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Citations :   Coran




"... il est important qu'il sache [l'enfant] comprendre la nature des choses, devienne capable de faire un raisonnement, d'apprendre à vérifier et discuter une hypothèse, autrement dit de résister à toute forme d'éducation qui serait un endoctrinement. Car je suis tout de même très heurté de savoir qu'on dresse des enfants à partir de cinq ans à réciter par coeur des sourates du Coran. Cette capacité de raisonnement que je propose, vaut... de l'enfant à l'énarque."
(Georges Charpak / 1924-2010 / article du "Monde des Religions" / Juillet-Août 2004)

"La philosophie doit prendre le relais de la religion, sans textes sacrés, sans le Coran, la Bible ou le livre du Bouddha."
(André Comte-Sponville / né en 1952)

"Mahomet fut si convaincu de l'incompatibilité de la Philosophie et de la Religion, qu'il décerna peine de mort contre celui qui s'appliquerait aux arts libéraux : c'est le même pressentiment dans tous les temps et chez tous les peuples, qui a fait hasarder de décrier la raison.
Le peu de lumière qui restait s'affaiblit au milieu du tumulte des armes, et s'éteignit au sein de la volupté ; l'alcoran fut le seul livre ; on brûla les autres, ou parce qu'ils étaient superflus s'ils ne contenaient que ce qui est dans l'alcoran, ou parce qu'ils étaient pernicieux, s'ils contenaient quelque chose qui n'y fût pas. Ce fut le raisonnement d'après lequel un des généraux "sarrazins" fit chauffer pendant six mois les bains publics avec les précieux manuscrits de la bibliothèque d'Alexandrie."

(Denis Diderot / 1713-1784 / Encyclopédie / 1765 / article : Arabes / Page 664)

"César et Mahomet ont rempli la terre de leur renommée. Le dernier est, dans la moitié de l'univers, respecté comme l'ami de Dieu ; dans l'autre, il est honoré comme un grand génie: cependant, ce Mahomet, simple courtier d'Arabie, sans lettres, sans éducation, et dupe lui-même en partie du fanatisme qu'il inspirait, avait été forcé, pour composer le médiocre et ridicule ouvrage nommé al-koran, d'avoir recours à quelques moines grecs. Or, comment, dans un tel homme, ne pas reconnaître l'ouvrage du hasard qui le place dans le temps et les circonstances où devait s'opérer la révolution à laquelle cet homme hardi ne fit guère que prêter son nom?"
(Claude Adrien Helvétius / 1715-1771 / De l'esprit)

"En tant que croyance et doctrine, l'islam est politique, culturel, social et militaire. Tout cela est inclus dans le livre saint : le Coran, révélé par le prophète Mohammed dont la vie doit être un modèle pour tous les musulmans. En cela l'islam veut nier toute distinction entre les personnes et toute différence de comportement. Nier le concept d'individu."
(Aayan Hirsi Ali / Interview pour ReSPUBLICA / 23 mars 2007)

"Homme, contente-toi de cette soif béante ;
Mais ne dirige pas vers Dieu ta faculté
D'inventer de la peur et de l'iniquité,
Tes catéchismes fous, tes korans, tes grammaires,
Et ton outil sinistre à forger des chimères."

(Victor Hugo / 1802-1885 / Religions et religion / 1880)

"Le fait que Mahomet ait écrit le "Coran" sous la dictée de l'ange Gabriel est non seulement absurde, mais dangereux : du fait de leur caractère sacré, on ne peut plus rien changer à ces écrits, et l'islam risque de se retrouver de plus en plus décalé par rapport au monde contemporain."
(Albert Jacquard / 1925-2013 / Revue Topo, anatomie du credo / avril 2004)

"Referme ton Coran. Pense et regarde librement le ciel et la terre."
(Omar Khayyâm / 1048-1122 / Rubayat)

"Comme je me permets de citer un de ces abominables versets du Coran qui révulse tout homme civilisé et constitue un défi à nos valeurs -la justice, le respect de son prochain - et à nos simples sentiments humains: ce verset 34 de la IVe Sourate qui recommande à l'homme de séquestrer sa femme et de la frapper sur la seule crainte qu'elle puisse lui désobéir, le recteur de la Mosquée de Paris, ivre de rage (on a les ivresses qu'on peut quand, pour obéir à Dieu, on ne boit pas d'alcool), s'écrie : "Je me fous de ce qu'il y a dans le Coran!""
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p96 / 2004)

"Et a-t-on le droit de dire que le Coran est -aussi - un livre de haine ? Oui. Un livre dont les versets dits "fulminants" sont autant d'incitations à la haine. Et singulièrement, à cette variété de la haine que nos beaux esprits ardents défenseurs des droits de l'homme qualifient de "haine raciale"."
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / A contre Coran, p149 / 2004)

"Est-il encore permis, au pays de Voltaire, d'énoncer que le Coran, tout comme l'Ancien Testament, et sans doute un peu plus que l'Ancien Testament, est un livre chargé d'abominations ? Non. Telle est la confusion mentale dans laquelle nous baignons."
(Jack-Alain Léger / 1947-2013 / Tartuffe fait ramadan, p61 / 2003)

"Brûlez les bibliothèques, car leur valeur se trouve dans ce seul livre (le Coran)."
(Attribuée à Omar, calife / 581-644 / lors la prise d'Alexandrie)

"L'enseignement du fait religieux réintroduit le loup dans la bergerie : ce que les prêtres ne peuvent plus commettre ouvertement ils pourraient désormais le faire en douce, en enseignant les fables de l'Ancien et du Nouveau Testament, celles du Coran, et des Hadiths sous prétexte de permettre aux scolaires d'accéder plus facilement à Marc Chagall, à la Divine Comédie, à la Chapelle Sixtine ou à la musique de Ziryab..."
(Michel Onfray / né en 1959 / Traité d'athéologie / 2005)

"Allah ne cesse d'apparaître dans le Coran comme un guerrier sans pitié. Certes il peut exercer sa magnanimité, elle relève de ses attributions. Mais quand ? Où ? Avec qui ? On passe au fils de l'épée, on avilit par le joug, on torture, on brûle, pille et massacre beaucoup plus qu'on ne pratique l'amour du prochain."
(Michel Onfray / né en 1959 / Traité d'athéologie / 2005)

"La laïcité comme respect de toutes les religions, c'est la porte ouverte aux surenchères religieuses. Il n'est pas dans la nature du judaïsme d'être prosélyte, on naît juif ou on ne l'est pas. Le christianisme n'a plus les moyens d'être prosélyte - encore qu'il reprenne du poil de la bête avec les succès engrangés par l'islam, ce qui lui donne des idées...
En revanche - je renvoie à la lecture du Coran, pas à l'ouï-dire médiatique sur l'islam, mais au Coran et à sa lecture plume à la main -, il est dans la nature de l'islam d'être prosélyte et conquérant. Que les médias le veuillent ou non, c'est dans le texte, confirmé par les hadiths et la biographie du Prophète.
A quoi bon une laïcité respectant toutes les religions face aux revendications théocratiques consubstantielles à l'esprit prosélyte ?"

(Michel Onfray / né en 1959 / "Le tribal fait désormais la loi", Marianne, /24/11/2014)

"Tous les commentaires des livres sacrés se ressemblent, depuis ceux de Manou jusqu'à ceux de la Bible, jusqu'à ceux du Coran. Tous sont la protestation de l'esprit humain contre la lettre asservissante, un effort malheureux pour féconder un champ infécond. Quand l'esprit ne trouve pas un objet proportionné à son activité, il s'en crée un par mille tours de force."
(Ernest Renan / 1823-1892 / L'Avenir de la science / 1848)

"C'est en promettant une récompense au paradis aux martyrs qui meurent en combattant pour l'islam que Muhammad fut capable de développer l'un des legs les plus maléfiques du Coran, la notion de guerre sainte... Les fanatiques ont été utilisés d'une manière effrayante tout au long de l'histoire de l'islam. Les martyrs ont été employées pour commettre des assassinats politiques bien avant ceux des XIe et XIIe siècles."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"...aussi longtemps que nous penserons que le Coran est éternellement vrai et qu'il apporte une réponse à tous les problèmes du monde moderne, il n'y aura aucun progrès. Les principes contenus dans le Coran sont antithétiques au progrès moral."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"L'obstacle majeur au développement des droits de l'homme dans l'islam, c'est Dieu ou, pour être plus précis, (...) c'est la vénération du Coran et de la sunnah."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Le plus nocif des legs de Muhammad est peut-être d'avoir soutenu que le Coran est la parole même de Dieu, vraie à jamais, faisant ainsi obstacle à tout progrès intellectuel et oblitérant tout espoir de liberté de pensée qui seuls permettraient à l'islam d'entrer dans le XXIème siècle."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Avant même de pouvoir lire ou écrire ma langue maternelle, j'avais appris le Coran par coeur, en arabe, sans en comprendre un traître mot; ainsi en est-il pour des centaines de millions d'enfants musulmans. Dès que j'ai été capable de raisonner par moi-même, j'ai rejeté tous les dogmes religieux que l'on m'avait fait ingurgiter. Je me considère aujourd'hui comme un humaniste laïc, qui croit que toutes les religions sont des rêves d'hommes débiles, de toute évidence fausses et pernicieuses."
(Ibn Warraq / Pourquoi je ne suis pas musulman / 1999)

"Tous les musulmans, et pas seulement un petit groupe d'intégristes, croient fermement que le Coran est réellement la parole de Dieu! Et leur clergé a torturé, exterminé tous les penseurs qui ont tenté de réformer ce message."
(Ibn Warraq / interview "Le Matin" 14 octobre 2001)

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