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Jésus :   Les cahiers de Science & Vie   n°83  -  Octobre 2004

Revue de presse


En quelques lignes, l'essentiel d'une sélection* d'articles de la presse écrite
(*) L'exhaustivité n'est pas recherchée.
Si un article qui vous paraît important a été omis, signalez-le


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Jésus-Christ : ce que nous disent l'archéologie et l'histoire
Les cahiers de Science & Vie - octobre 2004 - n°83 - (110 pages)

Les textes non religieux sur Jésus "ne dépassent guère l'allusion" et les emplacements des lieux mentionnés dans le Nouveau Testament relève "purement et simplement de l'imagination". De ce fait, historiens et archéologues s'intéressent aux conditions du développement de la nouvelle religion. Les différents articles proposés par "Les Cahiers de Science & Vie", avec de nombreuses cartes et photographies confirment que la nature du message chrétien est "celle d'être un texte voué à susciter la Foi plus qu'à exposer une vérité historique".
  • La Palestine au 1er siècle : une pax romana sous tensions (Jean-François Mondot)
    La Judée était sous administration romaine depuis l'an 6. La mission du préfet Ponce Pilate était le maintien de l'ordre et la collecte des impôts. Le procès de Jésus, qui menaçait l'ordre public, ne pouvait être que romain.

  • Lieux saints, le grand inventaire (Perrine Vennetier)
    Ce ne fut qu'à partir du IVe siècle que les chrétiens se mirent à la recherche des "Lieux saints". Que ce soit pour Bethléem, Nazareth, le mont des oliviers, le mont des béatitudes, le Golgotha, etc., la localisation de ces lieux est plus qu'incertaine.

  • Jérusalem, entre luxe, beauté et ambiguïté (Jean-François Mondot)
    Construit par Hérode au Ier siècle, le second temple était un impressionnant complexe religieux qui attirait les juifs du monde entier.

  • La ville phare de la Chrétienté : Jérusalem (Stéphanie Bonato-Baccari)
    Avec le Golgotha, le monde des Oliviers, le Saint-Sépulcre, les lieux de la Cène, de l'arrestation, du procès, de la résurrection..., Jérusalem est devenue une ville sacrée pour les chrétiens, même s'il ne reste plus rien après les destructions romaines lors de l'insurrection juive de la seconde moitié du Ier siècle.

  • Césarée, un havre conquis sur l'eau (Jean-Baptiste Gouyon)
    Plus grand que le Pirée d'Athènes, le port de Césarée, véritable prouesse technique, construit en eau profonde, a été achevé en 10 avant JC.

  • "Je vous ferai pêcheurs d'hommes" (Jean-Baptiste Gouyon)
    C'est au bord du lac de Tibériade que Jésus a, selon les évangile, choisi ses premiers compagnons. Sur la rive ouest du Jourdain, les archéologues ont localisé Capharnaüm, le village où aurait habité l'apôtre Pierre.

  • Une Galilée prospère mais agitée (Jean-Baptiste Gouyon)
    C'est dans ses campagnes fertiles que se trouve Nazareth où Jésus aurait passé son enfance, mais aucune trace de son passage n'a été trouvée. En outre, le nom de Nazareth n'est apparu qu'au IIIe siècle. Sepphoris, la capitale de la Galilée, ville romaine, provoquait le ressentiment des populations de la contrée.

  • La terre de tous les particularismes (Stéphanie Bonato-Baccari)
    Au premier siècle, la "Terre promise" était un pays hétérogène. Différentes communautés étaient présentes, comme le montrent les sépultures étudiées par les archéologues.

  • Un judaïsme pluriel (Jean-François Mondot)
    Bien qu'ils aient la même foi et le sentiment d'appartenir à la même nation, plusieurs courants s'affrontent : pharisiens, saducéens, baptistes et esséniens.

  • Les esséniens de Qumrân : précurseurs du Christ ? (Philippe Descamps)
    La secte des esséniens est mieux connue depuis la découverte des manuscrits de la Mer Morte, au milieu du XXe siècle. Ils avaient choisi de vivre une vie monacale, dans la pauvreté, et pratiquaient une lecture rigoriste de la loi de Moïse.

  • Un sacrifice nouveau pour un message inédit (interview de René Richard)
    Pour l'anthropologue René Richard, la passion du Christ est le sacrifice d'un innocent, d'un bouc émissaire, autour duquel va se fonder l'union des communautés humaines.

  • Paul, le christianisme au pied de la lettre (Philippe Testard-Vaillant)
    Bien qu'il n'ait pas connu Jésus de son vivant, Paul va le faire connaître et façonner la théologie chrétienne à travers ses épîtres. Il a émancipé la religion naissante du judaïsme en affirmant qu'il n'est pas nécessaire d'être juif pour devenir chrétien.

  • Au nom du fils (Michel Serres)
    En choisissant de se faire disciple de Jésus alors qu'il était pharisien, parlant grec et fier d'être romain, Paul de Tarse est à l'origine d'un bouleversement philosophique.

  • Parole d'Evangiles (Emilie Rauscher)
    Quelques découvertes archéologiques et de rares mentions faites par des auteurs antiques viendraient étayer certains passages des évangiles. Rien de réellement probant cependant.

  • Les Evangiles cachés (Jean-Baptiste Gouyon)
    Les évangiles apocryphes ont été laissés dans l'ombre par le "canon" de l'Eglise catholique. Certains leur seraient antérieurs et montrent des points communs avec la mythologie grecque. Ils ont inspiré l'imagerie chrétienne et sont à l'origine de cultes comme celui de la Vierge Marie.

  • A livre ouvert (Emilie Rauscher)
    Le choix des quatre évangiles qui font partie du "canon" catholique sont le résultat d'une longue maturation et de nombreux compromis jusqu'au quatrième siècle.

  • Fragments de preuve ? (Jean-Baptiste Gouyon)
    Les reliques du Christ sont apparues à partir du IVe siècle. La plus célèbre d'entre elles, le suaire de Turin, a été datée au carbone 14 comme ayant été tissée entre 1260 et 1390.
"Malgré tous les efforts déployés pour l'en faire sortir et les quelques artefacts appelés à la rescousse, le personnage historique Jésus s'obstine à demeurer dans l'ombre."
On peut regretter l'absence quasi générale de l'emploi du conditionnel pour les références aux événements décrits dans le Nouveau Testament.


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Réactions d'internautes


au Webmaster!
Je fais référence à l'article "revue de presse" sur Jésus Science et Vie du mois d'octobre 2004.
Si jésus fait l'objet de peu de mentions dans les ouvrages profanes de l'époque et si les evangiles ne correspondent à aucune vérités géographiques, ni historiques mais sont des articles de foi, alors comment se fait-il que les historiens retiennent l'existence de ce jésus-christ comme un fait historique révélé?? ne doit il pas être banni des livres d'histoire, ne doit pas alors faire prévaloir la thèse des mythistes (cercle zététique, Patrick Dupuis, Luigi Gascioli, Dufau, Conchoud...)
L'histoire n'est il pas construit alors sur une imposture? nos historiens font ils correctement leur métier? quelle est donc leur méthode? ne devraient ils pas réétudier l'historicité de jésus et réviser l'Histoire et dans un premier temps redonner toute l'actualité à la thèse mythiste? en l'absence de faits historiques et de preuves jésus ne devrait il pas enfin être relègué dans la catégorie "contes et légendes" une bonne foi pour toute!?
Je suis sorti de ma secte catholique et je suis LIBRE!!!
(Alessandro / 18/04/05 - 19h39)



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