"... l'adhésion partagée et prolongée à une doctrine englobante ne peut être réalisée que par l'usage oppressif du pouvoir étatique, avec tous les crimes officiels, la brutalité et la cruauté inévitables qui s'y rattachent, [...]. Si nous disons qu'une société politique est une communauté lorsqu'elle est unie dans l'affirmation de la même doctrine englobante, alors l'usage oppressif du pourvoir de l'état, avec les maux qui l'accompagnent, est nécessaire pour préserver la communauté politique. [...]. Dans la société médiévale, plus ou moins unie dans l'affirmation de la foi catholique, l'Inquisition n'était pas un accident : la suppression de l'hérésie était nécessaire à la préservation de la croyance religieuse commune."Et après cette époque, n'oublions pas non plus les guerres de religion, la persécution (en France) des protestants, et la ghettoïsation (en Europe) des juifs.
D'abord il y a l'aîné, lui qui est comme un melon
Lui qui a un gros nez, lui qui sait plus son nom
Monsieur tellement qu'il boit ou tellement qu'il a bu
Qui fait rien de ses dix doigts mais lui qui n'en peut plus
Lui qui est complètement cuit et qui se prend pour le roi
Qui se saoule toutes les nuits avec du mauvais vin
Mais qu'on retrouve matin dans l'église qui roupille
Raide comme une saillie, blanc comme un cierge de Pâques
Et puis qui balbutie et qui a l'oil qui divague
Faut vous dire Monsieur que chez ces gens-là
On ne pense pas Monsieur, on ne pense pas, on prie