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Citations : "A contre Coran"
(2004)


Jack-Alain Léger,  (1947-2013)



""A quoi cela tient ! Un mot. "Spirituel" est un mot qui a deux sens en français, et seule­ment en français :
1 - Relatif à l'âme, en tant qu'émanation et reflet d'un principe supérieur, divin…
2 - Qui a de la vivacité, de l'à-propos, qui sait briller et plaire...,
selon le Petit Robert.
Nous avons estimé que le second sens était plus satisfaisant car beaucoup plus clair, et sans équivoque, quoique, au fond, plus pro­fond si on y réfléchit bien... En tout cas plus évocateur de cette joie que la foi en le Sauveur est censée nous offrir."

(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p26 / 2004)

"Nous avons repris à Dieu ce qui revenait à César: ce pouvoir temporel que l'Église catholique, désobéissant à Jésus, avait usurpé. Nous ne nous sommes plus laissé intimider par le clergé, nous n'avons plus voulu céder au chantage au salut et à la vie éternelle. La vie est ici et maintenant."
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p28 / 2004)

"Nous avons décidé qu'adorer Dieu, il y avait des églises, des temples, ou des synagogues, voire des mosquées, pour cela. Et qu'un homme, s'il ne croyait pas en la résurrection du Christ, ne serait plus tenu de se découvrir, ni une femme de se couvrir au passage d'une pro­cession mariale. Que le plus simple, du reste, pour régler la question et éviter les incidents, les incivilités cléricales aussi bien que les incivi­lités anticléricales, était, sinon d'interdire les processions, du moins de les réglementer: jour, heure, parcours…"
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p28 / 2004)

"Surtout, avec un grand bon sens, et ce devrait demeurer notre plus grand sujet de fierté, nous avons conçu qu'une école rigou­reusement non confessionnelle pourrait beau­coup mieux enseigner aux enfants la liberté, l'égalité, la fraternité y compris envers ceux qui professent une autre foi, beaucoup mieux enseigner la tolérance et le respect d'autrui -en un mot: l'humanisme -, que le curé de la paroisse qui, tout bon et brave curé qu'il fût, et disciple sincère de Jésus, avait trop bien assimilé au séminaire l'interdit et la censure, l'esprit de soumission et d'abaissement ; si encore, par chance, il n'y avait pas appris aussi le mépris et l'envie ; si encore il en était sorti indemne de la méchanceté, de la férocité qui y régnait."
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p29 / 2004)

"Le droit à l'indifférence, donc. Le droit pour tous. Mais qui, comme tout droit; implique des devoirs. Et d'abord, qu'on le défende sans merci, ce droit toujours attaqué par les sectarismes, les fanatismes, les totalita­rismes politiques ou religieux - ou politico­religieux. Ce droit toujours remis en cause par une cabale de dévots ou une autre, tel militan­tisme ou tel autre... Voici son corollaire: Aucune tolérance à l'intolérance! Aucune complaisance pour ceux qui ne veulent pas jouer le jeu - c'en est un. Un jeu de société. Le jeu de la vie en société. Le jeu démocratique de la vie en société."
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p48 / 2004)

"Comme je me permets de citer un de ces abominables versets du Coran qui révulse tout homme civilisé et constitue un défi à nos valeurs -la justice, le respect de son prochain - et à nos simples sentiments humains: ce verset 34 de la IVe Sourate qui recommande à l'homme de séquestrer sa femme et de la frapper sur la seule crainte qu'elle puisse lui désobéir, le rec­teur de la Mosquée de Paris, ivre de rage (on a les ivresses qu'on peut quand, pour obéir à Dieu, on ne boit pas d'alcool), s'écrie: "Je me fous de ce qu'il y a dans le Coran!""
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p96 / 2004)

"On m'a beaucoup critiqué pour ce terme d"'islamisation des esprits" que j'ai forgé sur le modèle de la fameuse "lepénisation des esprits", dont il fut question pendant tant d'années.
Voici ce qu'on peut entendre le 7 janvier 2004, en écoutant France-Inter, la radio géné­raliste de service public" l'organe radiopho­nique officiel du politiquement correct et de la France islamisante: "Zidane, le footballeur musulman non-pratiquant..." On en est là! qui le tour, ensuite ?"

(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p109 / 2004)

"Comment se fait-il que tant de fervents catholiques se montrent si prompts à excuser les musulmans dès qu'ils manifestent leur intolérance et leur obscurantisme? - ils nous en apportent de nouvelles preuves tous les jours depuis le début de l'affaire du voile."
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p116 / 2004)

"Et a-t-on le droit de rappeler que le prophète Mahomet déflora Aïsha alors qu'elle n'avait que neuf ans ? Oui. Or, tous les historiens et tous les anthropologues qui ont étudié les us et coutu­mes de l'Arabie d'avant l'hégire et des premiers temps du mahométisme s'accordent au moins sur ce point: même à Médine, au VIIe siècle de l'ère chrétienne, ce que nous désignons par le terme de pédophilie n'était pas chose banale ni estimée. . . Cela vous trouble, pour ne pas dire plus? Moi aussi. Mais c'est une vérité."
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p148 / 2004)

"Et a-t-on le droit de dire que le Coran est ­- aussi - un livre de haine ? Oui. Un livre dont les versets dits "fulminants" sont autant d'incita­tions à la haine. Et singulièrement, à cette variété de la haine que nos beaux esprits ardents défen­seurs des droits de l'homme qualifient de "haine raciale". Un livre qui, s'il n'était pas sacré, serait frappé d'interdiction en application de la fameuse loi Gayssot sur l'expression écrite de propos racistes ou antisémites. Loi scélérate à mes yeux, je m'empresse de le dire : qu'il n'y ait pas d'ambiguïté, je suis contre toute censure, pour quelque motif que ce soit; je souscris entièrement aux idées que défend Raoul Vaneigem dans "Rien n'est sacré, tout peut se dire..." Mais je constate un bien pénible effet de cette hypocrisie conçue par un député commu­niste - tiens donc! -, qui consacre l'injuste loi du Deux poids, deux mesures."
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p149 / 2004)



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