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Synthèse sur les représentations du Christ

Mensonges de l’Eglise (catholique romaine). Suite


par Gral  -  23/11/2008




Les textes publiés dans Vos contributions (rouge foncé) ne représentent que l'opinion de leurs auteurs.


Avertissement :

Nous devrions clore notre travail avec ce volet sur les mensonges de l’Eglise. Notre but n’est pas de choquer les croyants mais de soulever les derniers points qui nous ont intrigués.

Indicule :

      Préface

      Introduction
      Le crucifiement

      I – Image
      I - 1 – Idolâtrie
      I - 2 – Commentaires sur l’image
      I - 3 – Art statuaire
      I - 4 – Reliques

      II – Croix
      II - 1 – Crucifix

      III – Détails de crucifix (avec lecture verticale de haut en bas)
      III - 1 – Titulus
      III - 2 – Aura
      III - 3 – Christ
      III - 4 – Mains et bras
      III - 5 – Pagne
      III - 6 – Jambes et pieds
      III - 7 – Clous
      III - 8 – différents crucifix

      IV – Autres représentations (pouvant apparaître sur la croix)
      IV - 1 – mandorle
      IV - 2 – Tétramorphe
      IV - 3 – le tétragramme
      IV - 4 – autres représentations du Christ
      IV – 5 – Personnages
      IV - 6 – le monticule traditionnel

      V – Important
      V - 1 – Crucifix au féminin

      VI – Chemin de croix
      VI - 1 – Le chemin de croix ou l’attirance morbide chrétienne pour la souffrance.
      VI - 2 – Lourdes
      VI - 3 – 14 stations
      VI - 4 – Variantes sur la XV° station
      VI - 5 – Nota

      VII – les chapelets
      VII - 1 – chapelet bouddhique
      VII - 2 – chapelet orthodoxe
      VII - 3 – chapelet coranique
      VII - 4 – chapelet catholique romains
      VII - 5 – les rosaires

      VIII – Compléments
      VIII - 1 – le Christ, un dieu solaire
      VIII - 2 – Additif

      Conclusion


Préface :

Nous avions vu au cours de nos précédentes pérégrinations une série que nous avions intitulée les mensonges de l’Eglise, mais nous pensons maintenant que "Récupération et adaptation du paganisme au christianisme" eut été plus adapté. Le dernier volet sur le Christ solaire nous semblait incomplet et nous voulions lui donner une suite plus précise. Un échange avec un internaute au sujet d’un treizième apôtre nous a ouvert la voie : treize apôtres ; treize constellations.


Introduction

Crucifiement (Qui veut connaître l’avenir doit d’abord connaître le passé) :

Nous avons essayé de réaliser un travail cohérent sur la base même de la religion catholique c’est-à-dire la mort du Christ et sa résurrection vue par cette Eglise.
La croix fichée en terre telle un arbre de vie –dixit l’enseignement religieux reçu– relie la terre au ciel mais que dire des fruits qu’il porte !

Les romains prirent un madrier le "Stauros" planté en terre sur lequel ils fixèrent le "patibulum" qui fut une traverse ajoutée au stauros [1] et que le condamné porterait jusqu’au lieu du supplice. Puis l’ensemble est passé du simple tau à la croix assemblée par tenon et mortaise qui permettait ainsi de fixer le titulus (les clous étaient onéreux en ces temps-là !).
Il y eut plusieurs variantes de représentation du crucifiement au niveau des pieds avec un ou deux clous, avec ou sans socle pour reposer les pieds qui pouvaient parfois être cloués latéralement à la croix.
Il est possible que les jambes du crucifié aient été repliées, soit sous le poids du corps, soit pour provoquer plus rapidement l'asphyxie par paralysie des muscles de la cage thoracique...
Dans certains cas, il aurait été rajouté un tenon (sedile) qui passait entre les jambes et sur lequel s’appuyait le supplicié et dont le rôle était d’augmenter la douleur en supportant le poids du corps. Nous envisageons de passer ces détails en revue…


Topo :

Là où cela peut nous sembler troublant, c’est que la Torah mentionne : "L’éternel dieu des armées", or nous savons que les Anciens nommaient "armées" l'ensemble des constellations. Le Christ solaire et ses douze apôtres représente le système solaire au milieu des constellations, ce qui nous amena cette suite logique.
La première remarque serait douze plus un égale treize or treize n’est pas une base de calcul comme le sont dix, base décimale, ou douze, base duodécimale. Et les services de treize couverts n’étant pas courants il faut en cas de treize convives à table disposer de deux services de douze couverts ou être restaurateur ! D’où le chiffre 13 portera malheur : c’est la triskaidekaphobie.
Poursuivons, pour revenir au chiffre douze, il fallait supprimer un des apôtres. Solution trouvée par l’Eglise : insérer un traître dans le groupe des apôtres, Judas Iscariote dit le traître qui vendra le Christ pour trente deniers avant de se suicider… Cela tombait bien, le Christ Jésus et onze apôtres nous donnent bien le nombre douze...
Mais là où est un autre des mensonges éhontés de L’Eglise romaine, c’est que ce ne serait pas Judas qui aurait trahi Jésus mais bien Pierre en raison de sa jalousie envers Marie-Madeleine ou Marie de Magdala, jalousie morbide qui l’aurait conduit à une misogynie effrénée que cette Eglise fera sienne !
– Selon l'Évangile de saint Matthieu, XVI, 18 : Je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon église. Ce jeu de mot (annomination) franchira les siècles. Mais nous doutons fort qu’il soit de Jésus. En effet, d’une part il est bâti sur un "bricolage" de prénoms : Simon devient Pierre en passant par Céphas qui signifie roc voire pierre.
Simon-Pierre avait du sang sur les mains, n’avait-il pas coupé l’oreille d’un soldat… donc Jésus était entouré de gens armés –des guerriers ?– Ce qui nous permet d’insister sur le fait que la royauté de Jésus était terrestre, et non céleste, pour preuve ce passage, qui aurait été oublié des censeurs chrétiens, où Jésus affirme n’être pas venu apporter la paix mais le glaive. Alors il nous paraîtrait normal que la lignée des papes, hoirs de st Pierre, aient aussi par association d’idées du sang sur les mains.

Toujours en poursuivant notre errance mentale, nous avons souvenir d’un treizième apôtre que l’on pouvait voir, à notre connaissance, sur un vitrail de la Cène : Collégiale Notre Dame en Vaux, Châlons-en-Champagne, sans aucune explication des autorités religieuses et que nous expliquons comme suit : Nos ancêtres savaient que les constellations figurant dans le plan de l’écliptiques étaient au nombre de treize et non douze car il y a une constellation, celle du serpentaire ou d’Ophiucus [2] qui est traversée pendant neuf jours alors que celle de la vierge l’est quarante-cinq. Cette constellation figure à nouveau depuis les années 1939 dans le catalogue des constellations par l’UAI, l'Union Astronomique Internationale, sous le nom de constellation du serpentaire d’où treize constellations entraînent treize apôtres.
Ce qui nous ramène au chiffre de quatorze : treize constellations plus le soleil voire aussi 13 disciples plus Jésus. C’est aussi le nombre de stations du chemin de croix que nous allons aborder après nous être demandé, sans réponse autre qu’officieuse, si d’autres analogies astrologiques ou astronomiques ne s’apparenteraient pas au Christianisme [3].

L'almanach est strictement lunaire alors que le zodiaque est solaire. Le premier repose sur un cycle annuel de 354,36 jours, soit 13 lunaisons, alors que le second cycle annuel est de 365,25 jours. Il y aurait presque 12,5 cycles synodiques dans une année solaire.


I – Image :

Le logos ou verbe est créateur dans la Torah. Il y est stipulé : tu ne feras pas d’image à la ressemblance de dieu, de l’homme et de l’animal.
"L'interdiction de toute image cultuelle de Dieu promulguée dans le Décalogue (Ex 20,4) [4] n'est pas une donnée originaire de la religion de l'Israël ancien ; c'est avant tout le reflet du monothéisme postexilique, c'est-à-dire postérieure à la déportation des juifs à Babylone, au milieu du VIe s. avant notre ère. Auparavant, même après la fin du nomadisme et l'installation en Canaan, Israël a eu des images de Yahvé et de sa parèdre Ashera" [5].
Le principe d'irreprésentabilité de Dieu a donc eu une lente genèse [6].

I- 1 – Idolâtrie :

L’adoration des images serait une survivance du paganisme et l’eucharistie serait la seule image valide du Christ mais il fallait satisfaire la dévotion populaire et la théorie du canon en même temps, les théologiens ont donc séparé dieu d’une image le représentant en stipulant que l’image ne pouvait être le dieu…
C’est lors du second concile œcuménique de Nicée (787) que fut rétabli l'usage des images religieuses. Elles étaient considérées comme support nécessaire à la prière. L’image se veut être un miroir pour s’y projeter ou s’y plonger…
Elles affirment également la présence de dieu sur terre. Dieu peut être rencontré par son image. Mais c’est aussi et surtout une épée à double tranchant car d’images, elles sont passées à des statues, représentant dieu, qui sont peintes, lavées, ointes, encensées puis dressées et parées de fleurs ou d’offrandes alimentaires, des libations ou sacrifices. Dans certains lieux cultuels, on chante et on danse en leur présence. Elles participent aux processions.

I- 2– Commentaires sur l’image :

L’image peut être avilissante, diffamante et caricaturale. Pour mémoire n’oublions pas le cas de ce journal danois [7], de même qu’il a été dit des juifs qu’ils étaient capables de rire d’eux-mêmes alors que d’autres feraient plutôt pleurer avec leurs bombinettes…
L’image représente le prototype. Certaines personnes refusent de se laisser prendre en photo afin que l’on ne puisse agir sur eux par l’intermédiaire de la photo. Rappel des dagydes dans le vaudou, ces poupées qui servent à la guérison ou à jeter un sortilège quelconque. Magie quand tu nous tiens !

I- 3 – Art statuaire :

L’image peinte, plate, en deux dimensions devint rapidement tridimensionnelle sous forme de statues, une représentation volumétrique de dieu et de saints pour fixer l’attention des croyants.
L’autre coté de la statue est de servir de support à un égrégore à l’image de la divinité mais qui reste un leurre qui rappelle le paganisme… nous vous renvoyons à notre dernière étude quand nous mentionnons que nos ancêtres voyaient des dieux dans tout ce qu’ils n’expliquaient pas. Les pratiques du paganisme sont encore fortement ancrées dans les esprits et l’image ou la statue relèverait de l’idolâtrie ou du fétichisme comme le Christianisme est jugé par le judaïsme et l’islam qui, eux-mêmes, ont adopté des supports comme les calligraphies du Koran ou des amulettes contenant des textes de leurs saintes écritures.
Le xylolâtre est celui qui adore des idoles de bois.


I-4 – Reliques :

Curieux avec les trois en un ; le père, le fils et l’esprit. L’Eglise reconnaît implicitement qu’il y a quelque chose après la mort donc, elle savait ce que c’était à l’époque de sa création, c’est certainement pour cela qu’elle avait interdit tout commerce avec les défunts mais on prie le fils de dieu et les saints, morts et canonisés après leur mort.
Les textes des pyramides retranscrits sous l’appellation de : "Le livre des morts" sont en réalité des laïus que le mort devrait réciter quand il se lèvera dans l’autre monde. Ils lui indiquent la marche à suivre. Le titre du livre aurait par ailleurs dû être : "Le livre de l’éveil".
– Anecdotiquement nous est revenu à l’esprit la mise en vente pour le Japon d’une châsse contenant le morceau d’un noisetier qui aurait vu Notre-Dame de Lourdes et Bernadette Soubirous…

L’adoration des reliques de première catégorie pourrait nous interpeller sur le commerce avec les morts et une forme de fétichisme païen. En effet, il est demandé aux chrétiens d’adorer des bouts de papiers, tissus ou lambeaux humains voire des bouts de bois ou des fragments osseux. Que dire de feu notre pape embaumé qui attend sa découpe plus rapide que pour nos créateurs d’ordres qui, eux, attendent leur bicentenaire pour la sainte coutume.
L’Eglise s’est privée d’un commerce très lucratif en envoyant "ad patres" Jésus et Marie au ciel !!!


II – Les croix :

On donnait le nom de Staurolâtre aux anciens sectaires d'Arménie, qui ne voulaient pas adorer d'autre image que la croix. Cela s'est dit ironiquement des catholiques.
Depuis les années 320, la croix n'est plus un arbre de supplice : le stauros sur lequel le condamné était cloué par 2 clous.
Dès le IIIe siècle, Clément d’Alexandrie parle de la Croix comme symbole du Christ.
Il n’y aura pas de représentation de la mort du Christ avant le Ve siècle. Soient presque six cents ans après sa mort, de quoi en peaufiner sa restitution…
Dans les premiers temps du Christianisme, quand les premiers "chrétiens" se réunissaient dans les catacombes romaines, le Christ était souvent représenté en berger portant un mouton ou guidant des moutons voire les deux, en somme vivant.
Si nous considérons la croix dans sa symbolique : La branche verticale représente l'axe solsticial et l'horizontale l'axe équinoxial. Ou encore les axes Nord / Sud ; Est / Ouest : le monde crucifié, les quatre coins de l’horizon.

II - 1 – Crucifix :

Le mot de crucifix apparaît en français sous la forme de crocefis en 1170 crecefis fin du XIIème siècle, crucifit en 1223 (DHLF' Le Robert Paris 1995 tome 1 -page 538)
Ou encore : Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XIIe siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie "fixer sur une croix" (Wikipédia).
Le crucifix s'élève comme un cri de vengeance en un appel au meurtre pour une religion dite d’amour qui portera la souffrance en exergue.
Les condamnés à la crucifixion étaient entièrement dénudés et un dieu nu n’aurait pas franchit la censure de même que nous avions précédemment vu qu’un Christ crucifié la tête en bas comme l’étaient les condamnés politiques n’aurait pu franchir celle des "faiseurs de religions". Le symbole de la croix semble avoir été initialement un tau avant d’être une croix qui permettait de fixer le titulus avec son inscription en trois langues voir infra.
– Les crucifix orthodoxes sur lesquels ne figurent pas le Christ sont plus proches de l’idée de la résurrection. Comme eux, les chrétiens nestoriens et arméniens ne représentent jamais de Christ sur leurs crucifix.
– À notre connaissance, les cathares n’avaient pas de croix qui représentait pour eux le bois d’infamie. Nous pensons qu’ils auraient adopté la représentation de l’esprit saint sous forme de colombe ou de flamme descendant sur eux, le Consolateum… Ce qui pourrait nous paraître logique.


>>> Suite de l'article : III – Détails de crucifix chrétiens

Voir la page d'accueil sur le Christ




Notes :

1 – Stauros vient du verbe stauroo => attacher à un pal
Le stauros était un simple pieu sur lequel était clouée la victime avec 2 clous, un pour les mains et un pour les pieds. Ce n’était pas toujours un pieu écoté mais parfois le tronc d’un arbre en forêt. Le stauros qui était généralement fiché au centre du village permettait de mettre le condamné à la vue de tous pour l’exemple.

2 – Ophiuchus formait à l’origine la constellation du Serpentaire. Grande constellation enjambant l’équateur céleste, c’est l’une des 48 constellations répertoriées par Ptolémée (140 après J.-C.). Elle symbolise le dieu de la médecine Asclépios ou Esculape fils d’Apollon qui se retrouve dans le caducée, emblème des médecins et elle représente un homme portant un serpent à bout de bras. Faisant partie de l’hémisphère nord, et bien que le soleil y séjourne trois fois plus longtemps que dans le Scorpion, elle ne fait pas partie des signes zodiacaux. Elle fut néanmoins ajoutée à la liste des constellations du zodiaque en 1930 par l’UAI car l’écliptique la traverse vers le 29 novembre.
Serpentaire signifie porteur de serpent, une religion qui portera la haine du démon, sous les traits du serpent et diabolisera cet animal avait tout intérêt à le faire disparaître. Et logiquement ceux qui plagièrent cette religion, pour la plupart illettrés voire incultes l’ont transmis à la religion préfabriquée : le catholicisme romain.

3 – nous pensons à la fête de Marie qui tombe le 151° jour de l’année or 151 est le nombre de Marie. Il doit y avoir d’autres analogies que nous n’avons plus en mémoire…
– voir à ce sujet l’article de Nonki p. 52 et 53 de la revue TOP SECRET N° 39

4 – "[...] Alors Dieu prononça toutes ces paroles, en disant : je suis l'Eternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude. Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre". (Exode 20/1-4)

5 – C'est ce qu'ont établi récemment deux universitaires suisses, O. Keel et J. Chr. Uhlinger, en étudiant des milliers de sceaux-cylindres : O. KEEL, Die Welt der altorientalischen Bildsymbolik und das Alte Testament. Am Beispiel der Psalmen, Zurich/Einsiedlen/Cologne, 1972; Id., Das Recht der Bilder gesehen zu werden. Drei Fallstudien zur Methode der Interpretation altorientalischer Bilder, Göttingen (" Orbis Biblicus et Orientalis ", 122), 1992 ; Chr. UEHLINGER, " Du culte des images à son interdit. Témoins et étapes d'une rupture ", Le Monde de la Bible, n°110, avril 1998, p. 52-63 ; A. BERLEJUNG, Die Theologie der Bilder. Herstellung und Einweihung von Kultbildern in Mesopotamien und die alttestamentliche Bilderpolemik, Göttingen, 1998.

5 – Parèdre signifie : qui se tient à côté. En générale, il s’agit de la compagne voire de la femme…
Fr. BŒSPFLUG, " Apophatisme théologique et abstinence figurative. Sur l'irreprésentabilité de Dieu (le Père) ", Revue des sciences religieuses, 72/4,1998, p. 425-447. Sources : http://eduscol.education.fr/D0126/fait_religieux_boespflug.htm#n9#n9FirefoxHTML\Shell\Open\Command. le monothéisme du dieu unique a eu une lente genèse…

6 – "[...] Alors Dieu prononça toutes ces paroles, en disant : je suis l'Eternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude. Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre." (Exode 20/1-4)

7 – il s’agit du journal danois le : Jyllands-Posten, avec les "caricatures de Mahomet"
Il est intéressant de noter qu’un journal espagnol a publié des photos sur les personnages du nouveau testament. Les clichés du scandale ont été prises par le photographe José Antonio Moreno Montoya apparaissent dans un ouvrage : "SANCTORVM". Il s’agit de photos "osées" à la limite du porno montrant des attitudes réservées à la chambre à coucher de : Jésus, Marie, l’archange et bien d’autres…
Pour sa défense, le photographe a invoqué le fait que tout humain est porté sur les choses du sexe ; or le Christ était humain et de l’accepter grandirait l’Eglise…


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