Athéisme : l'homme debout. Vivre sans Dieu et sans religion  >  Revue de Presse  >  La femme et la religion

La femme et la religion

Revue de presse


En quelques lignes, l'essentiel d'une sélection* d'articles de la presse écrite
(*) L'exhaustivité n'est pas recherchée.
Si un article qui vous paraît important a été omis, signalez-le



Codes couleur :
En noir : synthèse la plus objective possible des articles ou des points paraissant importants.
En rouge foncé : citation ou extrait de l'article. Titre en gras.
En mauve : commentaire ou appréciation particulière de "atheisme.free.fr"


Les religions, à la niche ! (blog de Jean Claude Lénervé)
Médiapart - 10 septembre 2018

"Les religions, idéologies totalitaires, détestent les femmes, les méprisent, les assignent au statut de mineur et les désignent comme tentatrices à punir. Au nom d'une morale misogyne, patriarcale et pétocharde, les peine-à-jouir des clergés, édictent des lois iniques et répressives régentant l'espace public. Témoin cette version exotique de l'opus dei au pays des tsunamis.
Le pouvoir central de l'archipel indonésien a accepté que la "loi religieuse" soit appliquée sur l'ile de Sumatra, connue pour sa pratique radicale et rigoriste, pour ne pas dire moyenâgeuse, de l'islam sunnite, ses principes et préceptes. Pour être exact, cette mesure s'applique pour le moment à la seule la province de Banda Aceh et plus particulièrement dans une des "régences" (district). [...] Voici quelques une des règles de ce savoir vivre à vomir, une méthode qu'on assimile de gré ou de force. Au restaurant, au café, d'abord. Interdiction pour des personnes de sexe différent de s'asseoir à la même table. A moins d'être mariés ou de la même famille. Craindrait-on qu'un mascara ensorceleur versé dans la sauce saté ?"
[...]
https://blogs.mediapart.fr/jean-claude-lenerve/blog/100918/les-religions-la-niche


Ce pape qu'hymen le monde (F.P.)
Le Canard Enchaîné - 8 août 2018

"C'est le sujet d'été choisi par le très catholique quotidien "La Croix" (2/8) : "Peut-on être Vierge consacrée sans être physiquement vierge ?" Il ne s'agit pas d'une enquête coquine. Après réflexion, le pape a décidé que la virginité physique de ces femmes ne constituait pas "un prérequis déterminant".
Ces femmes, ce sont celles de l'ordre des Vierges consacrées (plus de 4 000 femmes dans le monde, dont 650 en France."
[...]


Des Tunisiennes manifestent pour réclamer l'égalité dans l'héritage (Lorenzo Clément avec AFP)
L'Humanité - 10 mars 2018

[...] "Plus d'un millier de Tunisiens, en majorité des femmes, ont défilé samedi à Tunis pour réclamer l'égalité des sexes en matière d'héritage, scandant que c'était "un droit, pas une faveur".
"C'est un des derniers bastions du patriarcat" dans la loi tunisienne, estime Sana Ben Achour, universitaire et présidente d'une association de soutien aux femmes, Beity. "Il faut qu'il y ait une égalité des droits puisque cela a été prévu par la Constitution" votée dans la foulée de la révolution de 2011, souligne-t-elle. [...]
Le président tunisien Béji Caïd Essebsi avait relancé en août dernier le débat sur cette question sensible, jugeant que la Tunisie se dirigeait inexorablement vers l'égalité "dans tous les domaines". Cela impliquerait de modifier le code successoral afin que les hommes n'héritent plus systématiquement du double de ce qui est légué aux femmes, une mesure fondée sur le droit islamique."
[...]
https://www.humanite.fr/des-tunisiennes-manifestent-pour-reclamer-legalite-dans-lheritage-651782


Le genre de Dieu (Michaël Foessel)
Libération - 7 décembre 2017

Michaël Foessel est professeur de philosophie à l'Ecole polytechnique.
"Pourquoi ne pas imaginer une théologie féministe qui consisterait à traquer ce qui, dans la masculinisation de Dieu, revient à une divinisation du masculin ?
L'Eglise évangélique et luthérienne suédoise (majoritaire dans le pays) a décidé d'encourager ses fidèles à éviter l'emploi des termes "Seigneur" ou "Il" au profit du mot "Dieu". S'il ne s'agit pas, comme on l'a dit, de substituer le neutre au masculin, une brèche est toutefois ouverte qui rend possible une sorte de liturgie inclusive. A la place du traditionnel, et très genré, "Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit", les membres de cette église auront désormais la possibilité de dire "Au nom de Dieu, le trinitaire."
Dans les trois monothéismes, l'usage du mot "Dieu" est soumis à des règles extrêmement contraignantes. Deux des commandements adressés à Moïse vont dans le sens d'une neutralisation du genre : celui qui porte sur l'interdit des images ("Tu ne feras aucune idole") et celui qui impose de ne pas utiliser le mot "Dieu" à tort et à travers ("Tu n'invoqueras pas le nom du Seigneur ton Dieu pour le mal")."
[...]
http://www.liberation.fr/debats/2017/12/07/le-genre-de-dieu_1615148


Chahla Chafiq : "Les intégristes sont obsédés par le corps des femmes" (Chahla Chafiq)
L'Humanité - 21 octobre 2016

Entretien réalisé par Mina Kaci.
"Chahla Chafiq, sociologue, interroge l'islamisme sous l'angle du rapport entre le religieux, le politique, le sexe et le genre. Dès qu'une femme se voile, dit-elle, ce geste banalise un signe sexuel et symbolise une féminité soumise au regard de l'homme. La condition des femmes questionne radicalement le système social et politique, défend-elle.
Quelle est la signification du voile islamique ?
Chahla Chafiq : La philosophie du voile, qui existe en islam comme dans le judaïsme et le christianisme, consiste à dérober les femmes aux regards illicites des hommes. Une analyse approfondie démontre qu'il est révélateur de la situation sociale et politique de la société concernée. Dès l'instant où la religion quitte le domaine de la spiritualité pour devenir la loi qui gère la vie collective et individuelle, la foi entre dans un processus d'idéologisation. Le voile devient la bannière du projet politique islamiste. Opérée depuis les années 1970 dans de nombreux pays, la réislamisation idéologique est systématiquement liée au développement des islamistes. C'est le cas de l'Égypte, l'Iran, l'Algérie, la Tunisie ou encore du Maroc. À partir du vide politique créé par la dictature et la défaite des mouvements humanistes, l'islam politique propose son idéologie comme une offre alternative. Pour infléchir les lois et règles sécularisées, puis installer sa société islamique idéale, il passe, soit par la voie des armes, soit par celle des urnes.
Quel lien peut-il y avoir entre le développement du voile et la situation sociale et politique d'un pays ?
Chahla Chafiq : Ne faut-il pas d'abord se demander pourquoi l'imposition sacrée du voile ne concerne que les femmes ? Avec cette question, on entre dans la dimension sexuée du sujet. Quand l'islam devient charia, il préconise une séparation sexuée. C'est flagrant dans le Code islamique de la famille qui renforce la hiérarchisation des droits et des devoirs. L'homme, père, mari, étant le chef, la femme, aimée en tant que fille, épouse et mère, se doit de lui obéir sous prétexte de l'intérêt de la famille. C'est d'ailleurs le cas de l'ensemble des lois religieuses."
[...]
http://www.humanite.fr/chahla-chafiq-les-integristes-sont-obsedes-par-le-corps-des-femmes-618689


Le sexoséparatisme de Saint-Paul (Christian Delarue)
Médiapart - 3 juillet 2016

"De nombreux catholiques - dit progressistes - se sont éloigné(e)s - non sans résistance dans les années 60 - de ces dogmes ci-dessous, mais pas tous ! On trouve encore ce type d'intégrisme réactionnaire dans certains pays plus durablement marqués par le conservatisme chrétien.
La lecture des Épitres de Saint-Paul était aussi édifiante (j'ai eu un parcours religieux exemplaire, j'ai fait ma communion solennelle et ai donc eu droit à une bible dans laquelle j'ai puisé ces extraits) :
"Il est bon pour l'homme de s'abstenir de la femme..." [1]
"Le chef de tout homme, c'est le christ ; le chef de la femme, c'est l'homme..." "Si donc une femme ne met pas de voile, alors qu'elle se coupe les cheveux ! Mais si c'est une honte pour une femme d'avoir les cheveux coupés ou tondus, qu'elle mette un voile..."
Le tableau est bien brossé : pour la femme, obéissance, soumission, d'abord à l'homme puis à Dieu et pour l'homme, obéissance à Dieu et domination sur la femme."
[...]
https://blogs.mediapart.fr/christian-delarue/blog/030716/le-sexoseparatisme-de-saint-paul


L'Afrique intime. "Rien dans le Coran n'exige l'excision des filles" (Ali Habibbi)
Le Monde - 1er juillet 2016

"Les mutilations sexuelles féminines (MSF) touchent près de 200 millions de femmes dans le monde, selon les chiffres 2016 de l'Unicef. Un chiffre sans doute inférieur à la réalité, puisque plusieurs pays touchés par le phénomène ne communiquent aucun chiffre au Fonds des Nations unies pour l'enfance. Ces violations de l'intégrité des fillettes, des jeunes filles et des femmes sont une abomination sans nom. [...]
Les conséquences peuvent être nombreuses pour la victime de telles pratiques : un saignement pouvant entraîner une hémorragie et la mort ; différentes formes d'infections, des problèmes urinaires et menstruels, des problèmes sur la vie sexuelle telle que la dyspareunie (fortes douleurs lors de la pénétration), le vaginisme (impossibilité de pénétration), la baisse du plaisir. [...]
Comment l'islam, qui est une religion de paix, pourrait ordonner ou commander ce type d'actes ? En réalité, aucun verset du Coran ne parle d'excision ou de mutilation sexuelle féminine, et aucun hadith authentique ou bon (parole du prophète Mohammad validée par les spécialistes) n'exige de telles pratiques. [...]
Mutiler les organes génitaux d'une enfant ou d'une femme au nom de l'islam viole donc les principes les plus sacrés de la foi islamique.
Le combat contre les mutilations sexuelles féminines va au-delà des religions et des fausses croyances. Il doit être mené sur tous les fronts."
[...]
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/07/01/l-afrique-intime-rien-dans-le-coran-n-exige
-l-excision-des-filles_4962287_3212.html?xtmc=religion&xtcr=98


Daech et la théologie du viol (vu sur le Web)
Libération - 16 août 2015

"Un reportage du "New York Times" détaille la façon dont l'Etat islamique avait fait du viol non seulement une arme de guerre, mais aussi une part intégrante de son interprétation de l'islam.
"Juste avant de violer la fillette de 12 ans, le combattant de l'Etat islamique a pris le temps d'expliquer que ce qu'il s'apprêtait à faire n'était pas un péché. Parce que la jeune fille pratiquait une religion qui n'était pas l'islam, le Coran ne lui donnait pas seulement le droit de la violer, il l'approuvait et l'encourageait. Il attacha ses mains et la baillonna. Puis il s'agenouilla à côté du lit et se prostra dans une prière avant de se mettre sur elle. Quand il eut terminé, il s'agenouilla pour prier encore, balisant le viol de dévotion religieuse."
C'est avec cette scène terrible que s'ouvre un édifiant reportage publié par le New York Times, qui montre comment l'Etat islamique a construit une véritable "théologie du viol", appliquée à des femmes réduites en esclavage dans les régions d'Iraq et de Syrie conquises par le groupe islamiste."
[...]
http://www.liberation.fr/monde/2015/08/16/daech-et-la-theologie-du-viol_1364263


Mona Eltahawy : "Femmes musulmanes, il faut briser la barrière de la honte" (Propos recueillis par Hélène Sallon)
Le Monde - 23 juillet 2015

"Féministe et musulmane, la journaliste américano-égyptienne prône une révolution sexuelle et sociale pour les femmes du Moyen-Orient. Elle sera l'invitée du Monde Festival les 26 et 27 septembre.
"Soyez impudiques. Soyez rebelles, désobéissez et sachez que vous méritez d'être libres.?" C'est sur cette invitation adressée aux femmes du Moyen-Orient que la journaliste américano-égyptienne Mona Eltahawy ouvre son premier ­livre, Foulards et hymens (Belfond, 258 p., 19 ?). A 47 ans, celle qui se présente comme "?musulmane et féministe, mais féministe laïque?" s'attaque à la misogynie et à l'obsession du contrôle du corps et de la sexualité des femmes arabes. Elle y parle de celles qu'elle a rencontrées comme journaliste et militante, ainsi que d'elle-même. A 15 ans, Mona Eltahawy découvre, après huit années passées au Royaume-Uni, l'Arabie saoudite. Dans ce pays où, écrit-elle, "?la seule alternative qui s'offre aux femmes est de perdre la tête ou de devenir féministe?", elle choisit de porter le voile et se découvre féministe. Des Etats-Unis à l'Egypte, où elle a pris part à la révolution du 25 janvier 2011, son engagement n'a cessé de s'affirmer.
Vous dites des hommes au Moyen-Orient? : "?Ils nous détestent.?" Cette thèse vous a valu beaucoup de critiques des milieux conservateurs mais aussi progressistes.
J'ai voulu provoquer. Quand les tests de virginité ont été pratiqués en Egypte contre les manifestantes, après la chute du président Hosni Moubarak, en février 2011, j'ai été horrifiée de voir que la colère visait davantage les héroïnes de la révolution qui ont dénoncé les tests que les militaires qui les ont pratiqués. J'ai pensé : si nous ne lançons pas un appel fort pour l'égalité des sexes maintenant, alors quand ?"
[...]
http://www.lemonde.fr/festival/article/2015/06/18/mona-eltahawy-il-faut-briser-la-barriere
-de-la-honte_4656695_4415198.html?xtmc=religion&xtcr=7


Combattre la domination masculine partout où elle se manifeste (Françoise Picq)
L'Humanité - 5 septembre 2010

Françoise Picq est universitaire, chercheuse féministe.
"Mardi 31 août, la "Cité du mâle" a été déprogrammé sur Arte. Ce documentaire a été tourné, huit ans après, dans la cité où Sohane Benziane a été brûlée vive dans un local à poubelles. Un crime qui avait mis en lumière la dégradation des relations entre les filles et garçons dans les "cités". L’auteur a été condamné à vingt-cinq ans de prison. Cette déprogrammation, à la demande de protagonistes se sentant menacés, soulève la question des violences exercées contre les jeunes filles dans les quartiers, et de leur médiatisation.
La réaction dominante est l’indignation. Les violences à l’égard des femmes sont intolérables. Elles montrent le recul des valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité, alors que la société française a intégré une part de féminisme Le combat des jeunes filles issues de l’immigration au nom de la République et de la laïcité, qu’a incarné Ni putes ni soumises, à ses débuts, avait alors rencontré un très large soutien populaire. (...)
Il faut pourtant regarder en face la domination masculine là où elle se manifeste à l’état pur. Il faut y voir la crise du modèle d’intégration républicain, comprendre comment la régression sociale entraîne cette contre-affirmation d’une identité masculine archaïque qui instrumentalise la religion ou la tradition. Le combat des femmes concerne tous les démocrates."

http://www.humanite.fr/05_09_2010-fran%C3%A7oise-picq-combattre-la-domination-
masculine-partout-o%C3%B9-elle-se-manifeste-452861


Au nom de l'islam, elles défendent les droits des femmes voilées (L. Gene / AFP)
L'Express - 13 juillet 2010

"Enquête sur ces militantes pour qui l'égalité des sexes doit plus au prophète qu'au MLF.
Ce vendredi 25 juin, l'association Ni putes ni soumises tient une conférence sur les violences conjugales à Perpignan. Soudain, une vingtaine de femmes, pour moitié voilées, fait son entrée. L'une d'elles monte au créneau: "J'en ai marre des discriminations à l'encontre des musulmanes; on ne vous laissera pas le monopole de leur défense! Vous avez laissé tomber les femmes voilées, moi, je suis sur le terrain et je m'en occupe." Les organisatrices ripostent, mais trop tard. Yamina Tadjeur a eu son quart d'heure de gloire.
Vêtue d'un long voile couleur prune qui ne laisse apparaître que son visage, cette mère de six enfants a créé, en 2008, l'association Solidarité féminine 66. Depuis, 300 adhérentes de toutes origines sont venues la rejoindre. A Rennes, Lyon, Toulouse, d'autres associations tiennent le même discours. Leurs membres se disent féministes. Féministes et musulmanes. Alors que les députés s'apprêtent à bannir le voile intégral dans l'espace public, les partisans du niqab peuvent compter sur ces militantes d'un genre nouveau qui n'hésitent pas à marier les contraires. Quitte à repousser loin, très loin de ses origines, le féminisme "historique" tel qu'il a surgi en Occident. (...)
Pour Caroline Fourest, ces féministes islamiques "se rapprochent des féministes "pro-vie" chrétiennes ou juives, qui ne confèrent pas les mêmes rôles aux hommes et aux femmes et qui s'opposent à l'avortement ou à la contraception". Wassyla Tamzali, elle, s'interroge: "Comment peut-on lutter pour les droits des femmes si l'on considère que celles-ci ont pour premier devoir d'obéir à la loi divine ?" demande l'écrivaine féministe algérienne. C'est toute la question."

http://www.lexpress.fr/actualite/ces-feministes-qui-defendent-le-voile_904685.html


Entretien avec Taslima Nasreen
L'Humanité - 9 avril 2009

""Aucune religion ne prône l’égalité entre les hommes et les femmes"
Aujourd’hui réfugiée en France, l’écrivaine bangladaise appelle les forces de gauche, partout dans le monde, à réinvestir les combats féministes pour élever une digue face à l’expansion des fondamentalismes religieux."
[...]


Turquie. Les femmes ont peur, monsieur Erdogan ! (Meral Tamer)
Courrier International – 27 septembre au 3 octobre 2007 (2/3 de page)

"Si une nouvelle Constitution permet aux femmes le port du voile dans les administrations comme à l’université, la pression sociale obligera alors tout le monde à le faire, affirme une féministe turque." [...]
"..., depuis quelques années, elles subissent dans leurs quartiers une pression croissante, au point que les jeunes femmes de leur âge se sont maintenant résolues à porter le voile. Depuis trois ou quatre ans, certaines femmes, et en particulier les veuves qui veulent obtenir des aides à l’occasion de distributions de nourriture ou de charbon, mettent désormais le voile de peur d’être mal vues. Soyez donc certain, monsieur le Premier ministre, que le jour où cesserait cette pression sociale dans leur quartier, ces femmes se dévoileraient immédiatement."


En Turquie, le gouvernement relance la polémique sur le voile (Guillaume Perrier)
Le Monde – 21 septembre 2007 (1/4 de page)

"L'accalmie post-électorale aura été de courte durée. En se déclarant tous deux favorables à l'abolition de l'interdiction faite aux étudiantes de porter le foulard islamique dans les universités, le premier ministre Recep Tayyip Erdogan et le président de la République, Abdullah Gül, ont ravivé l'inquiétude de certains milieux laïques qui les soupçonnent de vouloir tenter d'islamiser la société turque." [...]


>>> Suite de la revue de presse :
Page d'accueil sur la femme


Athéisme : l'homme debout. Vivre sans Dieu et sans religion   Accueil Revue de presse    Haut de page    Contact   Copyright ©