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Bonjour, :)
Je vous félicite pour le contenu de votre site qui regorge d'information pertinente! Je suis Montréalais et je vous écris car je viens de publier (mai 2009) aux éditions Editas un essai historique qui jette un pavé dans la mare de tous les spécialistes et exégètes de la Bible, car je n’y propose rien de moins qu’une remise en question fondamentale du dogme de l’Alliance, l’évènement fondateur des religions juive, chrétienne et islamique.
Au bout de six années de recherche, je peux maintenant démontrer que les trois religions monothéistes reposent sur un terrible quiproquo : le "Seigneur" d’Abraham n’était pas un être divin, mais plutôt un roi puissant de l’Antiquité (en fait, le lecteur découvrira qu’il s’agit de nul autre que le célèbre Hammourabi, roi de Babylone).
Ma démonstration s’appuie sur des preuves très concrètes qui ne peuvent être le résultat du hasard. Elles sont de trois ordres : logique, chronologique et dendrochronologique et elles se recoupent avec une précision chirurgicale.
Bien sûr, cette affirmation dérange l’intelligentsia religieuse qui s’empresse de la qualifier de "loufoque". Pourtant, la théorie que j’avance est vérifiable et résout quantité d’incohérences relevées dans la Bible. Par exemple, je donne raison aux musulmans lorsqu’ils affirment qu’Ismaël (et non Isaac) est le fils que le Seigneur demande en sacrifice. Bien entendu, ces derniers ignorent la source de cette différence que j'explique preuves à l'appui.
J’ai contacté au cours des derniers mois plusieurs théologiens et historiens de l’UQAM et de l’Université de Montréal afin de partager le fruit de mon travail. Mais ils m’ont fait poliment comprendre qu’ils n’avaient pas de temps à perdre pour discuter d’une théorie qui repose, selon eux, sur de fausses prémisses.
Pourtant, un directeur de thèse de l’Université Catholique de Paris, qui a pris le temps de lire l'ébauche de mon manuscrit il y a un an environ m’a dit : «Non seulement cette recherche vaut la peine d’être publiée, mais elle doit l’être… car vous y soulevez des questions importantes". Évidemment, compte tenu de la position qu’il occupe au sein de cette organisation, je comprends qu’il ne puisse prendre position de manière officielle. Je conserve néanmoins précieusement toute la correspondance échangée.
Mon véritable défi est maintenant de susciter l’intérêt auprès des autorités compétentes et des médias, car mes prétentions laissent perplexes tant elles sont révolutionnaires et "explosives". Je réalise néanmoins que le temps joue en ma faveur, car les personnes qui ont pris connaissance de mon livre ont été fascinées. Certaines osent même comparer ce travail à celui de Darwin ou de Galilée, tant les idées mises de l’avant sont articulées et apportent des solutions concrètes à des questions laissées sans réponses qui bousculent le statu quo.
Par exemple, Andréa Richard, auteure de Femme après le cloître et de Au-delà de la religion, qui a participé plusieurs fois aux émissions de Christiane Charrette et Denis Levesque, m’a transmis les commentaires suivants :
"Votre Essai historique "Quiproquo sur Dieu" a le mérite de "démêler" des incohérences bibliques et historiques. La logique est frappante et à mon avis relève du génie! C'est fondé, c'est cohérent. En plus, c'est une nouvelle découverte. Ce livre va sûrement susciter un grand intérêt chez les exégètes entre autres, les historiens, les théologiens et tous ceux qui s’intéressent à la Bible. Le pape actuel vient de faire appel à tous les chrétiens pour qu'ils lisent la Bible : le moment est donc bien approprié. On était tombé dans le mystère, on revient sur terre, car on sent une approche de la vérité..."
Elle a chaudement recommandé la lecture de mon livre à plusieurs personnes. Une amie professeure d’histoire de Rimouski lui aurait transmis la réaction suivante:
"Il met le couteau dans les croyances. Très, très intéressant. Ce livre prendra peut-être du temps à faire sa place, mais il sera populaire très longtemps. Dans dix, vingt, et trente ans, au programme des études, ils iront voir sa référence. J'ai beaucoup aimé la façon dont il a exposé le tout."
Je ne crains nullement d’affronter les spécialistes pour défendre ma thèse. Je considère détenir des preuves tangibles qui démontrent que les religions monothéistes reposent sur une mauvaise interprétation de textes anciens. Ce qui étonne le plus, c’est que ceux-ci n’avaient à l’origine aucune connotation religieuse. Il s’agissait de simples documents d’archives familiales.
Je cherche à faire connaître ce livre afin de lancer un débat qui m’apparaît capital et plus que jamais d’actualité.