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Livre d'or et de cendres

Novembre 2004, page 5

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Vos textes sont en rouge foncé, ceux de atheisme.free.fr en noir.
Ils sont classés du plus récent au plus ancien.
Une ligne horizontale partielle
signifie que le texte de haut répond à celui du bas.


Réponse à anonyme (18/11/04) concernant la théosophie.
Je suis allé jeter un coup d'oeil sur votre site avec une certaine appréhention connaissant par avance la définition de ce terme (en général tout les mots commençants par "théo" me font siffler les oreilles alors quand il précède la "sophie" j'enfile mon gilet par-balle !!!). Verdict: je n'ai pas été déçu du voyage. Dès la première page des titres évocateurs passant allègrement des pouvoirs psychiques à des questionnement sur Dieu.
Toutes les réflexions exposées relèvent de croyances sans fondements (ben oui, ce sont des croyances!!) qui participent au gonflement des couilles en or (pardonnez cette expression) des escrocs, gourous et manipulateurs en tous genres. A fuir.
(Ocenebre très irrité!!! / 20/11/04 - 00h51)


Bonsoir,
Je voudrais dire aux athées qu'il y a un site très intéressent : www.theosophie.asso.fr/ (c'est de la théosophie)
(Anonyme / 18/11/04 - 22h08)


"Dieu est souvent un bâton dont se servent les méchants pour soumettre les autres, dans l'ivresse de leur ego."
(Anonyme / 18/11/04 - 12h51)


Réponse au "flutogénère parmis tant d'autres..."
Tu ne peux pas attribuer l'agnocisme aux intro-itisme car les calothins n'ont jamais eu ce varoménien, à partir du flutofénonère de Zar, mais animisme !
(fabius499@hotmail.com / 19/11/04 - 13h26)


A l'agnosticisme des akénathons et des Albigeois ou Animisme / animiste pour les arianistes ou les intro-itisme (voir E.T, l'extraterrestre): Les Psaumes ne font que brahimes ou calothins, pour certains.
Quant aux calvites, appellés aussi arthocikes, il faut précisser que nier l'entrohuvénerre peut être fatal dans l'utroganianisme.
A méditer...
(Un flutogénère parmis tant d'autres... / 17/11/04 - 16h18)


Bonsoir,
Des Saintes Farces, faut-il dire... Faut pas oublier d'y inclure les guerres.... de religion ou non !
(fouloup / 19/11/04 - 19h04)


Bonsoir,
En réponse à Claire (Claire / 16/11/04 - 15h30),
"Il faut vivre ses rêves et (non) pas rêver de vivre". Très jolie phrase, merci…
Combien autour de nous auraient-ils simplement voulu vivre, même sans rêve ? Car même à ceux-là, on leur a volé leurs rêves et leur vie au nom d’une sainte Farce !
(Anonyme / 17/11/04 - 20h58)


Votre site est très intéressant. J'ai surtout aimé les différentes citations.
J'en ai une que j'adore : "Il faut vivre ses rêves et pas rêver de vivre".
Bisou
(Claire / 16/11/04 - 15h30)


J'ai adoré les blagues et les citations!
super bien fait, et très juste, il touche là où ça fait mal!
(gregoire orenga alias Dieu / 16/11/04 - 12h54)


Réponse à André Burger (17/11/04).
Dans mon texte, les étoiles n'étaient qu'un prétexte de rêveur aux interrogations métaphysiques. Loin de moi l'idée de remettre en cause les lois régissant l'évolution de l'Univers. Je vois que mon texte n'était pas clair.
Par contre je ne pense pas que les questions existencielles sont à mettre sur le compte de l'orgueil humain. L'interrogation sur la finalité de la vie (qui ne peut accepter de réponse positive ou négative) me semble intimement liée à notre conscience d'exister (et de devoir disparaître un jour).
En aparte, j'ai relu mon message pour chercher mon erreur sur la pleine-lune : j'ai bien écrit la nouvelle lune (donc la nuit la plus noire possible). Quant à la beauté de la vie, vous prêchez à un converti... biologiste de formation. Amicalement
(Ocenebre / 20/11/04 - 00h14)


Réponse à "ocenebre" (16/11/02h40) Si j'ai envie de vous répondre, c'est à cause des étoiles que vous dites admirer.
Les premiers hominidés admiraient déja le ciel étoilé, inconsciemment ils sentaient les liens qui les unissaient. Aujourd'hui nous le savons, nous sommes tous "poussières d'étoiles" et donc enfants des étoiles, car c'est dans le feu nucléaire des astres que les éléments chimiques, qui composent toute éxistence, ont été forgés.
A la disparition de notre système solaire, nos particules élémentaires retourneront au grand brassage universel, sans souvenirs, sans informations quand à leur fulgurante participation à une quelconque vie sur Terre, où ailleurs.
Mettons les questions métaphysiques au compte de l'orgueil humain, humain qui semble survoler le monde vivant, sans toutefois lui arriver à la cheville, et sans vraiment y prendre garde.
Je suis astronome amateur et, si je puis me permettre, admirez le ciel sans pleine-lune, vous verriez beaucoup plus d'étoiles.
(André Burger. / 17/11/04 - 21h56)


Dieu...quelle vaste question. Quelle vaste réponse également : qui sommes-nous? D'où venons-nous? Et toutes ces questions que l'on se pose les nuits de nouvelle lune, les yeux dans les étoiles. Ma pensée scientifique, donc sceptique, trace une frontière entre l'appréhendable (les sciences) et les interrogations métaphysiques. Je pense (mais je peux bien évidemment me tromper) que si j'applique cette rigueur d'esprit aux questions existentielles, seule la conviction agnostique est valable. La question de Dieu est présente en l'homme car elle va de paire avec la conscience de soi. Cette question dépasse l'appréhendable et ne peut pas obtenir de réponse. En cela je suis en désaccord avec les athéistes qui répondent à cette question par la négative.
Mais peut-être ce désaccord tient à la définition de Dieu. Si Dieu est l'être personnifié décrit dans les religions (avec le costume, le paradis et les paillettes, et tous les cultes incompréhensibles qui lui font cortège) alors je suis profondément athée.
Mais si Dieu est le terme que l'on associe à toutes les questions existencielles alors nier Dieu serait nier la conscience que l'homme a de lui-même. D'où venons-nous ? Où allons-nous ? L'Univers a t'il un but ? Nous n'aurons jamais les réponses ; mais nous regarderons encore et toujours ce ciel étoilé...et son flot d'interrogations.
(Ocenebre / 16/11/04 - 02h40)


Très bon site. Merci. Il ne faut pas oublier que ce ne sont pas les religieux qui font avancer la connaissance scientifique. S'il faut attendre la découverte scientifique pour ensuite essayer de la retrouver dans les textes, alors à quoi servent ces textes ? La non-croyance est mère de réflexion!
(YSP un athée / 15/11/04 - 17h42)


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