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Malaisie

Revue de presse


En quelques lignes, l'essentiel d'une sélection* d'articles de la presse écrite
(*) L'exhaustivité n'est pas recherchée.
Si un article qui vous paraît important a été omis, signalez-le



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En rouge foncé : citation ou extrait de l'article. Titre en gras.
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En Malaisie, la Saint-Valentin vue d'un très mauvais oeil (AFP)
Libération - 14 février 2014

"Les autorités islamiques considèrent cette fête comme la démonstration des dérives de la jeunesse : alcool, décadence et promiscuité entre prétendants, jugées inacceptables au yeux de l'islam.
En Malaisie, la fête des amoureux ne fait qu'à moitié sourire. Les autorités islamiques du pays ont dénoncé vendredi la Saint-Valentin comme le terreau de la corruption morale de la jeunesse, de l'alcoolisme et des avortements. "Ces célébrations collectives sont une passerelle vers des maux sociaux plus grands encore comme la tricherie, les troubles mentaux, l'alcoolisme, l'avortement et l'abandon d'enfants", a estimé le ministère du Développement islamique dans son prêche officiel distribué dans les mosquées."
[...]
http://www.liberation.fr/monde/2014/02/14/en-malaisie-la-saint-valentin-vue-d-un-tres-mauvais-oeil_980198


Malaisie: mariage d'une fille de... 14 ans (AFP)
Le Figaro - 5 décembre 2010

"Un débat s'est ouvert en Malaisie sur le mariage des mineurs après la célébration publique hier d'un mariage entre une jeune fille de 14 ans et un enseignant de 23 ans.
Samedi, une collégienne de 14 ans, Siti Maryam Mahood, a épousé Abdul Manan Othman, dans une mosquée de Kuala Lumpur, après le feu vert à leur mariage donné par un tribunal religieux.
"Mon mari est un instituteur à l'école primaire et un ami de la famille", a expliqué la jeune fille, citée dimanche par le journal New Sunday Times.
En Malaisie, pays à majorité musulman, les musulmans de moins de 16 ans qui veulent se marier doivent obtenir une permission d'un tribunal religieux. Ceux de religion différente et de moins de 17 ans doivent obtenir une autorisation des autorités civiles.
"Nous devons modifier les aberrations juridiques. Il y a des exceptions et elles devraient disparaître", a déclaré Ivy Josiah, directrice générale de l'association féministe Women's Aide Organisation, pour qui "le mariage avec des enfants s'apparente à de la pédophilie"."
[...]
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/12/05/97001-20101205FILWWW00040
-malaisie-mariage-d-une-fille-de-14-ans.php


Des maillots islamiquement incorrects en Malaisie
Libération - 22 juillet 2010

"Depuis hier, les Malaisiens sont invités à ne plus porter le maillot de l’équipe de Manchester United, dont les joueurs sont surnommés les "Red Devils" ("diables rouges"). Ce maillot ainsi que ceux des équipes du Brésil, du Portugal, de Serbie, de Norvège et du FC Barcelone sont sous le coup d’une interdiction car décorés de la croix chrétienne ou reliés au diable. Nooh Gadot, l’imam malaisien auteur de cet avis, affirme : "En tant que musulman, nous ne devrions pas révérer les symboles d’autres religions ou du diable." Néanmoins, il n’a lancé aucune fatwa contre les porteurs de ces maillots."
http://www.liberation.fr/monde/0101648248-des-maillots-islamiquement-incorrects-en-malaisie


A la recherche du "jeune imam" star (avec AFP)
L'Express - 2 juillet 2010

"En Malaisie, une nouvelle émission de télé-réalité déchaîne les passions. Le principe ? Elire parmi huit jeunes hommes celui qui sera le "meilleur imam".
Ils ont entre 18 et 27 ans et vivent coupés du monde pendant dix semaines: huit jeunes hommes s'affrontent pour être sacrés le "meilleur imam" dans une émission de télé-réalité qui rencontre un grand succès en Malaisie. Le vainqueur d'"Imam Muda" ("Le jeune imam") sera récompensé par un pèlerinage, tous frais payés, à La Mecque, une bourse pour étudier dans une université saoudienne et un poste dans une mosquée importante de Malaisie.
Il lui faudra pour cela être le dernier en lice des épreuves éliminatrices qui testent leurs connaissances de l'islam. (...)
Les premiers épisodes ont provoqué des réactions passionnées, notamment des femmes, séduites par le physique avantageux des candidats, qui portent souvent la tenue traditionnelle et un fez sur la tête. "Les fans gardent leurs photos et les mères n'ont pas peur de proposer leur fille", indique l'un des très nombreux messages de soutien publiés sur Facebook. "Pour les musulmans, les jeunes imams sont des gendres idéaux car ils ont un métier reconnu et une bonne connaissance de l'islam", souligne Izelan Basar, le directeur de la chaîne câblée diffusant le programme."

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/asie/a-la-recherche-du-jeune-imam-star_903525.html


Qui sera la nouvelle star de l’islam ? (AFP)
Courrier International - 24 juin 2010

Malaisie :
"Trois mois d’épreuves, sous l’œil des caméras et face au jugement des téléspectateurs, aboutiront à l’élection du meilleur imam. Une émission de télé-réalité qui séduit."
[...]
http://www.courrierinternational.com/article/2010/06/24/qui-sera-la-nouvelle-star-de-l-islam?destination=node%2F790452


En Malaisie, un islamisme très électoraliste (Jean-Claude Buhrer)
Libération - 17 février 2010

"L’islam rendrait-il amok - terme malais qui sert à désigner un accès de fureur incontrôlé, popularisé par Stefan Zweig dans sa nouvelle éponyme publiée en 1922 ? En Malaisie, pays multiculturel, mais officiellement musulman, les esprits s’échauffent depuis que la Cour suprême a autorisé, le 31 décembre, un journal catholique à utiliser le mot Allah pour Dieu dans son édition en langue malaise. En quelques jours, une dizaine d’églises ont été attaquées avec des bombes incendiaires et un temple sikh a été pris pour cible. A l’exemple des chrétiens du monde arabe et de certains pays d’Asie du Sud-Est, les Sikhs se réfèrent à Allah dans leurs écritures, tandis que le gouvernement malaisien prétend que ce mot appartient exclusivement à l’islam et interdit aux non musulmans de s’en servir.
Cédant aux pressions des islamistes et du gouvernement, le tribunal a provisoirement suspendu sa décision. Afin de ne pas décevoir son électorat musulman, le Premier ministre Najib Razak cherche à minimiser ces incidents, mais la police islamique a arrêté, le Jour de l’an, cinquante-deux couples non mariés, accusés du délit de "proximité proche" lors de descentes dans des hôtels. (...)
Cette polémique n’est qu’un aspect de la dégradation des relations communautaires dans cette Fédération de 27 millions d’habitants (60% de Malais obligatoirement musulmans, 26% de Chinois en majorité bouddhistes, 9% de Tamouls d’abord hindouistes, les chrétiens formant 9% de la population). Elle s’inscrit dans la surenchère à laquelle se livrent un gouvernement en perte de vitesse depuis les élections de 2008 et le parti d’opposition panislamique pour séduire le vote musulman. Déclaré "Etat islamique" en 2001, la Malaisie garantit la liberté religieuse par sa Constitution, mais la loi limite les activités des autres religions et même de l’islam non sunnite. Un double système judiciaire est en vigueur, l’un séculier et l’autre basé sur la charia pour les musulmans."

http://www.liberation.fr/monde/0101619773-en-malaisie-un-islamisme-tres-electoraliste


La Malaisie se déchire au nom d'Allah (Florence Compain)
Le Figaro - 30 janvier 2010

"(...) La Malaisie est secouée par une vague de violences inédites contre ses églises. En quelques jours, onze lieux de culte ont été la cible d'attaques et de dégradations. Au départ de la polémique qui divise le pays : The Herald. Cet hebdomadaire catholique local revendique le droit d'user, pour désigner Dieu, du terme d'"Allah" dans son édition de langue malaise, destinée aux fidèles de l'île de Bornéo. À l'issue d'une longue bataille juridique, la Haute Cour de Kuala Lumpur a autorisé, le 30 décembre dernier, les non-musulmans à utiliser le nom "Allah" dans leurs écrits. Mais, face à la colère de groupes islamiques et aux pressions du gouvernement, qui a agité la menace de tensions interconfessionnelles, cette même cour a suspendu son autorisation le 6 janvier dans l'attente d'un jugement en appel. (...)
"La religion est devenue un facteur de division de notre société", estime l'analyste politique, Chandra Muzaffar. La Malaisie qui était autrefois une nation multiraciale unie est aujourd'hui tiraillée entre ses trois communautés ethniques : les Malais musulmans (60 % des 28 millions d'habitants du pays) et les minorités chinoises et indiennes, réparties entre chrétiens (9 %), bouddhistes et hindouistes.
Derrière «l'absurdité de cette histoire de sémantique», c'est l'islamisation de la société et du débat public qui inquiète le père Lawrence Andrew, directeur du journal catholique au cœur de la polémique."
[...]
http://www.lefigaro.fr/international/2010/01/30/01003-20100130ARTFIG00173-la-malaisie-se-dechire-au-nom-d-allah-.php


Être un bon musulman… dans l’espace (J.C. avec AP)
Le Figaro – 6 octobre 2007 (1/10 de page)

"Avant d’envoyer un astronaute la semaine prochaine à bord de la Station spatiale internationale, la Malaisie publie le premier guide destiné aux musulmans dans l'espace."
"Comment se tourner vers la Mecque cinq fois par jour quand on se trouve dans l’espace ? Avant d’envoyer un astronaute à bord de la Station spatiale internationale (ISS) la semaine prochaine, la Malaisie a pris soin de répondre à cette question. Le pays où l’islam est religion d’Etat depuis le XVe siècle est ainsi devenu le premier pays au monde à publier un guide destiné aux musulmans dans l’espace, selon le quotidien malaisien, The Star." [...]
Il est vrai qu'en 1985, le premier musulman à aller dans l'espace, le prince saoudien Sultan bin Salman, avait avoué avoir été dans l'impossibilité de localiser la direction de la Mecque.
Il est surprenant que le Coran, que certains présentent comme un ouvrage scientifique, n'ait pas indiqué la méthode.


La Malaisie veut relancer la Banque islamique de développement (Francis Deron)
Le Monde - 14 mai 2006 (1/8 de page)

"Une initiative de la Malaisie pour aider à arracher le monde musulman à la pauvreté consiste à réactiver les rouages d'une institution qui existe depuis 1975, la Banque islamique de développement, fondée et basée à Djedda, en Arabie saoudite. Sorte de "Banque mondiale pour le monde musulman", cet organisme financier est bien vu dans le monde bancaire international, mais pâtit d'un certain bureaucratisme qui en a fortement réduit la visibilité et l'impact. Sous l'impulsion volontariste de son ancien premier ministre Mahahir bin Mohammad, Kuala Lumpur entend redonner à ce dispositif ses lettres de noblesse et se positionner, du même coup, comme passerelle entre le monde islamique et celui de la haute finance occidentale...."


Malaisie. Revenons à la Constitution laïque, vite ! (Baradam Kuppusamy)
Courrier International - 30 mars au 5 avril 2006 (3/4 de page)

Un collectif d’associations, d’avocats et de juristes, de musulmans modérés et non musulmans, ont lancé une campagne en vue d’un retour à l’esprit de la Charte fondamentale de la Malaisie. "Ils dénoncent le recours de plus en plus fréquent à la charia dans l’ensemble du pays et le manque d’indépendance des juges."
En fait, "les citoyens ordinaires ignorent en général tout de cette Constitution et des protections qu’elle leur garantit. Ce texte fondamental a été relégué au second plan par un exécutif autoritaire, des médias muselés et un développement économique rapide donnant l’illusion que les droits de l’homme et les libertés fondamentales étaient respectés."


Quand le tribunal islamique dicte sa loi aux non-musulmans (Reme Ahmad)
Courrier International - 12 au 18 janvier 2006 (1/3 de page)

Malaisie. Un malaisien a été enterré dans un cimetière musulman par les autorités du conseil religieux en dépit de l’avis de son épouse. En effet un tribunal de la charia avait déclaré qu’il s’était converti à l’islam. Cette décision a provoqué une controverse qui a conduit les dignitaires des minorités religieuses à "demander au gouvernement d’amender la Constitution en vue de limiter les pouvoirs des tribunaux islamiques".



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