Les messages sont classés du plus récent au plus ancien.
Une ligne horizontale partielle
signifie que le texte de dessus répond à
celui de dessous.
Bonjour,
Concernant le bouddhisme, il me paraît difficile de le déclarer "religion", mais plutôt philosophie, tant il n'y a pas de principe transcendant. Ensuite limiter le bouddhisme au Dalai Lama comme une lecture du site le montre me parait réducteur.
Enfin je garde du bouddhisme plusieurs petites choses : si tu croises le bouddha sur la route, tue-le, la "parabole" de l'accordeur de guitare : trop détendue elle ne sonne pas, trop tendue elle casse, la voie est la voie du milieu, o combien frustrante, o combien rationnelle.
Michel
(mlarue@wanadoo.fr / 26/12/05 - 05:31)
Bonjour.
Ex membre d’une secte déiste indo-américaine, je suis me sens concerné par le sujet que vous abordez. Athée, je le fus par mon éducation, puis croyant pour ne pas finir dans le néant d’un caniveau, puis agnostique pour pouvoir continuer la méditation sous une forme bouddhiste. Le bouddhisme c’est comme les gâteaux au chocolat, ils ont des recettes très différentes mais il y a toujours du chocolat. Pour rester concis j’indique un ouvrage de Stephen Batchelor : "Le bouddhisme libéré des croyances", intéressant pour ceux qui sont allergiques à la religion.
(Migwell / 30/06/05 - 12h20)
Bonsoir,
Je voudrais dire aux chrétiens, musulmans, bouddhistes, athées, etc ... que Jésus a toujours dit qu'il y a réincarnation et non pas qu'il y a une résurrection! Même dans le Coran, il est question de réincarnation! Quant aux bouddhistes, Bouddha a dit qu'on avait un Soi, qui est divin, permanent et éternelle. Ceux qui étudient le bouddhisme ésotérique, ils le disent. Si c'est vrai!
(Sans pseudonyme / 15/04/05 - 21h27)
salut,
j'en ai un peu marre qu'on présente le boudhisme commme une philosophie et non comme une religion...
Le tibet dit libre n'était qu'une théocratie où une caste de moines priait, faisait des mandalas et autres pendant que le peuple grattait une terre ingrate.
Et si cette philosophie laisse une soi-disant liberté aux gens, comment se fait-il qu'il n'y ait pas eu plus de résistants tibétains en 1954 si ce n'est par suivisme de l'attentisme contemplatif du clergé boudhiste... D'ailleurs, à partir du moment où il y a un clergé, il y a religion (il n'y a jamais eu de clergé kantien, existentialiste ou cartésien que je sache, la philo a bon dos). Je soutiendrais toujours la lutte du peuple tibétain pour la liberté, mais par lui-même. C'est il y a 50 ans que le dalaï-lama aurait dû rentrer en résistance!
(DrMato / 02/02/05 - 15h12)
Le bouddhisme est aussi une religion de la souffrance (cf Bouddha : toute existence est souffrance), ce que dit Nietzsche c'est que dans le cas du bouddhisme, les adeptes sont déjà préparés, ils ont déjà une inclination à souffrir et à voir souffrir tandis que le christianisme à une approche très différente de la souffrance, notamment ce coté martyr qui est très chretien.
(YHWH / 21/12/04 - 16h30)
Bonsoir,
La différence fondamentale entre la philosophie bouddhiste et la religion chrétienne révélée de l'Eglise romaine ou anglicane est que la première a été expliquée (prônée) par un sujet noble, le Gautama Bouddha, donc s'adressant à des gens cultivés dont l'occupation principale est de continuer à se cultiver alors que la force de l'Eglise chrétienne réside dans le fait qu'elle s'adresse à des hommes qui souffrent. Ce qui explique que cette religion de souffrance, même si elle a été prônée par l'empereur Constantin 1er, a pour symbole le Christ sur la croix donc en sa souffrance. La souffrance des gens du peuple est explicite de son ascension fulgurante et le fait qu'elle se soit assise sur la souffrance pour progresser ! Elle s'adresse essentiellement à des gens sans aucune culture et maintenus dans l'ignorance…
De même que l'accès à la culture explique son déclin.
Une autre différence réside dans l'attitude de prière. Pour le bouddhisme il faut être assis donc être pairs ou étudiants alors que pour la chrétienté, il faut être à genoux donc esclave attendant le châtiment. D'une religion construite sur et pour la souffrance.
Nietzsche l'a bien montré dans son livre "L'antéchrist" quand il compare le bouddhisme et la chrétienté.
Salutations.
(gral / 19/12/04 - 23h56)
Le bouddha a fait 84 000 enseignements mais on peut séparer les enseignements de Shakyamuni en deux. Les premiers sont les enseignements provisoires ou éphémères (tous les autres Sûtras qui précèdes le Sûtra du lotus). Qui n'ont plus aucunes utilités aujourd’hui et les enseignements définitifs ou profonds c'est-à-dire le Sûtra du Lotus. ex dans les enseignements provisoires Shakyamuni enseigna que les femmes n'ont pas l'état de Bouddha, mais dans l'enseignement définitif, le Sûtra du Lotus il est dit HOMMES ET FEMMES SONT TOTALEMENTS EGAUX, Que la femme a l'état de Bouddha comme l'homme.
C'est plutôt l'école de Nichiren et du ZEN
Je suis pratiquant bouddhiste ne prie pas une statue de Bouddha car c'était un homme pas un dieu. Suis je athée ? Je ne sais pas. Dans le bouddhisme nous pouvons énoncer les caractéristiques suivantes. Ne pas établir un dieu imaginaire ou absolu. Mais en une loi de l'univers force vitale. Est-ce une croyance ? Ce n'est pas un Dieu en tous cas. Concernant la réincarnation je n'y crois pas je pense que c'est plutôt une conception hindouiste.
Mais vous êtes tolérants car vous dites que vous respectez les croyances. Alors que dans le cas inverse la plupart n'accepte pas les avis des athées.
(fifi / 05/12/04 - 20h28)
Réponse à Marion / 21/11/04 :
Bien sûr que si, le bouddisme est une religion à part entière. Exactement comme les religions monothéistes, le bouddhisme nous promet des récompenses et nous menace de punitions post-mortem en fonction de ce que nous faisons pendant notre vie.
Toutes les idéologies basées sur des théories paranormales telles que le paradis, l'enfer, la réincarnation ou les extra-terrestres, doivent être considérées comme des religions.
(Sylvain / 22/11/04 - 22h08)
Marre de chez marre... Je suis tombée par hasard sur votre site alors que je faisais une recherche sur les religions et je suis effarée... Premièrement, je trouve que vous vous acharnez beaucoup sur les cathos et les chrétiens en général... Alors comme ça, on ne peut rien dire sur les musulmans et les juifs (ce qui est normal) mais on peut crachez comme on le veut sur les cathos... Vous n'en avez pas marre de sortir toujours les mêmes blagues pourries sur les prêtres, le pape, ou les bonnes soeurs.... Deuxièmement, pour vous donner bonne conscience, vous avez créer une rubrique "anti-athées"... Cela aurait été une bonne idée si les blagues n'avaient pas été aussi gentilles ! L'athéisme est tout à fait respectable, mais pas ceux qui en font un extrémisme... Les mots sont forts, mais une conduite comme la votre peut influencer certaines personnes et les pousser à commettre des actes débiles, comme la profanation des lieux saints par exemple...
PS : au fait, petit rappel pour les idiots qui se convertissent au bouddhisme pour faire bien : ce n'est pas une religion comme le catholicisme ou l'islam, c'est une philosophie (et c'est la dalaï-lama qui le dit !)
(Marion / 21/11/04 - 17h29)
À YHWH / 20/11/04 - 19h48.
Félicitation, tu me mouches, j'avais trouvé la citation assez plaisante pour souhaiter la voir figurer sur ce site que j'admire...
Ce texte transmit par un imbécile, moi en l'occurrence, montre que je ne l’avais lu que rapidement.
Bouddha respectait les idées de tous, il laissait à chacun ses convictions/croyances en plusieurs dieux -le monothéisme étant inexistant de son temps et surtout dieu écrit avec "D". Son enseignement reste toujours valable et son acuité exceptionnelle...
(Anonyme / 21/11/04 - 16h17)
Sur Bouddha, il me semble qu'il y contradiction, il aurait dit : "Ne croyez rien sur la foi des traditions, alors même qu'elles sont à l'honneur depuis de longues générations"
Cependant Bouddha reprend de nombreux principes de l'hindouisme et notamment la réincarnation.
Autre chose, dans la citation d'Anonyme je lis "...que Dieu..." je trouve cela étrange que ce terme soit employé au 6eme ou 5eme siecle avant notre ere.
(YHWH / 20/11/04 - 19h48)
Le Bouddha a enseigné : " Ne croyez rien sur la foi des traditions, alors même qu'elles sont à l'honneur depuis de longues générations, et en nombre d'endroits. Ne croyez pas une chose parce que beaucoup de gens en parlent. Ne croyez pas sur la foi des sages. Ne croyez pas ce que vous vous êtes imaginé, vous persuadant que Dieu vous l'a inspiré. Ne croyez pas sous la seule autorité des maîtres ou des prêtres. Après examen, croyez ce que vous avez expérimenté vous-mêmes, et reconnu raisonnable."
Le message du Bouddha se résume à : "Je n'enseigne que deux choses : la souffrance et la délivrance de la souffrance".
(Anonyme / 19/11/04 - 15h31)
Si vous voulez un personnage historique, un bienfaiteur, un modèle spirituel de compassion, prenez Bouddha, certes il a été mythifié mais il a quand même delivré un message.
Après reste toujours des sornettes (réincarnation...)
(Anonyme / 23/10/04 - 17h10)
Ce que tu dis de Bouddha n'est pas très nietzschéen, et puis le but du bouddhisme n'est-il pas d'atteindre une sorte de "néant" appelé nirvana, ne reprend-il pas la réincarnation?
(YHWH / 29/09/04 - 21h18)
Objet: Abandon des croyances
Juste pour vous conseiller le site dhammadana.org, qui traite du bouddhisme d'une façon insolite, rare et surtout, très proche de l'esprit originel de l'enseignement. A la question "le bouddhisme reste-il conforme à son origine?", je répond que non: les textes anciens sont dispo, mais la majorité des hommes assimilent le bouddhisme à une sorte de stoïcisme, ou une spiritualité orientale classique, une recherche de la paix, voir même un pessimisme... Je souhaite afficher mon respect pour cet enseignement qui renvoie dos à dos le nihilisme et le transcendantalisme, le matérialisme et le spiritualisme.
Sans nier la possibilité d'atteindre des béatitudes, des jouissances de l'âme, des "communions", Bouddha, à travers la description (presque nietzschéenne!) d'un monde insubstantiel, nous indique que la divinité n'est pas la solution, pas plus que le plaisir des sens, mais bien plutôt que l'insatisfaction cesse par l'abandon des croyances, la compréhension de la causalité et l'effacement de nos impuretés mentales : pour cela, aucun rituel, aucun effort si ce n'est le minimum : connaître, porter notre attention sur la réalité jusqu'à développer une connaissance directe de celle-ci !
(un dividu / 26/09/04 - 12h40)
Dans le domaine de la spiritualité, le problème n'est pas de "croire" ou "ne pas croire" ce qui dans les deux cas, est une affirmation sans fondement ni preuve, donc : une croyance (positive ou négative ), le problème est de Savoir, de faire l'expérience de...
En tant que bouddhiste laïque, ma conception sur ce sujet, n'exclue pas pour autant Dieu.
Beaucoup parlent de lui, en bien ou en mal... sans pour autant connaître ce dont il s'agit vraiment.
Pour beaucoup Dieu n'est qu'un concept, extérieurs à eux-mêmes, mais les sages (tels qu'ils sont définis dans toutes les vraies traditions spirituelles) enseignent que Dieu ou l'Absolu, désigne simplement "Ce qui Est", l'Etre pur et simple, la Réalité unique du monde, de l'univers.
Cette réalité, que l'on nomme différemment dans differentes traditions géographiques du monde, est appelée tantôt Dieu, tantôt Tao (chez les taoïstes) tantôt, Wakan tanka (le grand Esprit des indiens d'Amériques ), Allah, ou autres...
même dans le bouddhisme on parle d'un Etat, l'Eveil, l'état du Bouddha, qui est l'atteinte de cette réalité éternelle.
Pourquoi éternelle ? simplement parce que : l'irréel apparaît et disparaît, le Réel ne cesse jamais d'Etre, il Est, éternellement.
Ce qu'on nomme Réalité, doit si elle existe, demeurer toujours, autrement si elle est éphémère (comme le monde et les êtres qui y vivent et meurent )c'est qu'elle est illusoire, elle n'est pas La réalité.
Un sage de l'inde, dont je vous conseille la lecture (mais je ne m'impose pas, je donne ici juste mon avis ), nommé Ramana Maharshi, conseillait aux gens en quête de vérité, non pas la recherche de Dieu, ou plutôt d'un divin extérieur à eux dans le monde, mais plutôt de Chercher en eux même, Ce qu'ils Sont réellement, par la recherche intérieure "Qui suis-je ?".
Car, on peut toujours nier l'existence de Dieu, mais on ne peut pas nier sa propre Existence, tout le monde dit "Je Suis ?"
Cette Conscience de soi et du monde, ce sage de la tradition hindouiste l'appelle le Soi, la Conscience pure et simple, éternelle, qui est notre vraie nature, et qui est identique à Dieu. Pourquoi cette affirmation ? c'est par simple logique, les êtres naissent, vivent et meurent, tout est impermanent sur terre, et pourtant dans notre courte vie sur terre, pendant que tout bouge, en nous et or de nous (pensées, désirs, émotions, objets du monde) notre Conscience du Je demeure, l'Etre est toujours là, même si chez la plupart cette conscience d'être infini comme l'espace, est voilée par les pensées et les éléments éphémères
En fait ce qu'enseigne toutes les vraies sagesses, c'est que Dieu est le Soi, tout est Dieu, tout est Soi .
La Conscience voilé par les pensées, le corps et le monde : c'est l'individu, l'ego
La conscience sans pensées, pure et simple, c'est le Soi, Dieu
Je donne bien sûr ici simplement mon avis, mon but n'est pas d'imposer ma vision à qui que ce soit, croyants, sages ou athées, pour moi peu importe, tant que les gens respectent la liberté de leurs prochains, et sont justes, ce qui n'est pas l'apanage des seules religions, ni des seuls laïques, c'est même parfois l'inverse...
Comme le dit le Dalai Lama : ma seule religion c'est l'Amour, il est moins important de croire, que d'avoir Bon coeur, d'être en paix et pacifique envers les autres êtres.
(kiowa / 05/09/04 - 04h54)
J’ai, par éducation, été élevé dans la religion catholique, mouvement de jeunesse (louveteaux, scouts, éclaireurs unionistes ( ?), (et même cœurs vaillants, puis raider, et enfin routier), j’ai fréquenté la JEC. Déjà différent des autres enfants par ma famille, et je la remercie, dans laquelle fleurissaient plusieurs religions dont le protestantisme par l’origine du nom, le judaïsme par des cousins, d’autre étant orthodoxes, le catholicisme par obédience, l’islam par le mariage d’un frère. Ma jeunesse a correspondu à la guerre d’Algérie, celle d’Indochine qui m’a poussé à m’intéresser au bouddhisme avec la venue des premiers rapatriés, parents d’un ami d’enfance (?) migrants seraient plus juste. Nous avons eu, mes frères et moi, la chance d’être éduqués par des parents lettrés, chez qui on lisait beaucoup. D’où le besoin de lire ! Ceci non pour vous doucher avec une pluie de mots en « isme » mais pour vous dire que trop de religions tuent la religion.
(gral / 25/06/04 - 16h53)
La liberté ne semble être appréciée qu'une fois retrouvée mais, faut-il devenir esclave, pour un jour goûter à la liberté? Sidartha Gautama [Bouddha] a deviné que le désir est cause de souffrance et que l'esprit ne s'apaise que par la mort du désir. Mais comment résister aux avances d'une belle femme qui invite à l'amour, aux plaisirs sains et si simples! Sachant que la femme est si bonne, douce, sublime... Et que sa supposée malice ne provient que de la nature éphémère de notre appréciation de la jouissance d'être avec elle, ne serait-ce qu'un moment ?
(MP / 21/06/04 22h16)
"Je trouve que la pensée philosophique bouddhiste est intéressante dans son ouverture d'esprit mais ne crois pas aux préceptes bouddhistes.
(un athée / 12 juin 2004 - 20:24)
Sage, je n'en doute pas.
Le doute, l'incertitude, le scepticisme sont les premiers pas qui conduisent à l'agnosticisme.
Mais ne pas désigner un "absolu" par Dieu n'est pas suffisant, à mon avis, pour parler d'athéisme.
(atheisme.free.fr / 10/06/04 - 07h45)
Voici un résumé du Kalamas Soutra
histe, l'enseignement aux Kalamas :
Les Kalamas qui habitaient Kesaputra dirent au Bouddha : "O vénérable monsieur, il y a des renonçants et des brahmanes qui visitent Kesaputra. Ils n'exposent et n'expliquent que leurs propres doctrines; celles des autres, ils les méprisent, les ridiculisent et les mettent en pièces. D'autres renonçants et brahmanes également, vénérable monsieur, viennent à Kesaputra. Eux aussi n'exposent et n'expliquent que leurs propres doctrines; celles des autres, ils les méprisent, les ridiculisent et les mettent en pièces. Vénérable monsieur, il nous prend des doutes et des incertitudes à leur sujet. Lesquels de ces révérends renonçants et brahmanes disent le vrai et lesquels disent le faux?"
Le Bienheureux s'adressa aux Kalamas et dit : "Il est normal pour vous, ô Kalamas, de douter et d'être incertains; l'incertitude s'est levée en vous à propos de ce qui est douteux. Allez, Kalamas. Ne vous fiez pas à ce qui a été acquis du fait de l'avoir entendu de façon répétée; ni du fait de la tradition; ni du fait de la rumeur; Par contre, O Kalamas, lorsque vous savez de vous-mêmes: "Ces choses sont bonnes; ces choses ne sont pas blâmables; ces choses sont louées par les sages; si on les entreprend et si on les observe, ces choses conduisent au bénéfice et au bonheur," entreprenez-les et observez-les."
Le Bouddha était athée, vous croyez ? Peut-être le plus sage des athées...
(coucou d'un boubou(dhiste) / 10/06/04 - 01h00)
Merci de parler du bouddhisme sur votre site
(9 avril 2004 - 16:23)
Je ne sais pas du tout si Dieu existe mais ce dont je suis sûr c'est que s'il "existe" (étymologiquement : sortir de) il est utilisé très mal par les hommes .cf: surtout les religions déistes qui diffèrent radicalement du bouddhiste ne serait ce que par la violence. D'autre part, personnellement, je vois le bouddhisme plutot comme une philosophie.
Merci à ce site d'exister.
L.N.2A DEUG PHILOSOPHIE
(un agnostiques / 24 novembre 2003)
Je doute de l'(in)existence de dieu et d'un pouvoir divin. J'ai plutôt idée de faire partie
d'un ensemble vivant où l'éphémère rejoint l'infini (selon la loi de Lavoisier [une intuition matérielle] ou selon la pensée Bouddhiste [une intuition spirituelle]) dans un cercle sans fin (pléonasme). Ce n'est pas en définitive un cercle à moins d'être celui des poètes disparus ou celui des nageurs olympiques ou encore tous ces cercles qui se reproduisent en perpétuant l'homogamie.