait exister avant dieu… Merci Darwin ! Les bergers ne creusaient pas la terre exceptée, peut-être, pour les inhumations ! Contrairement à l’hindouisme, aucun des grands monothéismes ne parle des règnes inférieurs ! Les plantes et les animaux ne parlent pas mais s’expriment, nous pouvons mesurer leur souffrance avec un appareillage électronique adéquate. Seuls, semble-t-il, les métaux nobles, or et argent, ainsi que les minéraux cristallisés ont intéressé l’Église… 12 - Additif12.1- Le rêve de l’union fusionnelle !- D’après la Mishnah 199 du Bahir (le livre de la clarté des hébreux), l'âme de la femme vient du principe féminin et celle de l'homme du principe masculin. Sources : http://www.chez.com/soued/bahserp.htm- La Torah nous dit que dieu a crée l'homme à son image. L'homme à l'image de dieu est structurellement masculin et féminin, il est couple. Le couple humain constitue cette unité à l'image du dieu unitaire. - Le mariage idéal est considéré comme les retrouvailles face à face des deux moitiés d'un androgyne primitif. - Les couples réussis résultent des retrouvailles entre les deux moitiés d'une âme unique, celle-ci ayant été scindée lors de sa venue en ce monde. L’homme retrouve sa partenaire féminine préexistencielle. ( ?) - La Thora semble vouloir nous faire passer le message que d'autres paramètres plus sûrs que l'attraction physique sont garants du succès d'un mariage. (HAYE SARAH (Genese 23:1 - 25:18) D’après : http://www.image-in.co.il/SHALOM/haye-sarah.htm - La recherche de l’autre moitié tente tout le monde. Les clubs de rencontres, les agences matrimoniales ont depuis longtemps fait de la recherche de l’âme sœur leurs choux gras… - l’union fusionnelle passerait-elle par la rencontre de l’âme sœur ? Dieu serait le partenaire indéfectible du mariage heureux, le porte chandelle en quelque sorte... Nous laissons les mathématiciens nous donner la probabilité, hors le divin, que la possibilité précitée -la rencontre des deux moitiés - advienne !!! 12.2 - Note d’humourPour vous divertir en culture, nous vous proposons de lire l’insert/plagia de Michel Bellin : http://atheisme.free.fr/Contributions/Jardin_eden.htm sur notre site favori.Nous qui sommes friands de jeux de mots et d’humour ne pouvons résister à vous proposer Les deux premiers palindromes prononcés : Il se présente : MADAM, I'M ADAM (Madame je suis Adam) Elle répond : EVE Il s'exclame : Even in Eden I win eden in Eve (Même dans l'Eden je gagne mon paradis en Eve) Elle répond : Mad Adam (Il est fou, Adam) Sources : http://www.bric-a-brac.org/lettres/palindromes.php Voir : Adam et Ève http://villemin.gerard.free.fr/CultureG/Adameve.htm : http://villemin.gerard.free.fr/CultureG/Adameve.htm Voir aussi : http://www.mots-de-tete.com/palindromes/anglo-saxons.php3 palindromes anglais. Dostoïevski, dans "les Frères Karamazov", imagina Jésus Christ redescendu sur terre en l'Espagne du XVe siècle. A lire… ![]() ![]() |